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Leslie VN95 – Le week-end de Laure

Laure est partie en week-end de trois jours à Montpellier, son amie Marie l’ayant invité.
Marie est mariée à Laurent, un interne en chirurgie du CHU, où Marie est infirmière, c’est là qu’ils se sont rencontrés.
Nous avions dinés un soir avec eux lors de nos vacances au Cap d’Agde, et bien que ce soit un couple très libre, il ne s’était rien passé de sexuel ce soir-là.
Par contre Laurent avait ouvertement, lors de cette soirée, fait part à Marie de son attirance pour Laure et ce devait être la raison de son invitation, car pour être très libre, ils pratiquaient aussi l’échangisme.
Ils ont une belle villa avec piscine et vue sur une plage de sable au Grau du Roi, un petit paradis que leur permet d’avoir leur situation aisée.
Laurent, un bel homme d’un mètre quatre-vingt-cinq, elle est assez grande, des seins moyens et un joli petit cul.

C’est à son retour que Laure me fit part de son week-end.
« Marie me fit un accueil chaleureux, et le vendredi soir pour mon arrivé, après une douche, nous avons été diné en ville.
Durant le repas Marie n’arrêtait pas de me poser des questions sur ma vie, ce que j’avais fait depuis le lycée au moment où elle avait déménagé avec ses parents pour Montpellier, mes aventures amoureuses, qui tu étais, enfin tout.
Si bien qu’au retour nous avons continué de papoter toutes les deux au salon, Laurent étant parti se coucher, avec un verre de cognac.
Avec toutes ses questions, j’ai fini par lui dire que j’étais bisexuelle et que je vivais avec toi, une transexuelle, que nous étions libres mais très amoureuses et que parfois j’avais des aventures, enfin le grand déballage de ma vie.
Heureusement elle ne m’a pas demandé de détails sur mes aventures et notre relation sentimentale et sexuelle.
Si bien que petit à petit elle s’est rapprochée de moi pour finir à mes côtés une main sur ma cuisse, et c’est là qu’elle m’a dit :
- Tu sais que Laurent fantasme sur toi ?
- Je l’avais compris lors du diner des vacances, il te l’a avoué sans se cacher.


- Depuis il n’arrête pas de me parler de toi et a insisté pour t’inviter.
- Bon et alors, dis-je.
- Heu, tu sais que nous sommes échangistes, alors ce week-end j’ai invité un ami, et nous pourrions faire une petite partie fine demain soir.
- En fait je suis tombée dans un traquenard !
- Non, non, dit Marie, tu verras Claude te plaira, et cela ferait tant plaisir à Laurent et à moi.
En disant cela je sens sa main qui monte vers le haut de ma cuisse, lentement et se tournant vers moi elle approche son visage du mien et m’embrasse sur les lèvres.
Elle se retire aussitôt en disant :
- Excuses-moi ma chérie, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Bon, me dis-je, elle avait exposé la situation, ça allait être un week-end de cul, alors tant qu’à faire il fallait en profiter.
Je luis ai rendu son baiser en lui offrant ma langue et durant ce baiser j’ai profité de son abandon pour passer ma main dans sa jupe et la caresser au travers du tissu de son string, qui était trempé.
En quittant sa bouche, j’ai lu dans ses yeux un émoi intense, alors profitant de la situation, je lui ai dit :
- Montres-moi ma chambre et viens dans mon lit.
- Et Laurent ? Me demande-t-elle.
- Il doit dormir à cette heure, mais nous pouvons vérifier au passage.

La main dans la main nous sommes parties vers la chambre qui m’était réservée et au passage nous avons jeté un coup d’œil dans la chambre de Marie. Laurent allongé nu sur le lit, dormait, mais mon regard s’est arrêté sur son sexe, qui au repos était de belle taille.
Je dis, dans un chuchotement, à l’oreille de Marie :
- Il est drôlement gaulé ton homme, tu ne dois pas t’ennuyer avec un tel engin.
- Je ne me plains pas et les autres femmes non plus.

Dans la chambre, un fois nue, nous nous sommes couchées et aimées, longuement, caressant nos corps dans une infinie douceur remplie de tendresse.
Nous avons gouté à nos intimités des doigts et des lèvres, puis plus goulument de la bouche, excitant nos clitoris en étouffant notre plaisir.

Nous nous sommes doigtées, chatte et anus, pour notre plus grand plaisir, puis trempées nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.

Le lendemain, samedi, Laurent étant d’astreinte, nous avons le matin été à la plage nudiste, farniente et bronzette printanière, sous un chaud soleil du mois de mai.
Puis une collation vite fait en ville et retour à la maison pour un repos auprès de la piscine.

Laurent est rentré vers seize heures, accompagné d’un beau jeune homme, au corps athlétique, Claude dont m’avait parlé Marie la veille au soir.
Petite discussion au bord de la piscine, puis nous nous sommes mis à l’apéro, en fait aux apéros, et au moment du repas nous étions déjà gais.
Après le repas Laurent nous offrit du champagne et c’est pas mal éméchés que nous nous installâmes au bord de la piscine pour le boire.
Après une coupe Marie s’écria :
- Allez, tout le monde à l’eau !
En un rien de temps elle se déshabille pour se retrouver nue devant moi et se jeta dans la piscine.
- Alors tu viens ma chérie ? Me demanda Marie
Je me désapais donc aussi et plongeais dans la piscine pour la rejoindre.
Les garçons nous regardaient médusés, ne sachant que faire, ils m’avaient vu nue et avait certainement appréciés.
Ce fut Marie qui les interpella :
- Hé les gars, vous attendez quoi, qu’on vienne vous chercher par la queue ?
Laurent lui répondit :
- OK, ma chérie mais faudra pas te plaindre si on ne sait pas se tenir.
- Oh, je crois qu’on ne s’en plaindra pas, lui rétorqua-t-elle.

Nous étions dans la partie peu profonde et les regardions enlever leurs vêtements, ils le faisaient sans se presser comme s’ils voulaient nous offrir un strip-tease et nous faire attendre, peut-être aussi pour voir notre réaction et s’exhiber un peu.
À voir la bosse qui commençait à déformer leur boxer, nous comprîmes que la situation leur faisait de l’effet et quand ils le retirèrent, les sexes se redressèrent libérés de l’enceinte de tissu.

Sans perdent de temps ils sautèrent dans l’eau, mais j’avais eu le temps de voir à nouveau le sexe de Laurent, qui en érection était impressionnant et celle de Claude tout aussi impressionnant mais en plus épais encore, une queue à faire des ravages.
Marie tout près de moi me dit :
- Impressionnantes les queues de nos mâles.
- Oui, dis-je d’une petite voix.

Ils nagèrent dans notre direction et vinrent se coller, l’un après l’autre, contre nous, pour nous faire sentir la dureté de leur membre.
Marie ayant certainement déjà fait des parties avec Claude, dit sans hésitation :
Dehors les mâles que je suce votre bite.
Ces derniers étaient aux anges, en un rien de temps ils étaient assis, côte à côte, au bord de la piscine près à se faire sucer la queue.
Marie s’approcha d’eux en nageant doucement et en sortant une dernière fois la tête de l’eau elle se jeta sur le sexe de Claude en disant :
- Honneur aux invités !
Du milieu de la piscine où je me trouvais j’ai vu la mine dépitée de Laurent, laissé pour compte par Marie.
Je savais que Laurent m’attendais pour que je vienne le sucer, et que certainement Marie l’avais fait exprès pour m’obliger à le faire, alors j’ai laissé attendre Laurent en faisant quelque brasses, tout en le regardant de façon provocante et en me caressant la chatte pour m’exciter un peu.
Au bout d’un moment Marie est sortie de l’eau et les hommes ont été s’allonger sur leurs serviette dans l’herbe au bord de la piscine, Marie s’est installée près d’eux et à reprit sa fellation sur le sexe de Claude.

Et moi, tranquillement, au bout d’un moment, je me suis décidée à sortir de la piscine, provocante en m’exhibant au maximum au regard de Laurent, ce qui eut pour effet de le faire rebander un peu.
Là, alors qu’il était étendu sur le dos, me plantant à ses pieds les jambes bien écartées afin qu’il puisse voir ma petite chatte imberbe entrouverte je lui ai demandé :
- Tu veux que je te suce.

- Je n’attends que ça, me dit-il en m’exhibant sa grosse queue.
Je me suis mise à genoux et je me suis penchée vers son sexe dressé qui attendait ma bouche en palpitant, j’ai entrouvert les lèvres et je me suis mise à le sucer.
Après quelques minutes Marie se tourna vers et moi et me dit :
- On dirait que tu apprécies de sucer mon mec !
Elle venait de poser sa main sur ma chatte d’où dépassait, comme chaque fois que j’étais excitée, mon clitoris. Elle me retourna alors sur le dos et avant que je n’aie pu réagir, quittant le sexe de Claude, elle posa ses lèvres sur ma chatte et elle m’aspira mon bouton d’amour.
Je ressentis comme une coulée de lave en fusion dans mon ventre et pendant qu’elle alternait les mouvements de succion et de léchage, je commençais à gémir de plaisir.
C’est Laurent qui arrêta mes gémissements en renfonçant sa queue dans ma bouche. Excitée, maintenant, comme je l’étais, je m’empressais de l’engloutir avec avidité.

Pendant ce temps, Claude qui ne voulait pas rester spectateur mit Marie en levrette et l’embrocha d’un seul coup avec sa grosse queue épaisse. Au cri qu’elle poussa, je compris qu’elle approuvait cette initiative.
Claude commença alors à se déchaîner dans sa chatte et chaque fois que son ventre venait buter sur son cul, il projetait Marie en avant et sa langue s’écrasait sur mon clitoris.
À ce train, je ne pus pas me contenir longtemps et je partis dans un orgasme foudroyant, mes mâchoires se crispèrent sur la queue de Laurent qui ne résista pas non plus et m’envoya la purée dans le gosier, je n’eus pas d’autre alternative que d’avaler sa semence jusqu’à la dernière goutte.
Au même moment Claude remplit le ventre de Marie et crièrent leur bonheur en même temps. »

A suivre…

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