Christine Ou Les Émois De L'Exhibitionnisme

Juillet 1977. Je m’appelle Christine et je suis éducatrice. Dans trois jours je pars rejoindre une colonie de vacances dans les Hautes-Alpes. J’y resterai deux semaines. Je pars deux jours avant les s pour ouvrir le centre et préparer leur arrivée.
Hier, j’ai fait un pari stupide avec Philippe, mon copain et je l’ai perdu. « Tu auras un gage. Je te le donnerai en temps utile ».
Les trois jours passent rapidement. Mon train est à dix-heures trente-trois. Je devrai changer à Lyon avant d’arriver à Gap. J’ai préparé ma valise hier. Essentiellement des shorts, pantalons, teeshirts, chemises, mais aussi des pulls si les soirées sont fraiches. Par coquetterie j’y ai rajouté une jupe. Pour le voyage, une jupe ample qui arrive aux genoux. Philippe, mon copain vient me chercher pour m’emmener à la gare. Je prends congé de mes parents. Philippe gare la voiture sur le parking. Nous échangeons un baiser d’amoureux comme on disait à l’époque et il s’empare de ma valise. Il m’accompagne sur le quai. Un dernier baiser, langoureux, serrés l’un contre l’autre. Le train entre en gare. Il me tend une enveloppe. « Tiens, à lire dès que tu es installée. C’est ton gage. Tu m’écriras pour me raconter » Je m’installe dans le compartiment. Un homme, la quarantaine, m’aide galamment à monter ma valise dans le filet. Le train s’ébranle. Derniers au revoir de la main, un baiser envoyé à travers la vitre. Je m’installe et sors un livre. Quatre heures pour atteindre Lyon, il faut s’occuper. J’avise l’enveloppe que j’avais glissée dans le sac. Je l’ouvre. « Dans une demi-heure, tu vas aux toilettes et tu retires ta culotte. Arrange-toi pour que quelqu’un voit ta chatte avant ce soir. Ecris moi. J’ai hâte de te lire. Je t’aime ».
Je me plonge dans mon livre. Je regarde ma montre. Trente-cinq minutes depuis le départ. Je me lève pour aller aux toilettes. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes et la glisse dans la poche de ma jupe. Je sors dans le couloir.

J’ai l’impression que tout le monde sait. Une impression étrange. Un mélange de honte, de crainte et d’excitation. Je traine un peu dans le couloir. Quelques voyageurs passent. Je me suis collée contre la vitre, feignant de m’absorber dans la contemplation du paysage qui défile. Un homme passe. Son bras ballant effleure mes fesses. Ce contact fugace me fait frissonner. Je sens que je mouille.
« ChouPhil, Je suis bien arrivée hier au centre. Je n’ai pas eu le temps de t’écrire avant. J’ai réussi mon gage. J’ai même fait mieux ! Comme tu me l’avais demandé, j’ai ôté ma culotte dans les toilettes du train. Je ne suis pas revenue directement dans le compartiment. J’ai trainé dans le couloir. Les gens qui passaient me frôlaient, c’était excitant. Petit à petit je me suis décollée de la vitre pour qu’ils aient moins de place pour passer et me frôlent davantage. A un moment un militaire s’est arrêté à ma hauteur. Il m’a demandé si j’avais du feu. Je lui ai dit que non. Il est resté à me parler. Il rentrait en permission, heureux de retrouver sa famille. A un moment j’ai senti une main sur mes fesses. Il ne perdait pas de temps. Je l’ai laissé faire deux minutes histoire de me chauffer et je l’ai planté sur place en lui faisant un grand sourire. Je suis rentrée dans le compartiment. Nous étions six. Il restait deux places libres. En face de moi un type, la quarantaine, assez mignon, il m’avait monté ma valise dans le compartiment. Les autres pas intéressants. Je me suis assise mais en fait ma jupe était trop longue pour qu’il puisse voir quelque chose. J’ai pourtant essayé de croiser et décroiser les jambes mais c’est à peine si mes genoux étaient découverts. Nous sommes arrivés à Lyon. Le compartiment s’est vidé. Je me suis retrouvée seule. Je sus montée sur la banquette pour attr ma valise. C’est alors que « mon » militaire est entré dans le compartiment. Je venais d’attr ma valise, et en équilibre instable j’ai savamment laissé glisser la valise sur la banquette en feignant de perdre l’équilibre.
J ’ai sauté sur la banquette d’en face, me laissant ensuite glisser. Dans le mouvement ma jupe s’était franchement relevée sur mes cuisses. Un petit effort et mes cuises se sont ouvertes. Le militaire avait ainsi une vue imprenable sur ma chatte. Trois secondes après je refermais le compas de mes cuisses et remis de l’ordre dans ma tenue l’air de rien. Son teint avait viré au rouge carmin ! Il s’est proposé de porter ma valise jusqu’au quai. J’ai bien entendu accepté. Il m’a laissé sur le quai car sa correspondance partait cinq minutes plus tard. Moi j’avais deux heures d’attente et j’avoue que ma petite exhibition m’avait bien excitée...
Je me suis dirigé vers le bar pour me rafraichir d’une limonade bien fraiche et le temps. Tu vas être déçu mais personne n’a fait attention à moi !
Finalement j’ai attrapé la correspondance pour Gap, une de ces michelines d’un autre temps. Pas de compartiment mais des sièges dans tout le wagon. Nous n’étions pas nombreux. Je me suis mise à la fenêtre pour profiter du paysage. J’ai remonté ma jupe à mi-cuisses.
A l’arrêt de la Tour du Pin plusieurs voyageurs sont montés. Un homme d’une trentaine d’années s’est installé sur la banquette de l’autre côté du couloir. Il a jeté un regard distrait vers moi et s’est plongé dans la lecture d’un bouquin. Le voyage semblait ne jamais devoir se terminer. Mais quatre heures plus tard nous avons atteint Gap. A la sortie de la gare, Vincent, le directeur de la colo m’attendait. Il m’a fait la bise. Il a rangé ma valise dans le coffre. Nous avons retrouvé Eliane une monitrice qui était déjà installée à l’avant, et Marco un agent de service qui était à l’arrière. Je me suis assise derrière à côté de lui. Dans le mouvement, ma jupe s’est relevée. Je n’ai rien fait pour la rabattre. Pendant la demi-heure de trajet, Vincent n’a pas cessé de regarder dans le rétroviseur. Il matait mes cuisses mais il ne devait pas voir grand-chose. Par contre Marco regardait aussi et son regard de braise me faisait de l’effet.

J’ai pris possession de ma chambre, située à côté du dortoir des filles. Nous avons pris le repas ensemble. J’ai dit que je ne tarderais pas à aller me coucher après une bonne douche. J’ai regagné ma chambre. Me croyant seule je n’avais pas fermé la porte et j’allais me déshabiller quand j’ai aperçu Marco, caché derrière une armoire du dortoir qui me regardait. J’ai fait semblant de rien. J’ai enlevé le haut. Je suis resté en soutien-gorge le temps de ranger mes affaires. J’ai enlevé ensuite mon soutien-gorge, restant un moment seins nus puis j’ai fait glisser ma jupe. J’ai pris mes affaires de toilette et je me suis dirigée vers les douches. Ça m’excitait d’être nue en traversant ce dortoir vide sachant que Marco m’observait. Je suis allée dans la douche en prenant soin de tirer le verrou. Quand je suis revenue dans la chambre je n’ai pas revu Marco. Je me suis mise en pyjama et je t’écris. Voilà. Tu voulais que je montre ma chatte à un mec et bien tu vois je l’ai montrée à deux. Et ça m’a bien plu.
Par contre je crois que je plais bien à Marco. Et c’est un peu de ta faute. Bisous bisous. La suite à plus tard. Allez, une petite lettre tous les trois jours. Chris »

« ChouPhil, me voila de retour. Les s sont arrivés hier et la colo a commencé. Je m’occupe des moyens. Huit garçons un peu remuants mais rien de bien terrible. Aujourd’hui on a fait des guirlandes en crépon ce matin et une promenade au lac d’à côté cet après-midi. Bon, je me doute que tu te fiches un peu des activités des mômes et que tu préfères savoir si je suis sage….. Je t’avais laissé en te racontant comment Marco m’avait espionnée et m’avait vue nue dans le dortoir. Le lendemain matin, j’ai mis une chemisette sans soutif pour le petit dèj. J’ai rejoint Eliane. Marco préparait le petit dèj et nous a rejointes. Vincent est arrivé et s’est assis à côté d’Eliane. Marco est venu s’assoir à côté de moi. On a défini nos tâches pour la journée. Vincent a choisi de faire un binôme avec Eliane et je me suis retrouvé avec Marco.
Nous, on devait faire l’inventaire des malles et ranger le matériel. J’ai dit à Marco que j’allais me laver les dents et qu’on se retrouverait dans le hall où avaient été déposées les malles. Je me suis mise en short. J’ai rejoint Marco et on a commencé à travailler. Comme il faisait chaud, Marco s’est mis torse nu. Il est bien foutu le mec. Moi j’ai déboutonné le haut de ma chemisette. A chaque fois que je me penchais en avant, elle baillait et Marco regardait mes seins. Je me suis rendu compte que ça m’excitait. On a travaillé toute la matinée. On a fait une pause déjeuner dehors sous les platanes. Ca faisait du bien de s’arrêter un moment. Marco était assis en face de moi et il me fixait des yeux. Ca me gênait. Il a essayé de me faire du pied sous la table mais j’ai reculé mes jambes. Visiblement il me prend pour une fille facile. Et je n’aime pas ça. Bon il est beau gosse mais ça n’autorise pas tout.
L’après-midi le mercure a augmenté encore de quelques degrés. Et comme on en était au rangement de l’inventaire à l’intérieur des bâtiments c’était limite supportable. Je sentais la sueur couler sous ma chemisette. Et le tissu collait à ma peau. Marco se rinçait l’œil en permanence. De son côté, son torse était luisant et son short moulait aussi ses formes avec précision. Et visiblement le bâton que je voyais semblait prometteur. Il bandait. J’étais flattée de lui faire cet effet. Petit à petit, on allait moins vite. La chaleur mais aussi une certaine langueur. Une envie purement sexuelle. De plus en plus mon regard s’abaissait sur son short et il l’avait remarqué. Il me regardait avec de plus en plus d’intensité. « J’ai envie de toi » m’a-t-il dit. Je lui ai répondu que moi aussi mais que j’avais un mec auquel je tenais et que nos petits jeux s’étaient fixés des limites que je ne dépasserai pas. Il a lentement abaissé son short, dégageant une belle queue bien tendue qu’il a commencé à caresser. Je me suis débarrassée de ma chemisette et à mon tour j’ai enlevé mon short. Dans une pièce surchauffée, séparés par une malle et une table, nous nous sommes masturbés en nous regardant. Il est parti le premier en jutant abondamment. Je l’ai suivi peu après. Nous nous sommes rhabillés et avons repris notre rangement. Quand je suis allée à la douche il n’était pas là. Voilà tu dois être comblé par mes frasques. C’est toi que j’aime. Je te fais plein de bisous. Ta Chris ».

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