Souvenir D'Un Méchoui...

Veuf depuis six ans je vis avec mon fils de dix huit ans avec qui je suis très complice, il me rabâche toujours : papa je comprendrais si un jour tu amène une femme a la maison tu es trop jeune pour rester seul –
Il est vrai que ça me manque un peu de ne pas avoir une chatte sous la main, quand mes envies se font trop pressantes j’ai recours a une jeune femme tarifée de la ville
Tous les deux pour arrondir les fins de mois nous organisons des méchouis, par le bouche à oreille ça marche plutôt bien
Le comité des fêtes d’une société nous a sollicités pour ce samedi, il fait beau, ça se passe dans un parc privé, un chapiteau et une piste de danse en bois ont étés improvisés
En short et marcel je veille au bon fonctionnement de la cuisson et du tourne broche, dans la matinée nous recevons la visite de deux charmantes femmes
- Bonjour, je suis Élise la femme du directeur voici Jennifer ma fille, si vous avez besoin se quoi que ce soit n’hésitez pas a nous le demander, mon mari sera trop occupé pour venir vous voir et puis c’est le dernier de ses soucis ! Tenez voici deux bières fraiches vous avez du mérite de tenir devant ce feu d’enfer !
Une fois reparties nous nous regardons en souriant, vue.
Vers midi la fille nous apporte une sangria, bizarrement c’est a moi qu’elle semble s’intéresser le plus, mon fiston aurait il raison ?
- Houa, vous transpirez beaucoup ! Votre maillot est tout mouillé, votre peau brille ….je vous ai vue soulever le mouton ce matin, vous devez être costaud
Effectivement sous mes pectoraux le vêtement colle a ma peau, une coulée file vers le bas, elle doit se demander jusqu’ou descend cette sueur, son regard se fait insistant a la hauteur de mon entre jambes …le mien sur son généreux décolleté …
Une demie heure plus tard c’est la mère qui nous rend visite, et là surprise elle ne s’adresse qu’a mon fils !
- Vous avez délaissé votre petite amie aujourd’hui ça ne vous manque pas ?
- Il se trouve qu’en ce moment je n’ai pas de petite amie !
- Ha …bon à savoir …Houuu votre père est tout en sueur ! Pouah !

- Tu vois papa qu’est ce que je te disais ?
- Bah ! Tu te fais des idées ces deux nanas n’ont que faire de nous voyons !

Ça c’est précisé en fin de soirée, pour le soir les restes et des grillades sont prévues, il commence a faite brun je suis éclairé par les braises et la faible lueur des spots du chapiteau, mon fils est partit servir sous le chapiteau, Jennifer arrive toute guillerette
- Quelle chaude soirée, vous voyez je me suis changée j’étais trop couverte !
Ma foi oui, elle devait avoir chaud, Jennifer je passe ma main à plat sur la vulve humide, mon majeur qui dépasse du papier glisse dans sa fente mouillée surement pas uniquement par l’urine, puis je m’écarte rapidement de cette fille avant de succomber, par soucis d’écologie je ne jette pas le mouchoir je le mets dans ma poche
- Merci, c’était bien ……a tout à l’heure
- Si tu vois mon fils dit lui que je vais plier et partir bientôt, il a sa voiture au parking je ne l’attends pas
- Quand je suis partie il dansait avec ma mère, si j’étais vous je ne compterais plus sur lui ce soir, si vous voulez vraiment le trouver dans un moment cherchez sa voiture dans le parc, vous le trouverez ainsi que ma mère sur lui ou sous lui….

.Je reviens vite !

Assis a l’entrée du fourgon je reste un moment abasourdis à réfléchir en reniflant le mouchoir imbibé d’urine et de mouille, mon fils avait raison, la mère aime les jeunes, la fille aime les vieux, je vais vite ranger mon matériel et foute le camp… trop tard, la revoilà j’ai juste le temps de planquer le mouchoir
- C’est bien ce que je pensais ils ont disparus ! Je peu m’assoir sur vos genoux ?
- Quel âge as tu ?
- Dix huit …. Bientôt ……
Au point ou j’en suis je ne refuse pas et puis je n’ai pas envie de refuser …La gamine vient a cheval face a moi sur mes genoux
- Huuuummmm j’aime votre odeur, cette sueur ce maillot, ça me rappelle un oncle il y a quelques années je m’asseyais comme ça sur ses genoux je posais ma tête sur son torse pour respirer à fond son odeur de bucheron, comme ça …Muuuuuummmmm ça sent booooonnnnnnn
Les mains posées sur le plancher je n’ose pas bouger sa jupe est remontée très haut dévoilant le fond de son string, j’ai le nez entre ses seins
- Mon tonton passait sa main sur mes cuisses, ses doigts effleuraient ma minette, il me disait : Tu es déjà bien formée pour ton âge ! Une grosse bosse déformait son pantalon… Tout comme vous ….posez vos mains sur moi s’il vous plait
- Dis-moi, cet oncle ne t’a tout de même pas violée ?
- Non rassurez vous et puis ça n’aurait pas été un viol …..
A demi rassuré je passe mes mains derrière ses fesses j’ai tout de suite accès a sa culotte gonflée a l’entre jambe par la chatte en émoi, du bout des doigts je masse ce renflement divin, Jennifer ronronne, elle écrase ses seins sur moi, j’ai soudain un instant de lucidité, quelqu’un pourrait surgir a tous moments, me voir avec cette gamine sur les genoux serait mal venu
- Lève toi et suit moi
Docile la fille se relève, je lui prends la main et l’entraine dans le sous-bois, cachés par un gros arbre je m’arrête, Jennifer se pend a mon cou le nez toujours collé a mon tors elle se choute a mon odeur de mâle, je défais les boutons de son gilet pour lui empaumer sa poitrine
- Déshabillez-moi ….
.
Je fais glisser le gilet sur son épaule, il tombe à terre, puis je cherche la fermeture de la jupe qui rejoint le gilet
- Attendez, j’ai une idée ! J’ai de la force dans les bras, je suis championne de barres parallèles, accrochez moi a cette branche là … baissez ma culotte…
Comme si je déballais un cadeau inestimable je fais glisser religieusement le dernier rempart qui protège sa féminité, sa jeune vulve apparait juste à hauteur de mon visage
- Voilà, maintenant tu peux me bouffer la chatte !
Elle pose ses jambes sur mes épaules, sa moule odorante est juste là devant mon nez, je soulève ses fesses à bonne hauteur et je me jette comme un affamé sur ce minuscule berlingot, plus je lape plus je suce plus j’aspire plus il arrive de nectar
Jennifer hulule comme une chouette en jouissant, nous somment en plein bois ça ne va pas attirer l’attention et puis la musique et les cris couvrent les siens!
- Houaff, tu as une chatte délicieuse
- Tu fais ça bien aussi ! Tu vas me baiser maintenant ?
- Mais je suis là pour ça, descend
Lestement elle se laisse tomber pile poil accroupie à hauteur de mon short l’entrainant avec elle sur mes chevilles
- Ça tombe bien j’ai envie que tu me suce
Jennifer baisse mon boxer, ma queue bandée lui saute au visage, elle garde le nez dans mes poils un long moment avant de gober mon gland décalotté, mes mains sur sa tête je guide les mouvements, je baise sa bouche lentement, ma queue visite le creux des ses joues, je jauge la profondeur de sa gorge
- Tu es prête ? Je vais te gaver comme une oie
D’un signe de la tête elle fait oui, le bassin en avant je libère ma purée à longs jets dans cet orifice de substitution, la fille hoquette, tousse mais avale courageusement le maximum de foutre
- Comme crème dessert on ne fait pas mieux ! Je me mets comment pour y passer ?
- Le dos a l’arbre dans une minute tu n’a plus de peau alors appuis toi avec tes mains sur le tronc et recule et écarte tes pieds, cambre bien le dos, fait ressortir tes fesses… ne bouge plus tu es en bonne position pour que je t’enfile jusqu'à la moelle
- J’attends cet instant depuis ce matin …tu as une grosse queue mais ne me ménage pas j’en ai vus d’autre
- Comme petite salope tu te pose là ! Tu dois tenir ça de ta mère ?
- Ma mère prend du plaisir autant qu’elle veut mon père s’en fout et comme je suis au courant de leurs caprices, ils me laissent faire ce que je veux à condition de ne pas me faire faire un mouflet ! Je prends la pilule donne moi tout !
- Tu va être servie !
Les bras en avant appuyés sur le tronc, le dos a l’horizontale les jambes écartées, un rayon de lune éclaire la sienne, elle ressemble a une biche qui s’abandonne a la saillie, la trique a la main je me positionne en face la fente entrebâillée, je prends mon temps pour ouvrir la faille avec mon bélier, le trou est là je n’ai plus qu’a pousser….
je saisis Jennifer par les hanches
- Qu’attends-tu ? Baise moi !ne me fait pas languir, enfonce ta grosse trique dans mon con
- Tiiiieeeennnnn ! Voilà mademoiselle est servie !
- VOOUUAAAHHHH !
D’un seul coup de reins je l’embroche entièrement, aussitôt commence la danse de l’amour, ses seins ont ballotés comme des flans, la tête penchée vers le bas elle subit mes assauts en criant de joie, je glisse une main vers son clitoris, cela suffit à lui déclencher un orgasme violent, un liquide chaud jaillit de sa chatte, je me colle a son cul pour lui injecter le produit de mes bourses
- Hoooooaaaaaaaaah tu me fais jouiiiiir salope ! prends ça dans les miches !
- Donne moi touuuuut c’est trop boooonnnnnnnnnnnnn
Repue, épuisée Jennifer se laisse tomber a genoux sur la mousse le cul en l’air a nouveau provocante, je me retrouve la bitte a l’air le gland suintant, avec un désir de recommencer, a mon tour je m’agenouille
- Reste comme ça je vais te prendre le petit
-
- Hooo nooon ! tu veux m’enculer ? Fallait pas me provoquer
- Alors vas-y …..De toute façon je te l’aurais demandé dans cinq minutes il n’attend que ça mon petit trou ! mais doucement hein ?
Je tartine la cible avec la mouille qui dégouline entre ses cuisses avant d’appuyer mon gland, l’anneau s’élargis sous la pression puis finit par céder, ma queue est absorbée sur cinq centimètres d’un coup, j’attends que la fille s’habitue à ma présence avant de lui en mettre plus profondément
- Quand tu es prête recule-toi sur moi
- Deux secondes … ça brule moins, va y, j’n’en ai jamais prise d’aussi grosse, il faut que je me caresse en même temps pour jouir rapidement
Mon cylindre disparait lentement entre ses fesses menues, j’ai l’impression que ma queue passe dans une essoreuse, maintenue fermement par les hanches Jennifer ne peut que subir mes assauts, des cris rauques sortent de sa bouche, je la secoue de plus en plus vite avant de me planter très loin en elle et de lui injecter le reste de ma semence
La tête au sol, l’entre jambes dégoulinant elle récupère, je remets mon short et mon maillot de corps
- Vous partez ?
- Hé oui, il n’y a plus de musique les gens s’en vont
- Mince ! comment vais-je rentrer ?, je peux aller chez vous ?
- Beeennn ……
Aller dites oui ! et puis comme ça je ferais mieux connaissance avec votre fils demain à moins que ma mère ne l’ai complètement
- épuisé !
- Tu as de la suite dans les idées toi ! après le père le fils ?
- Pourquoi pas les deux a la fois ……………….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!