Lucile

Il me semble que tout le monde sait que je sors du sexe shop. J’ai exagéré en passant
tellement de temps à choisir ce qui me fallait. La prochaine fois j’achèterais par
internet. Je suis seule depuis plus d’un mois et un mois sans baiser est très long
pour ma petite personne sensuelle.
En arrivant chez moi je déballe tout le bazar que j’ai acheté : des boules de geisha,
un œuf vibrant télécommandé, un jeu de perles annales et enfin du gode vibrant. Le
seul tort que j’ai c’est de les poser, étalés sur la table du séjour. Il est encore
tôt cet après midi, je regarde mes jouets, j’en ai envie. Je rince le tout dans de
l’eau tiède, pour ce soir. Seulement à force les tripoter et les regarder j’ai ma
culotte toute mouillée. J’ai beau me raisonner, me dire que je peux bien attendre, mon
bas ventre me signale qu’il est vide.
Quand j’ai cette sacrée boule au ventre il faut que je me soigne : je ne connais qu’un
seule remède : me satisfaire. Je ne vérifie même pas si la fenêtre est close, je suis
vite nue pour m’assoir dans le fauteuil d’où je regarde la télé. J’écarte bien les
jambes pour en poser une sur chaque accoudoir. Ma chatte est ainsi presque ouverte
complètement. Je passe ma main droite sur elle, comme pour vérifier si elle est en
état de marche. J’avance mes fesses au bords du fauteuil.
Je veux commencer par le plus fort, de suite. Je me mets les perles annales l’une
après l’autre : je commence à bien sentir le plaisir qui monte. J’en suis à la
cinquième quand je suis obligée de m’arrêter pour un tout petit orgasme. J’enfile les
autres rapidement pour avoir le rectum et sa suite dans le ventre bien plein.
Je reste un moment sans bouger comme pour digérer le plaisir d’avoir le cul rempli. Il
est venu le temps de baiser : le gode de forme bizarre est dans mon vagin, une partie
est pile sur mon point G.

Mon ventre se creuse sous le plaisir qui me mène à l’orgasme
que je sens arriver. Si ma main droite est occupée à me masturber, la gauche est sur
mes seins qu’elle caresse sérieusement. Mes tétons sont la preuve de l’avancement de
ma jouissance montante. J’ai la tête en arrière sur l’appui tête du fauteuil : je me
laisse aller complètement. Mis à part mes seins et mon bas ventre je ne sens plus mon
corps.
J’oublie un instant le gode qui de toutes façon, même si je le lâche sait me donner un
minimum de plaisir pour sortir les perles de mon cul. Je ne m’attendais pas à ça. Si
je tire un peu trop fort la première me fait presque mal. Je sors la suivant en me
méfiant. J’ai bien raison : la perle sort très lentement de l’anus. Tellement
lentement que je jouis tout le temps de sa sortie quez je retarde au maximum pour en
jouir encore. J’en ai encore 6 dans les boyaux. Je ne me presse plus, je les sorts
très lentement pour profiter des orgasmes consécutifs. Je ne pensais jamais jouir
autant à la suite.
Je me finis avec le gode à fond en allant et venant très vite. Je jouis encore une
fois. Je reste ainsi assise sur le fauteuil à prendre du repos bien mérité. Je ferme
les yeux et m’endors.
Quand je me réveille, toujours nues, bien sur, j’ai le gode encore dans le puits. Je
suis encore mouillée. Je n’hésite pas à recommencer à me baiser. Evidemment mon
plaisir est à l’affut : il arrive vite.
Cette fois je me lève, je regarde si personne ne me voit. Sans doute une fille à une
fenêtre juste en face la mienne. Je ne la connais pas, je m’en fous. Je range mon
matériel dans la chambre : dans un tiroir de l’armoire, bien à l’abri des regards
curieux. Je ne me rends compte de ma nudité qu’à ce moment là. Bof, je suis seule, je
prends même la décision de vivre ainsi chez moi. C’est vrai, je me sens plus
confortablement à l’aise.

Je fille à ma cuisine pour un repas mérité après ce que j’ai jouis. J’ai juste sur moi
un tablier pour éviter les éclaboussures sur ma peau. Une omelette rapidement faite me
contente, après du fromage. Je retourner voir la télévision, je me remets toujours
nues dans ma même position agréable : une jambe sur chaque accoudoir. Même si la ma
chatte baille un peu, je m’en contente. Je regarde je ne sais quel film quand ma main
droite tombe sur ma chatte. Je caresse machinalement le bouton. Je ne tiens pas dix
minutes pour avoir envie de plus. Je me lève pour prendre un jouet.
Je pense en souriant que quand j’avais une dizaine d’années je jouais aussi, mais à la
poupée. Aujourd’hui la poupée c’est mon bas ventre, le seul endroit qui me donne tant
de plaisir. Je reviens avec l’œuf vibrant.
Un réflexe me fait regarder la fenêtre : je sois encore une fille qui me regarde.
Qu’elle me regarde bien, je vais me donner du plaisir. J’entre lentement l’œuf dans ma
vulve. Je tiens à la main la télécommande. Je laisse l’œuf tranquille pendant que je
me masturbe un peu plus, cette fois en regardant la fille devant moi. J’arrête avant
de jouir, juste au moment où je mets en marche la télécommande. J’en sursaute de
plaisir, je ne pensais jamais sentir cette explosion dans mon ventre. J’arrête un
instant pour remettre en route, je sens que l’orgasme qui vient va être majestueux. Il
l’a été. Mes spasmes faisaient que je sentais toujours ce jouet me donner encore plus
de plaisir. C’était divin.
En levant les yeux je voyais toujours la même fille qui me regardait en se masturbant
en se montrant en plus. Si elle avait été à mes cotés je sais que je l’aurai baisée.
Les heures que j’ai passées à me faire du bien se sont passées très vite : il faut que
j’aille dormir.
Je passe ans la chambre poser mes jouets, prendre une douche crapuleuse : je me branle
le cul.

Le lendemain en partant travailler je vois une fille qui ressemble à celle que je
voyais hier. Je n’ose rien faire, pourtant elle me regarde en souriant gentiment.
Le soir en rentrant nous nous retrouvons dans le même ascenseur. J’engage la parole :
- Il me semble vous avoir aperçue hier au soir ;
- Oui, moi aussi.
- Voulez vous venir passer un instant chez moi.
- Ca dépend pourquoi.
- Pour vous montrer mes jouets.
- Vous jouets ?
- Ceux dont je me servais hier.
- Avec plaisir. A propose je m’appelle Lucile.
- Et moi Huguette
Nous entrons ensemble. Je vais essayer de remplacer mon ex qui est partie avec une
autre. Cette fille est de mon âge, me semble assez libre de mœurs. Le rêve quoi.
Je lui offre ma place sur le fauteuil, pendant que je vais prendre tous mes jouets. Je
lui explique rapidement leur fonction. Je la sens rougir un peu quand elle se lève. Je
la prends dans les bras pour l’embrasser. Elle se retire un peu avant d’accepter ma
langue dans sa bouche. Bingo, j’ai gagné. Je me serre contre elle. Je ne sais si elle
a déjà connu une autre fille. Je fais comme si elle savait tout. En passant mes mains
vers ses fesses, je caresse son dos. Elle me laisse faire, sans trop bouger. J’ai bien
en main ses fesses bien dodues. Je voudrais bien lui faire quelque chose de spécial
avec mes mains.
Je les remonte pour venir sur sa poitrine. J’arrive à caresser le sein gauche, à
travers ses vêtements. Je déboutonne sa veste de tailleur qui ouvre directement sur
son soutien gorge. J’arrive à faire tomber sa veste. Je défais la fermeture du soutien
gorge plein de dentelles. Si Lucile ne connait pas la suite, j’en serais pour tout lui
apprendre, ce qui ne me déplait pas, même si elle est vierge des deux cotés. Je peux
maintenant la mettre torse nu, sans qu’elle ne proteste. Je prends un sein dans ma
bouche, je le suce, pour faire ressortir, le téton qui sort fort bien.
Ce que je
remarque surtout c’est l’odeur de sa peau. On dirait un parfum de printemps. Je
caresse l’autre sein quand à son tour elle veut me rendre la pareille. Qui sait, elle
est au courant des amours lesbiens ? Je ne crois pas à la voir essayer de me mettre
torse nu. J’enlève la chemise d’homme que je porte à même la peau.
Enfin Lucile me touche les seins. Elle n’’est pas si maladroite que ça, elle m’excite
beaucoup. Nos langues sont maintenant sures d’elles : elles fouillent la bouche de
l’autre sans cesse. Je trouve la fermeture de sa jupe ; Je la défais : elle tombe
seule. Son seul ultime rempart est sa culotte en dentelle, assortie au soutien gorge.
Tant pis, je me presse en mettant ma main sur sa chatte malgré les dentelles. Sa
culotte est extrêmement mouillée : j’essais de la branler et n’y arrive pas bien. Je
passe ma main par-dessous la culotte pour trouver sa chatte libre. Elle n’est pas
rasée, tant pis, je le lui ferais plus tard quand nous serons des amantes accomplies.
J’arrive enfin sur son bouton. Lucile ferme les yeux comme dans l’attente de la suite.
Mon doigt unique la caresse. Oh, pas longtemps, il faut croire que le fait de l’avoir
à peine pelotée, et de m’avoir vue l’excite au plus haut point.
Elle écarte simplement les jambes pour que je pujisse la caresser. Je frotte les
doigts sur le petit pois qui réagit en la faisant jouir. Le début de l’aventure
arrive. Je la fais assoir à nouveau : elle prend la même position que moi la veille,
une jambe de chaque coté. Je vois toute son intimité. Je me mets à genoux devant elle.
Je commence par prendre ses deux seins dans les mains pour la caresser encore. Je pose
ma bouche sur sa chatte toute trempée de désir. Je tourne ma tête pour avoir toute sa
féminité dans la bouche, en somme je l’embrasse en bas comme je le faisais en haut.
Quel bon gout de cyprine. Rien ne vaut ce gout, surtout pas le sperme que certaine
disent adorer : moi j’aime celui de la cyprine ;
Lucile pose une main sur ma tête comme pour me demander d’agir autrement. Ma langue se
fait fine pour aller sur son petit bouton. Il est tellement petit que je n’arrive pas
à croire qu’il senet quelque chose et pourtant elle en a déjà joui hier à la fenêtre
et tout à l’heure quand je la branlais. Elle réagit fort bien encore en serrant ses
jambes contre ma tête quand elle gémit de jouissance. Il faut que j’en aie le cœur
net.
- Es tu vierge ?
- Non depuis longtemps, j’ai fait l’amour plusieurs fois avec un cousin il y a
longtemps, il m’a même enculée. J’avais bien aimé.
- Tant mieux, je pourrais te baiser normalement comme on fait entre fille avec un gode
ou comme moi les doigts dans le cul
- Oh oui, encule-moi.
- Si nous allions au lit ?
- Ce serait bien, mais là les jambes bien écartées en sachant que tu me vois toute,
même mon petit trou, c’est excitant.
- Au lit ou pourrai s’aimer autrement, plus profondément.
- D’accord, allons baiser.
Nous sommes maintenant dans ma chambre, nues déjà, nous sommes enlacées dans un baiser
très profond. Nos langues s’accordent de mieux en mieux. Les caresses qu’elles se font
sont très émoustillantes. Nos corps sont réunis par nos mains sur les fesses de
l’autre. Les siennes sont tellement douces que j’ai envie de les embrasser. Je la
couche, elle se met sur le dos, les jambes déjà prêtes pour une suite. Je me couche
entre ses jambes, comme si j’étais un homme pour lui caresser le pubis avec le mien.
En forçant un peu j’arrive à passer mon pubis sur sa chatte.
Je descends tout mon corps pour que ma tête soit encore une fois sur son sexe. Cette
fois je suis plus libre de faire ce dont j’ai envie. Je commence par le plus facile,
ma bouche aspire son clito, c’est le bout de ma langue qui, dans ma bouche lèche son
bouton. Je peux ainsi commencé à préparer la suite. J’entre un doigt dans son puits,
elle réagit en gémissant. Ce n’est pas mon but. Ma langue descend doucement vers son
anus. En le léchant doucement je lui donne envie de me demander une suite.
- Encules moi avec ta langue.
C’est-ce que je voulais entendre. Je force pour que ma langue durcisse pour lentement
pénétrer ce rectum où je n’ai jamais été. Je continue à branler le clitoris avec un
pouce. Je fais tout pour la faire. Je sens que j’y arrive quand je sens ma langue
emprisonner dans son cul. Lucile gémit toujours quand elle jouit. C’est agréable à
entendre. J’essaie en forçant de garder ma langue dans le trou qu’elle occupe pour me
tourner et lui donner ma chatte. J’ai moi aussi envie de sentir sa langue sur mon
entre cuisse. J’y arrive en allant doucement. Maintenant je suis sur elle, je la
domine. Je sens ses seins sur mon ventre. J’ai à nouveau son odeur sous mon nez et son
gout sur la langue. Elle fait marcher bien mieux que je le croyais sa langue, elle me
fait jouir fort vite, trop vite à mon gré en le léchant simplement le clitoris. Elle
ne se sert pas de sa langue pour satisfaire mon cul, elle y met deux doigts qu’elle
fait aller et venir. La petite garce me fait encore jouir. Elle a un dernier orgasme
dans son cul. Je sors mes jouets. Je lui mets le gode vibrant dans le con. Si au début
elle n’est pas très satisfaite, les vibration dans son vagin lui font perdre la tête
surtout quand il tripote le point G. Je le retire dès sa jouissance, pour entrer les
perles dans le cul. Elle les accepte volontiers. Quand je veux les sortir, j’ai le
tord de le lui dire : elle pense que c’est fini alors que c’est le contraire. Elle
accepte bien maintenant cette série d’orgasmes que je provoque à chaque sortie.
- C’est bon, ce que tu me fais. Je ne connaissais pas cela ? On recommencera ?
- Quand tu coudras mon cœur. Je t’ai sucée, enculée, baisée et fait jouir avec mes
jouets. Tu es satisfaite ?
- Et toi je t’ai satisfaite. Tu sais hier quand je t’ai vu te branler j’en ai fait
autant, c’est pour ça que j’ai accepté de venir avec toi ce soir, je savais que tu
saurais bien me faire jouir.
- Je ne t’ai pas mis l’œuf vibrant dans le vagin, c’est bien, parce qu’il est
télécommandé. Si je te le mettais c’est moi qui le commanderais. Tu aimerais ?
- Bien sur, mais pas ce soir, je suis crevée.
- Dormons ensemble.
- Dans la nuit si on se réveille on pourra baiser encore.
- Tu es pire que moi. Tu adore baiser, tu es une vrai salope.
- J’espère être ta salope.
On ne fait pas mieux comme déclaration. J’aurais ma salope dont je ferais ce que je
veux, la prosti par exemple. Je suis certaine que si je le lui demandais elle
acceptera pour me faire plaisir.
- Lucile si je te demandais de te prosti pour moi, tu le ferais ?
- Si tu es là oui.
- Même avec un homme qui te la mettrait même au cul ou dans la bouche.
- Pourquoi pas. Seulement je n’ai jamais sucé d’homme, ça ne doit pas être trop
difficile.
- Franchement tu aimerais ?
- Avec toi à coté oui, tout est possible pour te faire plaisir. En plus je suis sure
que tu te branleras en me voyant dans les bras d’un homme ou même d’une fille, qui
sait.
Si en plus elle aime le triolisme, je suis tombée sur une perle de la baise. Nous
pourrions nous installer ensemble sans problème. En attendant cette nuit, c’est sur
nous baiserons encore, elle se servira de l’œuf dans mon con et le sien.

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