Alice

Je suis inscrite à la fac. Très bien, j’apprends comme je m’y attendais qu’il n’y a
plus de chambre en cité U. Je me suis mise en chasse d’une chambre. Après plusieurs
jours j’ai enfin la perle rare, une chambre relativement grande au 6° étage. Je
commence mon installation sans trop savoir quels vont être mes voisins. Du moment
qu’ils ne sont pas bruyant, tout ira.
Au bout de 8 jours je connais tous mes voisins, voisines. Je devrais dire voisines le
seul garçon est effacé au possible. Parmi le six autres filles, une seule est
étudiante comme moi, les autres sont vendeuses, caissière, même, préparatrice en
pharmacie. J’ai appris une seule chose, en entrant, de la part du propriétaire, pas de
visite d’étrangers dans les chambres. Autrement dit si je trouve un copain, je pourrai
jamais l’emmener chez moi. Ca va me poser un problème, j’aime faire l’amour avec les
garçons.
Tant pis pour moi, je me contenterais seule. Enfin en début d’année ce n’est pas
dramatique.
Ma voisine étudiante est comme moi, elle arrive à peine. C’est la seule avec qui j’ai
des semblants d’amitié. Nous allons souvent nous rendre visite pour bavarder, pour
aller chercher l’autre pour aller à la fac, etc. En quinze jours nous sommes bien
liées. Il nous arrive souvent de travailler dans la même chambre. Nous bavardons
beaucoup de nos cours, de nos parents, nos amis et bien sur l’amour : elle a un copain
qui habite loin, comme moi. Pour le moment elle est fidèle, pas comme moi qui suis
prête à sauter sur un joli garçon. J’entre un soir dans sa chambre, comme d’habitude
sans frapper.
Elle est sur son lit, nue, les jambes écartées, une main sur sa chatte : elle se
masturbe. Ma présence ne la choque pas, elle continue jusqu’au moment ou elle dit :
- C’est sacrément bon de se faire du bien, tu n’en pas envie.
- Maintenant de te voir faire, oui.

Je vais me branler dans ma chambre.
- Reste ici, ma place est chaude. Je te regarderai comme tu viens de faire pour moi.
Que faire, j’ai réellement envie de m’envoyer en l’air, mais devant elle ? Et puis
zut, personne n’interdit une telle pratique. Je me déshabille devant Alice, me couche
à ses cotés : elle se lève pour me laisser la place. Avant de faire quoique ce soit,
je regarde ce corps de femme : elle est drôlement sexy, Elle aussi me regarde. J’ai un
peu honte quand je pose ma main sur la chatte. Je ferme les yeux pour que mes
fantasmes soient présents. Je suis avec mon ex qui me baisait si bien, qui m’enculait
et que je suçais. Ma main n’arrête pas ses vas et viens sur le clitoris. J’ajoutais
deux doigts de l’autre main dans le vagin, à l’endroit qui me fait toujours bien
jouir. Je pars assez vite ; quand j’ouvre les yeux Alice me regarde toujours, elle se
branle aussi.
J’ai peur de la suite, aussi je prends mes vêtements pour traverser le couloir en
allant dans ma chambre. Je me couche toujours nue. Je pense qu’Alice peut m’être d’un
sérieux secours pour les cas d’urgence extrêmes. Me viennent en tête des images de
filles en 69 comme dans les films X, je me vois subir sa langue sur mon abricot,
pendant que je lui lèche la moule. Je m’excite encore plus. Cette fois mes rêves
deviennent plus érotiques. J’ai oublié la bite de mon ex, je pense à la chatte
d’Alice. Pendant que je me branle ma langue court sur mes lèvres comme si elles
étaient le sexe de ma copine.
Je ne sais combien de fois j’ai pu jouir, je m’endors rompue. Au petit matin c’est le
froid qui me réveille : Je suis toujours nue. Je me couvre un peu. Etant nue, je
m’excite vite. Cette fois je ne veux pas me masturber la chatte ; je passe ma main
droite sous moi pour aller sur l’anus. J’en caresse le tour avant d’entrer le plus
loin possible.
Je ne sais même pas pourquoi j’ai fait ainsi, le souvenir sans doute
des sodomies de mon ex. Mon doigt entre et sort de mon cul. Je sens comme rarement les
crispations de l’orgasme autour de mon doigt. J’ai pris mon pied facilement. Je me
rendors comme toujours après un orgasme.
Le matin je retrouve Alice, je crains que nous parlions de la veille. Notre
conversation est normale. Au retour, nous nous retrouvons dans ma chambre pour
étudier. Après un repas rapide je lui dis que j’ai envie d’elle : c’est bien la
première fois que je dis ça à une fille. Elle me regarde en f&ce pour me dire qu’elle
aussi a envie de moi : je remplacerais fort bien un garçon. En somme nous sommes des
substituts d’homme. Nous mettons le chauffage à fond, nues, nous nous embrassons comme
de véritables amants.
Nos langues font vite le tour de nos bouches, elles recommencent sans cesse. Je sens
que je mouille de plus en plus. Je eux le savoir pour elle : je passe ma main entre
ses cuisses qu’elle écarte sans refuser une seule caresse. Evidemment, sa chatte est
plus qu’humide. J’en suis à ma première fille. Je passe derrière elle, mon bras droit
sur son coté. Ma main caresse toute la chair que je trouve. Quand je suis sur sa
fourrure, il me semble être sur ma chatte. Ma main descend légèrement, lentement sur
sa moule. Elle a posé sa tête sur mon épaule en signe de confiance. Je ne peux pas la
décevoir, ma main entière prend son berlingot. Je sens les poils de sa figue sous mes
doigts. J’en mouille encore plus.
J’entre le majeur dans son puits. Je le fait aller et venir, elle se crispe juste
avant de jouir. Je n’arrête pas, je veux la faire jouir encore. C’est simple, ma main
cesse de tutoyer sa caverne pour venir sur le clitoris. Elle gémit de plus en plus
fort, elle geint sans arrêt. Le clitoris que je caresse lentement se gonfle encore un
peu jusqu’à l’éclatement final.
Elle cri presque quand son troisième orgasme la
bouscule un peu.
Elle se tourne vers moi, nos seins se touchent apportant par là une extension de notre
excitation. C’est elle qui maintenant me prend la chatte. Elle est plus câline que
moi. Ses caresses sont douces, elles me font aller au paradis rapidement. Mon dieu que
c’est bon ce qu’elle fait. Je me couche pour mieux profiter des masturbations. Elle
finit ce qu’elle avait commencé pour me donner un autre orgasme. Maintenant c’est
Alice qui prend la direction de la suite de notre baise. Sa tête descend sur mon
entrejambe. Quel plaisir de sentir son souffle sur mon sexe, quel plaisir de sentir sa
langue sur mon clitoris qui vient pourtant de me faire jouir.
C’est un maelström de jouissance, je ne m’attendais jamais à ça. Je m’étale le plus
possible pour que tout mon corps soit en accord avec ce plaisir inconnu. Quand je
jouis, il me semble que l’orgasme traverse tout mon corps de bas en haut pour
redescendre par la colonne vertébrale. Ce n’est pas possible que je sois sa première
amante. Un démon doit habiter son corps, elle me lèche l’anus, cet espace réservé à
une seule bite jusqu’à aujourd’hui. J’ouvre mon cul comme je peux, sa langue y entre
un peu : elle me fait encore jouir. C’est insensé d’avoir tous ces plaisirs en si peu
de temps.
Alice m’enjambe pour me donner son sexe. Je lève un peu la tête, passe mes bras par-
dessus ses cuisses pour mieux la lécher. Je suis d’abord surprise par l’odeur de sa
moule, il me semble qu’elle respirer un endroit frais, comme un jardin. Quand au gout
je trouve qu’il se rapproche des fraises. Bien sur ce n’est qu’une idée qui éloigne le
début de dégout que j’ai eu en passant ma tête très près d’elle.
Je commence, non pas comme elle, je mets ma langue directement dans son puits. J’y
trouve une saveur particulière bien féminine, J’enfonce le plus possible ma langue
accompagnée de deux doigts.
J’y laisse les doigts pour que ma langue aille là où c’est
interdit. Elle me dit qu’elle est vierge du cul. J’en profite pour lui faire découvrir
les plaisirs anaux. Je crois lui faire du bien quand elle gémit. Elle me le dit bien
d’ailleurs :
- Continue dans mon cul, baise moi l’anus, c’est bon, je vais…………..jouiiiiiiiiiiiiiir.
Je sors mes doigts de son con pour les mettre dans son rectum. Elle les accepte
volontiers. De ma main libre je lui branle le bouton. Elle jouit encore sans cesse.
Arrive le moment où nous sommes crevées. Notre étreinte se transforme en légère
caresses.
Plus tard, au matin nous recommençons encore une fois. Que nos 69 sont relevés et
jouissifs.

Que réserve l’avenir. Pour le moment nous n’en savons rien. Pourtant nous trouvons de
temps en temps un garçon pour nous baiser toutes les deux. Il faut que le propriétaire
soit absent, dans ce cas seulement nous pouvons nous faire mettre. Des fois, trop
rares nous avons chacune le notre. Habituées à jouir ensemble nous baisons toujours
ensemble à la grande joie de nos amants.

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