Leslie Hd92

Leslie HD92 – Confessions d’un couple, suite

Anaïs continue :
« Après cette expérience nous voulions continuer et expérimenter d’autres découvertes.
Nous sommes partis dans le sud pour nos vacances, nous avions loué une villa avec piscine, dans un complexe, pour deux semaines et pensions bien en profiter.

Depuis notre petite soirée avec Tristan, nous n’avions pas eu l’occasion de recommencer d’expérience avec un ou une partenaire érotico-coquin.
Pendant tout le trajet, nous avons un peu ressassé cette soirée avec Tristan, et nous avons décidé de renouveler l’expérience, mais avec un inconnu, et si possible pendant ces vacances.
Rien que d’y penser j’en avais des fourmillements entre les jambes. Voir mon homme sucer le sexe d’un autre homme pendant que je le regarderais faire, était très excitant.
Et pour bien commencer nos vacances, je montais dans la voiture juste avec une mini-jupe, sans culotte et un tee-shirt moulant et échancré sans soutien-gorge, de façon à exciter un peu mon homme.
Pendant le trajet, je somnolais tranquillement à côté de lui en faisant des rêves érotiques.
Les jambes sur le tableau de bord, au niveau du pare-brise, je ne me suis pas rendu compte, qu’au fur et à mesure que je me tortillais sur mon siège, ma courte jupe laissait entrevoir mon pubis glabre.
Olivier fut excité comme une puce en découvrant mon bas-ventre dénudé, et comment faire huit cents kilomètres avec un short qui devenait trop petit à chaque regard qu’il lançait sur mon entrejambes.
Dans ma somnolence, j’ai soudain sentis ses doigts m’effleurer l’intérieur de ma cuisse et descendre doucement vers mon pubis. Je gardais alors les yeux clos pour profiter un maximum de sa caresse et tout doucement, il m’écarta les cuisses de façon à pouvoir venir caresser mon pubis imberbe.
Il commença par me caresser de toute sa main, juste en me frôlant légèrement pour voir si j’étais partante pour aller plus loin.

Puis ses doigts se firent plus pressants, le majeur écartait mes grandes lèvres pour se frayer un passage vers les petites lèvres et l’entrée de mon vagin déjà bien humide d’excitation.
Indécemment offerte les jambes écartées je devais offrir aux routiers qu’on doublait un spectacle formidable sur mon intimité, certains ont même klaxonnés.
Il continua sur sa lancée, me faisant mouiller de désir.

Puis j’ouvris les yeux pour le regarder amoureusement et je me mis à la recherche de son sexe. Il était tellement à l’étroit dans son short que j’eus du mal à le faire sortir, mais une fois libéré, je pus admirer son membre droit et dur, qui ne demandait qu’à exploser.
Je changeais donc de position pour me pencher au-dessus de ce phallus imposant et lui administrer une fellation. J’ouvris ma bouche et me mis à le sucer, je le sentais se tortiller sur son siège et je savourais avec plaisir cette situation.
Il ne devait pas perdre le contrôle de la voiture, et moi je devais garder le contrôle sur son sexe.
Lorsqu’il vit un panneau d’aire de repos, il prit la sortie pour se garer, un peu à l’écart des autres voitures en disant :
- Là, je te promets que tu vas prendre cher !

C’était une aire de repos arborée avec, un peu partout des vacanciers prenant leur pose.
Il faisait déjà chaud. Nous avons trouvé une place de parking un peu à l’écart près de deux gros camions.
Il éteignit le moteur et recommença ses caresses. J’étais déjà toute excitée, alors je ne me suis pas fait prier pour écarter au maximum mes jambes et qu’il se penche sur moi et descendre doucement vers mon sexe.
Je sentais le désir et le plaisir se mélanger, je n’en pouvais plus.
L’indécence de la situation et de l’endroit redoublait mes désirs, nous pouvions être surpris par n’importe qui et cela m’excitait.
Je pris sa tête entre mes mains et amenais sa bouche vers mon clitoris en feu. Il se mit à le lécher si fort que je n’ai pu me retenir plus longtemps et mon orgasme arriva dans un immense cri de plaisir.

Puis il me fit sortir de la voiture et me coucha sur le capot, le ventre contre la tôle chaude, il retroussa ma mini-jupe sur mes reins et m’encula sans plus de séance.
J’ai crié et il a fini de m’enculer sous le regard amuse et intéressé d’un des routiers qui nous regardait à la vitre de sa portière.
Nous avons jouis ensemble et somme remontés dans la voiture, moi le cul plein de son jus et lui le sexe encore bandé, les vacances commençaient à merveille.

Nous avons passé le reste du trajet tous rêveurs et sommes arrivés tard dans la soirée à la villa, accueillis par notre loueur en personne, un bel homme à l’allure de matador.
Après une petite visite de la propriété, il nous a conduits à notre villa une petite visite guidée.
Elle était encore un peu éclairée par le soleil couchant, et le peu que nous avons pu voir nous a enchantés.
C’était une bâtisse, abritée par d’énormes arbres qui devaient la garder fraîche pendant la journée, un patio pour manger dehors, une cuisine spacieuse donnait sur le patio, une chambre immense, une salle de bains de rêve, avec jacuzzi, et douche à l’italienne donnant directement sur la terrasse surplombant la piscine illuminée. Le rêve…
Il nous expliqua que ce genre de propriété s’appelait une manade et qu’il était issu d’une famille d’éleveur de taureaux.
Il nous laissa nous installer et nous proposa de le retrouver un peu plus tard pour une collation de bienvenue. Il nous expliqua que sa maison se trouvait un peu en contrebas de la piscine et qu’il suffisait de suivre le chemin éclairé par les lanternes.
Après avoir défait nos valises et refait un petit tour de la villa, j’ai pris une douche et je me suis changée pour être un peu plus à l’aise, la vraie tenue de vacances, un chouette petit ensemble en voile blanc transparent qui mettrait mes dessous sexy blanc en valeur, sans être indécente, je devais être provocante…

La maison du manadier, était une charmante petite maison de plain-pied avec un immense salon, deux canapés en cuir s’y trouvaient sur des tapis de taureaux devant une vaste cheminée.
Il y avait un peu partout des portraits de toreros et de taureaux ainsi que des bronzes de cette magnifique bête.
Il nous pria de nous installer confortablement sur l’un des deux canapés et prit place dans celui d’en face. Il nous avait servi quelques petits amuse-gueules à base de tapenade d’olives vertes et noires, ainsi qu’un muscat, boisson fraîche et liquoreuse, spécialité du coin.
Nous avons fait connaissance et longuement discuté. C’était un homme charmant, très fin mais avec une force dans le regard qui ne laissait pas de marbre. Il nous expliqua qu’il avait pris la suite de son père et de son grand-père dans l’élevage des taureaux, il devait avoir une quarantaine d’années, la peau basanée, typé méditerranéen.
Habillé avec un pantalon en lin blanc, une chemise ouverte sur un torse velu qui faisait ressortir un bronzage doré.
Il nous dit juste que sa femme était partie avec les s dans le sud de l’Espagne pour retrouver ses parents et y passer l’été, et que seul il passait l’été à s’occuper des taureaux.

De temps en temps, je percevais ses regards allant d’Olivier à moi, le genre de regard qui ne trompe pas, nous l’intéressions et sûr qu’il ne devait pas s’ennuyer l’été entre ses taureaux et ses locataires.
Peu de temps après, nous avons pris congé de notre hôte en lui proposant de venir dîner avec nous le lendemain soir après sa journée de travail.
Bien sûr, il ne se fit pas prier.

Sur le chemin du retour je taquinais Olivier sur la façon dont le manadier, qui s’appelait Lorenzo, nous regardait et je lui fis comprendre qu’il ne m’était pas indifférent, je pensais même, qu’il était du genre à plaire à mon homme… »

A suivre…

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