Les Réponses De Christine

Un jour je découvre sur l’ordinateur de Christine (mon amie, grande brune assez en chair et toujours prête aux jeux érotiques).

(Elle répondait au questionnaire que lui avait envoyé un type)
1 – Aimes-tu t’exhiber en public ? Montrer tes dessous à des inconnus, par exemple.
2 – Aimes-tu t’habiller sexy (mini jupes, petits hauts…) ?
3 – Est-ce que tu es déjà sortie nue sous ta robe ou ta jupe ?
4 – As-tu fais l’amour avec un inconnu ?
5 – Es-tu allée dans des boites échangistes ?
6 – As-tu sucé un type, comme ça parce que ça te plaisait ?
7 – As-tu fais un jour l’amour pour de l’argent ?
8 – T’est-il arrivé de t’amuser avec un couple ?
9 – T’est-il arrivé de te faire tripoter en public par des mains anonymes ?
10 – T’est-il arrivé de mouiller « volontairement » tes culottes ?

Voici les réponses qu’elle lui répondit et qui m’ont permis d’en savoir beaucoup plus sur Christine que ce que je croyais connaitre.

« 1 – Oui j’adore m’exhiber, être vue, regardée. Me montrer cela m’excite beaucoup, je dois l’avouer. Je fais ça assez souvent, autant qu’il est possible de le faire. J’aime les types qui aiment voir sous mes jupes et leur montrer mes petites culottes, je les choisis toujours avec l’espoir qu’elles exciteront les regards. Il m’est arrivé bien des fois d’allumer des types inconnus. Par exemple dans le métro. Pas de monde. J’attends la rame (trois minutes prévues). Sur le quai d’en face un type qui semble s’intéresser à me regarder. Je croise et décroise les jambes puis je les ouvre. Il me mate. Je garde les cuisses bien ouvertes. Je me sens mouiller. Je regarde le type et lui fais un sourire. La rame arrive. Fin de ce petit jeu que tu peux trouver vulgaire. Mais j’aime les voyeurs et je crois savoir leur faire plaisir.

2 – Minijupes. Oui. J’adore être vue (déjà dit). Pas facile toutefois sans passer pour une « pute ». J’ai une belle collection de jupes courtes, en cuir notamment.

J’aime les porter. Je plais ainsi. Et cela me plait beaucoup. Pourquoi ? Donner à être vue ? Oui. Dès que les circonstances le permettent je m’habille sexy. On m’a fait des remarques vulgaires du genre : « t’as vu la salope » etc. Cela ne me dérange pas. Mini jupes oui, les plus courtes et larges possibles, mais aussi des micros shorts en jean. J’aime. Le corps habillé et dénudé. Offert aux regards, convoité. En vacances, l’été, je ne prive pas et je m’en fous d’être indécente. J’en profite autant que possible.

3 – Oui, j’adore ça. Offerte et cachée. Me savoir indécente sans que personne ne le sache est très agréable. Chaste à l’extérieur et totalement pute à l’intérieur. Quel plaisir. Combien de fois je me suis promenée comme cela. Ils ne savent pas que je n’ai pas de culotte. Un petit coup de vent et… le risque de se sentir exposée est pour moi particulièrement plaisant.

4 – Oui ! Beaucoup, surtout avec des inconnus. Rencontres d’un soir, d’un instant. Merveille, parfois .Décevant aussi. Juste du plaisir hors tout sentiment.

5 –Non. Je n’aime pas les lieux convenus, les endroits où tout est déjà organisé. C’est triste, je le sais pour y être allée une fois. Il faut voir, c’est peut-être excitant.

6 – Oui ! J’adore sucer un beau sexe dressé de désirs. Le faire jouir. Et jouir de le faire jouir. L’inconnu des sexes.

7 – Pas encore mais j’aime cette idée. Je n’ai rien contre les « putains ». Je me sens au fond de moi très « putain ». Je suis fondamentalement une « putain ». Je vais essayer. Très envie. Propose-moi. Trouve-moi des types, si tu veux. Tu verras. Racoler les « clients » qui n’attendent que ça. Juste ça. Peut-être aussi de l’amour ? Cette idée me plait.

8 – Non. Pas encore. Mais j’aimerais beaucoup. Sucer ou me faire baiser par un homme devant sa copine. Oui.Ca doit être très excitant. Et puis j’aimerai aussi beaucoup avoir rapports avec une femme. La lécher, la toucher, la voir jouir, la faire jouir devant son ami ou mari.


9 – Ca j’adore ! Dans le métro, un jour. Foule. Je te livre le récit que j’avais écrit autrefois à un type.

« Je me suis achetée une jupe en skaï, des pressions sur le devant, un peu large mais très décente (aux genoux). Je suis allée à la fac sans rien en dessous (ni culotte ni bas !)
Curieuse impression de se sentir sortir nue. Une journée bien sage toutefois ! Le soir je reprends le métro. Foule. Pressée contre des corps inconnus, troublantes sensations. Un type me colle très fort contre lui. Ca me plait, je dois l’avouer. Je sens – ou crois sentir – quelque chose de dur sur ma croupe. Il ne s’agit pas d’une main baladeuse. Surprise, une panne, plus de dix minutes d’attentes demandées. Lumières en veilleuse. Messages rassurants. Peu d’espace pour évoluer. Il faut patienter. Envie de profiter de la situation. Une main remonte doucement ma jupe. Je me laisse faire, je consens avec plaisir. La situation me plait du fait de son anonymat. La main remonte et atteint la zone humide convoitée, je me laisse faire et facilite même sa progression. Je suis prise en sandwich par un gros type qui me fait face et qui laisse traîner sa main sur mon bas ventre, je le laisse un peu me palper avant de lui prendre la main que je lui colle sur son sexe dont je peux constater l’état d’excitation. Les lumières se rallument. Nous repartons. Je descends à la station suivante, libérée d’une situation qui commençait à dégénérer. »

10 – Oui, j’adore, suis adepte des « jeux mouillés ». Sentir le contact de mes linges trempés sur ma chair me fait plaisir. Me faire toucher toute humide est particulièrement excitant pour moi. Un type, un jour, un soir, m’a traitée de « petite pisseuse ». J’ai adoré ça. Je suis une pisseuse qui aime mouiller ses culottes, pisser dedans, se faire toucher avec ses linges humides.

Oui. Je vais te raconter d’où me vient cette « bizarrerie ».
J’avais 25 ans, je commençais à travailler et vivais avec un homme d’une cinquantaine d’années.
J’étais encore assez innocente quoique très curieuse. Il avait une expérience que je n’avais pas. J’aimais.
Un jour il me dit qu’il aimerait que je « mouille mes culottes ». J’ai accepté cette proposition un peu insolite pour moi. J’ai vite appris et aimé à mouiller les dessous qu’il m’imposait de porter. Tous les soirs lorsque je rentrais du travail il me passait la main sous la jupe pour sentir l’état d’humidité de mes culottes ; plus j’étais mouillée, plus il me baisait. Avant de quitter mon travail et dans l’attente de le voir, je faisais mon petit pipi dans ma culotte afin de lui faire plaisir.
J’ai pris goût, c’est vrai, à cette pratique. Je pourrais en dire beaucoup sur ces jeux. Je sais qu’ils déplaisent à certains. J’aime me penser comme une « ondine » ruisselante de mes eaux intimes. Les garder au plus intime de mes chairs. Les faire toucher, sentir, lécher. Je suis devenue une « petite pisseuse ».

Voici mes réponses à tes questions. J’espère qu’elles conviennent à ce que tu attends de moi. Je dois te dire que je ne suis pas seulement une putain, une salope, une exhibitionniste, une pisseuse… Je suis aussi et avant tout femme aimante, libre de son corps et que j’ai plein de désirs.
Christine

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