Lucie

Si Lucie vit seule, la raison est simple: elle aime trop l’amour, sans exclusive, avec garçon ou fille. Elle s’est aperçu de son appétit sexuel sur le tard, en venant habiter en ville. Dans son patelin, tout petit bled, elle ne trouvait que peu de personne qui lui plaisait assez pour se donner. Ses seuls plaisirs était celui de toute fille normale; la masturbation. Quand elle a trouvé du travail en ville, elle a découvert, coup de chance un appartement style studio. Quelques jours plus tard, elle est courtisée par un garçon de son âge. Elle se laisse séduire: résultat ils se trouvent dans le même lit. Encore vierge, elle craignait de faire l’amour. Poussée par l’instinct elle accepte de le faire. Pour un coup d’essai elle trouvait agréable ce que lui faisait ce garçon qui dans son fors intérieur ne la baisait que pour son propre plaisir. Une vierge à son tableau de chasse ce n’était pas mal; là où il se trompait c’est qu’elle jouissait bien avant lui et en demandait encore et toujours. La liaison ne durait pas longtemps.
Elle avait, dans son travail une amie, Gilberte qui était plus que gentille avec elle. Lucie la trouve bien aimable. Un soir elle est invitée chez sa camarade à diner. Bien sur la conversation, plate au début, dévie vite sur le sexe. Gilberte lui dit qu’elle n’aime pas tellement les hommes. Elle préfère les filles qui sont plus douces. Elle peut même le lui montrer, si elle est d’accord. Curieuse sur tous les plaisirs elle est prête à obéir à sa copine. L’aventure commence aussitôt. Gilberte prend Lucie dans le bras, la serre un peu pour venir l’embrasser sur la bouche. Le baiser est agréable, Lucie ne résiste pas: elle ouvre sa bouche et se laisse peloter par les mains curieuses. Ses seins sont caressés bien mieux qu’avec son initiateur. Elle se sent mouiller. Pour elle c’est bon signe. Elle le dit à Gilberte:
- Tu m’excites beaucoup, je mouille.
- Tans mieux, moi aussi je suis trempée, j’ai envie de toi.


- Comme tu vas faire ?
- Tu le verra bien et tu en jouira beaucoup.
Lucie se laisse définitivement faire, surtout quand elle sent une main venir lui caresser l’entrejambe. Elle écarte les cuisses pour laisser le passage: la main monte plus haut, en caressant au passage la peau tendre. Elle se sent soulagée dès que les doigts arrivent sur sa culotte. Ils s’infiltrent lentement pour venir se fixer sur son clitoris. Quel soulagement quand la main sur sa chatte la masturbe. C’est vrai que c’est meilleur qu’avec un garçon, plus léger et excitant à la fois. Elle ne sait plus comment se mettre: elle n’est pas bien pour jouir debout
- J’aimerai mieux être couchée pour jouir.
- Pas de problème, ma chérie, assieds toi sur le divan.
Elle s’assoit pour recevoir encore les doigts agiles. Cette fois elle écarte complètement les jambes en offrant la vue de sa chatte dénudée. Gilberte en profite pour finir de la faire jouir en la masturbant ainsi. Elle la doigte maintenant Lucie qui ne connait cette façon que par ses caresses quotidiennes. C’est plus agréable de se laisser faire plutôt que de le réaliser soi même. L’inévitable se produit: elle jouit en geignant.
Gilberte la déshabille et en fait autant pour elle-même. Elles se toisent pour se trouver agréables. Maintenant Lucie elle aussi a envie de rendre les caresses à Gilberte. Elle est encore maladroite et pourtant fait jouir son amante. Gilberte veux franchir le pas: elle écarte toujours les jambes de Lucie, se met à genoux devant elle. Maintenant elle va se servir de sa langue. Elle lèche l’intérieur des cuisses pour arriver à la chatte bien mouillée. La cyprine n’est pas pour lui déplaire: elle passe sa langue de bas en haut, passant ainsi tous les organes voluptueux sur la langue. Lucie voit les plaisirs différents s’approcher à grands pas, surtout quand la langue lèche son bouton. Elle pose une main sur la tête de sa partenaire pour caresser les cheveux. Arrive le moment où elle est obligée de fermer ses jambes sur la tête de Gilberte quand l’orgasme arrive.
Gilberte pour cette première fois lui demande un 69. Elle est prête à lui lécher la chatte à condition qu’elle aussi soit léchée. Rassurée sur ce point, elle se trouve sur son amie, la tête légèrement penchée sur la chatte féminine. Elle reçoit elle aussi ce qu’il faut pour jouir.
Elles se voient souvent pour baiser, non plus un moment, mais en principe le samedi toute la nuit.
Les filles c’est bien jolie, mais ça manque de bite. Lucie se fait lever par Paul, un garçon bien fichu qui possède une belle bite grosse. La première fois est presque désastreuse: il est tellement gros qu’elle a mal quand il la lui met. Son con est douloureux un bon moment: c’est de sa faute aussi, pourquoi ne pas avoir attendu qu’elle soit plus mouillée avant de se donner. Elle le fait patienter en le suçant. Elle ouvre grand sa bouche, elle ne peut prendre que le gland dans sa bouche: c’est suffisant pour le faire jouir à grand coup de langue. Elle a mit longtemps pour le faire jouir. Elle espère qu’il ne va pas débander. C’est le cas, elle se couche sur le dos, se masturbe un peu devant lui pour l’exciter encore un peu et lui demande de revenir la baiser. Elle craint et appréhende un peu cet instant qu’elle désire: une bite dans la chatte c’est toujours bon. Cette queue entre facilement. Elle a le vagin entièrement rempli par ce sexe. Il la rempli et en plus la fait gémir, avant de la faire crier quand elle jouit.
En ayant Gilberte pour amante et Paul comme chevalier servant, pour éviter tout dérapage, elle préfère habiter seule.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!