Marie - Episode - Le Magasin De Vêtement

En quittant l’association, nous repassons chez toi, j’arrête l’auto et t’ordonne :
« Va te changer, tu vas retirer tes vêtements et ne mettre qu’un manteau. Je te veux
nue dessous. »
Marie : « Bien monsieur, comme il vous plaira » et avant de refermer la portière tu
ajoutes :
« Je me dépêche ».
Je n’en doute pas, sachant que tu ne souhaites pas que des voisins, remarque une
nouvelle fois ma voiture devant chez toi.
Tu reviens quelques minutes plus tard, vêtue d’un manteau, boutonnée sagement de haut
en bas.

Une fois dans la voiture, avant de démarrer, je t’en fait la remarque et te demande de
déboutonner ton manteau.
Marie : « Heu…Là…Maintenant ? Devant chez moi ? Mais des voisins pourraient me voir »
« Oui maintenant et puis tu dois assumer ton nouveau statut de salope même dans ton
quartier »
Des larmes coulent sur tes joues, alors que timidement tu défais les boutons un à un.
Je te regarde faire et te dis :
« Si tu veux que je démarre, tu vas devoir écarter les pans de ton vêtement »
Marie : « Heu…Mais… »
Mais te ravissant, tu ouvres ton manteau et nous quittons ton quartier.


Lorsque nous entrons dans le magasin, la patronne, une petite femme brune au visage
sévère et autoritaire, discute avec un couple de client. Le patron, un homme de petite
taille et bedonnant à l’œil pervers et vicieux vient à notre rencontre avec un large
sourire commercial.
« Bonjour monsieur dame, que puis-je pour vous ? »
« Bonjour monsieur, j’aimerais renouveler une partie de la garde-robe de ma secrétaire
».
« Bien, suivez moi jusqu’à une cabine d’essayage, où je vais prendre les mesures de
madame, afin de choisir les bonnes tailles. »
Nous suivons, l’homme. Tu me tiens par la main et je sens ton stress à ta manière de
me serrer très fort la main.
Je te glisse à l’oreille :
« Pourquoi tu sembles inquiète, tu devrais pourtant commencer à avoir l’habitude
d’être exhibée, pelotée et humiliée, et puis tu parais y prendre du plaisir »
Marie : « Oui mais j’ai du mal à mis faire, même si au fond de moi, j’aime cela »


Nous arrivons aux cabines d’essayage, située au fond du magasin.

Il y a un homme
planté devant l’une d’elle, dont le rideau est tiré. Je suppose que c’est sa femme ou
sa maîtresse qui se trouve à l’intérieur à faire des essayages.
Le patron s’adresse à l’homme et lui demande :
« Cela va comme vous voulez ? Madame a trouvé ce qu’elle souhaitait ? »
« Oui merci » dit le supposé mari.

Le patron ouvre le rideau d’une cabine, et te dit :
« Si vous voulez bien ôter votre manteau, je vais prendre vos mesures »
Tu me regardes, l’air un peu paniqué.
« Hé bien ma chérie, enlève ton manteau »
Tu t’exécutes, et te retrouves nue devant nous trois, car le client de la cabine
voisine, regarde ce qui se passe dans la tienne.

Le patron au prime abord surpris de te voir nue, se ressaisis très vite, et me lance
en plaisantant :
« Il étais urgent que vous veniez renouveler la garde-robe de madame, car apparemment
elle n’a plus grand-chose à se mettre sur le dos »
« Oui, vous avez raison, dans la mesure, où je souhaite qu’elle porte toujours des
tenues courtes et décolletés, sauf en présence de son mari, et juste avant de venir
ici, je l’ai obligée à se débarrasser de tous ses sous-vêtements »
Tout en disant cela, je regarde le client de la cabine d’à côté, il a les yeux
exorbités, en te matant.

Le patron s’approche de toi, alors que tu attends nue, les bras le long du corps et
les cuisses légèrement écartées. Il saisit son mètre ruban qu’il a autour du cou et en
bon professionnel mesure ton tour de cou, qu’il note sur un carnet. Puis il fait de
même en mesurant ta carrure, d’une épaule à l’autre. Je remarque qu’il a pris le temps
de lire l’inscription notée que ton collier, mais ne fait aucune observation.

Puis, se collant à toi, il passe ses bras autour de toi, pour faire passer le mètre
ruban autour de ta poitrine. Réunissant ses mains sur l’un de tes seins, il dit :
« Un bon 90 » et tout en notant sur son calepin, il ajoute :
« Madame est bien pourvue »
« Oui, c’est pour cela que je veux qu’elle exhibe ses mamelles le plus possible et en
plus d’une salope, j’en ferais une bonne laitière dans quelques semaines »
Il mesure maintenant le tour de chaque sein et leur profondeur
« Bonnet E »
Ensuite, il pose l’une des extrémités du mètre sur ton collier, et descend le ruban
jusqu’à ton sexe.

« Oh ! Mais elle semble trempée ? »
« Oui certainement, elle aime être exhibée et humiliée »

Le voisin de la cabine d’à côté, nous « quitte » en entraînant sa femme par l’autre
côté des cabines. Il n’a probablement pas envie que sa femme sache ce qu’il admirait
pendant qu’elle faisait ses essayages.

Le vendeur me demande alors :
« De combien de centimètres au dessous de sa chatte, voulez vous que les tenues de
madame arrivent ? »
« Heu…10 – 12 centimètres me sembles suffisant, qu’en pensez vous ? Vous avez plus
l’habitude que moi. »
« Ho ! 10 centimètres, c’est bien, si vous voulez réellement lui donner un rang de
salope »
« Alors, d’accord pour 10 cm et ainsi elle aura à peine les fesses couvertes et elle
sera toujours à disposition »

Il prend ton tour de taille, puis ton tour de hanche, il en profite bien sûr pour te
peloter les fesses, et enfin il mesure la longueur, de ta taille à ton sexe, et ajoute
10 cm pour calculer la longueur des tenues. Bien entendu, il en profite pour te
peloter de nouveau les fesses et la chatte.

Puis, il me demande quel genre de vêtement je désire acheter :
« Comme sous vêtement, j’ai pensé à deux guêpières, une blanche et une rouge et des
bas assortis. »
« Très bon choix, le blanc fera contraste avec son statut de salope et le rouge fait
très pute, et vous souhaitez autre chose ? »
« Oui bien sur, je ne peux tout de même pas la faire travailler seulement vêtue q’une
guêpière »
« Effectivement, surtout si vous avez d’autres employés et recevez de la clientèle »
« Je n’ai qu’un jeune stagiaire et lui serait certainement ravi, mais cela pourrait
heurter une partie de la clientèle, même si celle-ci est presque exclusivement
masculine Aussi je la veux provocante mais pas trop. Je voudrais 3 corsages assez
transparents, 4 pulls en cachemire très échancrés, 2 cache-cœurs de couleur chaires, 4
jupes et 2 robes très décolletées.
»

« Je vais voir en rayon, je pense que je vais pouvoir vous satisfaire en totalité. »
Et il nous quitte, laissant le rideau de la cabine ouvert.

« Tu vas être ravissante et super bandante dans tes nouveaux habits. Tu seras très
sexy et disponible en permanence. J’espère que tu es heureuse ? »

Il revient près d’un quart d’heure plus tard, avec un chariot rempli de ma commande,
avec un large sourire.
« Vous allez être content, j’ai absolument tout ce que vous m’avez demandé »
Il sort d’abord les 2 paires de bas en disant :
« Voici les bas qui sont assortis aux guêpières » et il en prend une, la blanche, et
il s’approche de toi pour te la mettre. Il prend son temps pour la fixer, puis il
passe sa main sous tes nibards, et les relèves pour bien les placer dans les
corbeilles. Il se recule, regarde : « Tournez vous, s’il vous plait »
Tu fais un tour sur toi-même doucement, pour te laisser admirer.

« C’est juste la taille qu’il faut pour votre femelle »
« Oui c’est parfait »
« Oui, sexe, cul et mamelles à l’air, elle est splendide »

Il retire alors la guêpière et pratique ensuite aux essayages d’un pull. Celui-ci est
très décolleté et moule parfaitement tes mamelles, puis l’un des cache-cœurs et
t’invite à marcher dans le magasin, devant les cabines vides. A chaque pas, l’on voit
tes outres ballottées de haut en bas et de droite à gauche et après deux passages
devant nous, tu es obligés de réajuster le vêtement qui commençaient à dévoiler une de
tes mamelles. Ensuite, il retire ton cache-cœur et de donne une des jupe que tu
enfiles aussitôt. Il me fait remarquer qu’elle cache à peine le bas de tes fesses, et
enfin les deux robes qu’il a lui-même choisi.

Toutes deux sont courtes. L’une est très décolletée et échancrée sous les bras, et
l’autre en filet tressé très fin, mais tout de même assez transparente et totalement
impudique.


Les essayages étant finis et concluant, j’accompagne le patron jusqu’à la caisse où se
tient toujours sa femme, te laissant seule dans la cabine pour remettre ton manteau.
Sur le chemin, je demande au patron :
« Vous allez me faire une bonne ristourne, j’espère ? »
Il réfléchis deux secondes et répond :
« Je vous fait cadeau des deux robes, des bas, et les cache-cœurs, si vous me laissez
une heure avec votre secrétaire »
Sans aucune hésitation, je réponds :
« D’accord »
« Ma femme est encore là, aussi nous allons à la caisse, vous payez les guêpières, les
corsages, les pulls, les jupes et je mets de côtés les robes, cache-cœur et les bas »
Et il ajoute dans une heure, je serais seul, le magasin sera fermé, mais je reste le
soir à faire les stocks, aussi vous revenez dans une heure environ, et je vous
donnerai un sac avec le contenu des articles gratuits en échange de votre femelle pour
une heure. »

J’accepte et une fois devant la mégère, son mari fait le tri des articles et dit :
« Monsieur hésite encore pour ses articles, je vais les mettre en réserve jusqu’à
demain matin, et pour l’instant il emporte et règle ses articles en posant devant sa
femme les articles prévus. Pendant ce temps, tu m’as rejoins le manteau légèrement
boutonnée, et ignorante de ma tractation avec le patron.

Je règle et le patron nous raccompagne jusqu’à la porte du magasin.

Pour faire passer le temps, avant de retourner au magasin, je te propose d’aller boire
un verre dans un café dans le centre ville. Une fois installé dans l’automobile, je
t’ordonne :
« Déboutonne ton manteau, et écarte les pans de celui-ci, que l’on puisse te mâter de
l’extérieur »
Aussitôt, tu obéis et écartant les cuisses, tu poses tes pieds sur le tableau de bord,
comme tu en as maintenant l’habitude. Je pose ma main entre tes cuisses pour constater
que tu es trempée.
« Salope ! Ca t’a excitée d’être nue devant ce vieux cochon et que je lui permette de
te peloter et d’humilier »
Marie : « Oui monsieur »

Puis, tu ajoutes :
« Monsieur, vous n’aimiez pas les robes et les cache-cœurs ? »
« Si pourquoi dis-tu cela ? »
« Parce que vous ne les avez pas acheter »
« Non, le patron me les offriras tout à l’heure, lorsque le magasin sera fermé et sa
femme absente, en échange d’une heure passée avec toi »
« Heu…Mais…Vous voulez que… »
« Que tu te prostitues en échange de vêtements, oui »
« Oh…Monsieur…Que faites vous de moi ? »

« Mais une salope et une putain ! – Regarde comme tu aimes t’exhiber dans la voiture
devant des inconnus »

Bien sûr, ainsi tu es visible par les cyclistes, motards, automobilistes et passagers
de bus. Certains ne se privent pas d’ailleurs pour bien te mater, surtout parmi les
conducteurs de deux-roues et quelques passagers d’autocar.

Une fois dans le centre ville, je gare la voiture dans un parking souterrain et
regagnons à pied la surface. Tu n’as reboutonné que deux boutons de ton manteau,
dévoilant ainsi tes cuisses très haut et un splendide décolleté qui ballote à chacun
de tes pas.

Nous entrons dans un café, et nous installons à une table dans le fond de la pièce. Il
y a peu de monde, mais les rares clients présents, ont remarqué ta tenue. Une fois
assise, tu écartes légèrement les cuisses, faisant ainsi glissé les pans de ton
manteau et dévoile tes cuisses et ton sexe, que je m’empresse de peloter et doigter.

Si les clients au bar, ne remarquent pas ce qui se passe sous la table, deux jeunes
gens qui viennent de s’asseoir face à nous, ont très vite remarqués que tu avais les
cuisses ouvertes et que tu te laissais doigter sans pudeur

Lorsque tu le remarques, tu as le reflex de resserrer les cuisses, mais tu te ravises
immédiatement et écartes de nouveau des cuisses encore plus que précédemment.

Je te dis : « caresse toi devant ses jeunes hommes » puis je me lève et vais vers eux
leur demander s’ils veulent venir à notre table.

Immédiatement les jeunes prennent leur verre et vienne à notre table de chaque côté de
toi, moi venant me placer face à toi. A peine assis, leurs mains disparaissent sous la
table

Marie : « Oui, ils saisissent mes cuisses, et remonte vers mon intimité trempé. En
même temps, ils me pénètre d’un doigt Ils vont et viennent en moi. Je me mords les
lèvres pour ne pas hurler ma jouissance.

Je te demande alors de te lever, car il est temps de retourner au magasin.

Marie : Je me lève et ce n’est qu’une fois debout que je m’aperçois que mon manteau
est grand ouvert et que tout le monde peut me voir. Je croise les bras pour serrer les
pans du vêtement sans le boutonner.

Une fois dehors, nous regagnons la voiture et une fois dans le parking sous terrain,
je te fais mettre les bras le long du corps, afin d’ouvrir ton manteau.

Durant le trajet, nous n’échangeons aucun mot, et lorsque je m’arrête devant le
magasin, je te dis juste avant que tu ne descendes : « J’espère que tu me feras
honneur »

Le gérant du magasin, ouvre alors la porte de son échoppe en voyant la voiture
s’arrêter. Il me tend le sac contenant les vêtements essayés plus tôt et te prenant
par la main, il t’attire dans son magasin, mais avant de refermer la porte, il te
retire ton manteau et me le donne en disant :
« Elle ne va pas en avoir besoin. »

Il referme la porte du magasin, resté éteint, et je te vois te mettre à pattes, et
avancé près de l’homme, vers la lumière de la réserve. Lumière qui disparaît à la
fermeture de la porte séparant le magasin de la réserve.

Lorsqu’une heure plus tard, la porte du magasin, s’ouvre, je te vois apparaître sous
une cape noire. Le gérant ouvre la portière et avant de te laisser monter, se penche
vers moi et me dis :
« Vous avez là une très bonne chienne, vous pourrez toujours me l’amener lorsque vous
voudrez renouveler sa garde-robe.

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