Marie - Episode 6 - Essai De Ta Robe De Mariée

Je n’ai pas répondu à ta dernière question, où tu me proposais de te baiser dans la voiture, mais sur le chemin de ton domicile, j’emprunte un petit chemin, au milieu d’une petite forêt.

Marie : Je commence à frémir me demandant où nous allons, mais je me laisse à penser que ça va me faire du bien...

Après quelques centaines de mètres, j’arrête l’automobile dans une clairière et te dis : « Descends et fout toi à poil ! C’est ici que je vais te baiser, comme une pute contre un arbre ».

Marie : « Je… Heu… Mais monsieur le directeur je… Heu… Toute nue ici et je… Heu… Si on nous voyait ? »

« Discute pas et obéis, de toute façon, tu dois prendre l’habitude d’être exhibée et baisée où et quand je le déciderais »

Pendant que tu te déshabilles, je cherche et trouve une petite branche bien flexible, susceptible de me servir à te corriger.

Tu me fais face, nue, cuisses ouvertes et mains dans le dos. Je m’approche de toi, pose la branche à tes pieds, puis tout en t’embrassant, je te caresse le ventre, remonte vers tes mamelles avant de redescendre sur ton sexe.

Marie : Oui je suis debout, nue, devant le capot de la voiture, j'ai les pieds écartés d'un mètre environ, les mains dans le dos, vous me prenez par les épaules, m'embrassez à pleine bouche, je suis trempée et j'ai envie que vous me baisiez sur le capot. Pendant ce long baiser, mais aussi lorsqu'il cesse, vous caressez mon ventre, mes seins que vous pétrissez lentement, mais fort, puis je sens votre main descendre sur mon sexe :
« Humm ! Hoo oui monsieur le directeur c’est bon, vous sentez comme j'ai envie de vous ».
Et vous me retournez et appuyez sur mes épaules pour que je me penche, les mains posées sur le capot, les pis qui pendent sous moi :
« Allez y prenez moi ! Je suis votre esclave sexuelle, votre putain ».

Tu es trempée, et facilement, je glisse 3 doigts dans ta chatte.

Je te doigte quelques minutes, te menant au bord de la jouissance. Je retire alors mes doigts de ta chatte et les portes à ta bouche :
« Suce les, je veux que tu apprennes à aimer ta cyprine, plus tard tu goûteras d’autres chattes de salope »

Marie : Humm… Ho monsieur j'ai honte de lécher vos doigts pleins de mon désir, vous faites de moi une grosse cochonne"

Je te fais te retourner, t’appuyant contre l’arbre qui est face à toi. Je t’écarte les cuisses, et caresse ton joli cul de chienne en chaleur. Je ramasse alors le branchage posé précédemment près de l’arbre et commence à te fouetter le cul.

Marie : « Haas… Haaa… Ho pitié… Doucement je… Hoouuu ! Pitié monsieur je suis votre putain, je ferai tout ce que vous me demanderez ».

Après quelques coups, qui ont laissé de belles stries rouges sur tes cuisses et ton cul, je jette la branche et m’approche de toi, tu sens alors que j’ai retiré mon pantalon, et mon sexe contre tes fesses endolories.

D’un coup de rein, je te pénètre totalement, m’enfonçant en toi, jusqu’aux couilles. Tu sens celles-ci, cogner tes fesses à chaque va-et-vient et ma bite dans ta chatte poisseuse.

Après avoir éjaculer en toi, je me rhabille et te dis :
« Monte en voiture, sans remettre tes habits ».
Tu me regardes, hésites et montes dans la voiture, n’osant pas protester.

Après avoir regagné la route nationale, je m’arrange pour doubler des cyclistes ou camions en prenant le soin de rester près des camions le plus longtemps possible.

Marie : La jouissance étant retombée j'ai honte et je me sens avilie, humiliée de me retrouver exhibée ainsi à ces inconnus pendant le trajet.

Nous ne sommes plus très loin de chez toi, et je m’attends à ce que tu me demandes de m’arrêter pour te laisser te rhabiller.

Marie : « Ho ! Mais monsieur le directeur on va arriver dans mon village, je vous en supplie, je ne veux pas qu'on me voit, je serai soumise à tous vos désirs, mais s’il vous plait, laissez moi me couvrir.
»

Je finis par exhausser ta demande, et j’arrête la voiture à moins d’un kilomètre de chez toi, sur me parking d’une petite superette. Je te vois regarder de part et d’autre de la voiture.
« Qu’est ce que tu regardes ? Tu ferais mieux de te dépêcher de remettre tes vêtements avant que quelqu’un ne vienne et te vois ainsi, surtout que tu pourrais être reconnue. »

Marie : Je sors de la voiture avec mes habits à la main pour me rhabiller, ils ne me couvrent pas beaucoup mais au moins c'est déjà ça ! Avant de remonter je dis :
« Merci, monsieur »

On arrive enfin devant chez toi. La jupe toujours retroussée et ton cache-cœur peu serré ne couvrant à peine ta forte poitrine

Vous me dites :
« Dis donc on a un peu de temps, je vais en profiter pour faire l’inventaire de ta garde robe, ce que tu as de sexy ... »
Je n'ose dire non, mais j'ai peur qu'un voisin nous surprenne ... mais en même temps, je suis excitée à l'idée que je vais vous faire entrer dans ma chambre à coucher ...

Une fois sur place nous entrons, et la porte à peine refermée je te dis :
« Retire tes vêtements »
Tu obéis et te retrouves une nouvelle fois nue devant moi. Tu me conduis aussitôt dans la chambre conjugale.

Et là, j'ouvre mon armoire, vous fouillez.

Je regarde en détail, chaque vêtement (pulls, corsages, jupes, robes, débardeurs etc.…)
« Dis donc c'est pas très sexy, tout ça ! »
ET j’ajoute :
« Tes robes et jupes sont longues à l’exception de celle-ci, dis-je en te montrant une robe beige, très décolletée, échancrée et courte. »
Tu rougis en regardant la robe. Voyant ta gêne, je te dis :
« C’est ton mari, qui t’a offert cette robe, elle semble toute neuve ? »

« Heu…Je… Je l’ai mise une fois, mais on voit mes sous vêtements, car elle est trop transparente ».

« Tu n’auras plus ce problème, maintenant, car tu n’en porteras plus.
»

« Mais que diras mon… »

« A toi de te débrouiller pour lui expliquer que tu ne mets rien dessous. Et puis c’est ce genre de tenue que tu porteras aussi au bureau »
« Heu…Bien…Monsieur »

Je continue à regarder tes vêtements et prenant un débardeur, je te demande de le mettre. Tu t’exécutes. Le vêtement épouse parfaitement tes seins et découvre ton nombril. Je te regarde et dis :
« Tu es très belle avec, mais il est trop long, donne moi des ciseaux ».
Tu te dépêches d’aller chercher l’ustensile demandé. Une fois en main, je pince le vêtement juste sous ton aréole pour le marquer et te demande de l’ôter. Tu me donnes alors le débardeur, et je commence à tailler dans le vêtement et te dis :
« Tu dois être plus douer que moi pour la couture, je te laisse le tailler à la longueur que je souhaite. »
Une fois le tissu retaillé, tu l’enfiles de nouveau.
« Parfait ! Regarde-toi dans la glace, comme tu es sexy ainsi »

Des larmes coulent sur tes joues, alors que tu constates que le débardeur ne recouvre à peine tes aréoles et que une bonne partie de tes mamelles sont apparentes.

« Tu devras retailler tous tes débardeurs, et ne triche pas sur la longueur »
Apercevant un grand carton au bas de ton armoire, je l’ouvre et te dis :
« Mais dis moi c'est quoi ça, c'est ta robe de mariée ? Tu l'as déjà remise depuis ton mariage ?"

« Non monsieur le directeur »

« Enfile là ! »...

Nue, en bas dim up avec mon collier, je mets ma robe, elle est une peu juste à la taille et j'ai peur de ne pas réussir à fermer le haut ... vous m'aidez, j'ai le buste compressé, j'en ai du mal à respirer.
A ce moment vous me dites de ne pas bouger et vous aller chercher le téléphone.
« Tu appelleras ton mari, quand tu seras prise. Je vais te baiser dans cette robe, mais avant je vais t’aider à l’enfiler »
Vous prenez les ciseaux et vous ouvrez ma robe de mariée sur le devant jusqu’à mon plexus .
.. je respire mieux mais j'en ai les larmes aux yeux.

J’approche alors une chaise près de la fenêtre et te dis :
« Branle toi »
Tu pose un pied sur la chaise, ferme les yeux et tu m’entends te dire :
« Alors ma grosse salope, tu viens de te marier, ton mari a trop bu, il dort et tu as la chatte trempée ... tu as envie de te sentir une vrai femelle en chaleur, alors passe ta main sous ta robe, caresse ta chatte, tu mouilles hein… ! Sale truie ... ! »

Je passe ma main sous ma robe relevée sur ma cuisse relevée par la chaise et je me masturbe.

« Allez ! Dis après moi que tu es une putain en manque que tu es mon animal sexuel ».

« Je suis une putain en manque et votre animal sexuel »

« Penche toi en avant ! Fais sortir tes outres par dessus ton décolleté, malaxe toi une mamelle bien fort en te branlant ».

Je le fais.
« Et pince toi le téton en tirant dessus comme je le ferais, ma grosse vache laitière »
Et là, tu te fais jouir en t’imaginant que je soulève ta robe sur tes reins et te baise debout penchée en avant les mamelles malaxées.

Je te tends alors le téléphone et te dis :
« Appelle ton mari ! »

J'obéis et téléphone à Hervé.
« Allo mon chéri ? C’est moi, juste pour te dire que je suis à la maison prendre quelques effets pour demain et pour mon stage. »
J’ ai les larmes aux yeux en écoutant mon mari me dire qu'il est désolé d’être absent 15 jours, mais que j'ai eu raison de rentrer prendre des affaires pour mon stage ... Vous me malaxez les mamelles durement, je me force à ne rien faire paraître et vous posez vos mains sur mes épaules en appuyant, je comprends et je me mets à genoux ... pendant que vous sortez votre sexe pour le frotter sur mes joues pendant que je parle, vous avez mis le haut parleur et dès qu'il me répond vous poussez votre gland sur mes lèvres et j'ouvre la bouche pour me retrouver le gland dans le gosier que vous baisez faisant des bruits de gorge obscènes ... mon mari demande :
« Chérie c’est quoi ce bruit ? »
J'ai à peine la bouche vide que je dois lui répondre un peu essoufflée
« Ho !... j'ai fait couler un bain et le siphon fait du bruit… »
" Il reprend son monologue se justifiant de son déplacement (pour baiser votre pute dans une soirée de baiseur ...) et vous vous réintroduisez dans ma bouche, cette fois je vous suce de mon mieux pour éviter les bruits de gorge ... puis quand il termine vous vous retirez et vous mettez derrière moi en me relevant les hanche debout penchée en avant la robe de mariée sur les reins,
« Chéri, tu n’oublies pas de passer demain matin au bureau vers 11 heures, mon patron sera ravi de faire ta connaissance »

À peine ta phrase terminée, j’englouti mon sexe dans ta bouche

« Oui ma chérie je n’oublie pas, comme je n’oublie pas notre petit dîner en amoureux »
Pendant que je dis à mon mari que je l'aime, qu'il ne s'inquiète pas qu'on aura plus de temps aux prochaines vacances de noël ... et dès que j'ai fini ma phrase je vous sens m'enfiler d'un coup dans ma chatte trempée
« Hooo ! »
« Qu’y a t il ma chérie ? »
« Ho… Je… Jou… J'ai glissé dans la salle de bain, c'était un peu mouillé. Je me suis fait mal à la cheville. Je… Houu lala… Je hoo… C'est mouillé mais je… Heu… Je vais te laisser mon amour je te rappellerai ce soir je vais finir de me préparer et de faire ce que j'ai à faire ici et je retourne au bureau... »
Je raccroche
« Hoo… monsieur le directeur je… Houu… Oui… C’est bon ! Baisez moi comme ça j'adore ! »

Alors que je te pilonne la chatte sans ménagement, triturant tes grosses mamelles, je te dis :
« Jeudi soir, tu drogueras ton mari »
« Comment cela droguer mon mari ? »
« Oui, tu lui donneras des somnifères et une fois endormi, tu m’ouvriras la porte et nous irons dans la chambre où je te baisserais sur le lit près de lui ».

Puis, j'ouvre les tiroirs de ta commode et te demande de mettre tes culottes, soutiens-gorge et collants dans un sac poubelle. Maintenant tu n'en porteras plus jamais

« Mais monsieur… Je… Heu… Et mon mari, il va s'en apercevoir, s’il vous plait, je vous en prie ... »
Et vous de me répondre que je n'aurai qu'à me débrouiller.

« Nous allons aller les porter dans une association »

Puis, je te demande de ranger ta robe de mariée, et de mettre dans une valise des jupes dont une courte pour recevoir ton mari le jeudi matin, une veste et des chemisiers, ainsi que tes affaires de toilettes et de maquillages.

Une fois, ta valise prête, je la prends et te dis :
« Remets ta jupe et ton cache-cœur, nous allons achetez des robes plus courtes et sexy pour le bureau ».

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