La Chienne De Monsieur (4)

Ces dernières semaines, j’ai passé presque une soirée sur deux chez Monsieur, à me
faire traiter et maltraiter comme une pute. Après les cours, je recevais un message
laconique du genre : « Chez moi 20h. Tu vas déguster… » ou « J’ai envie de fourrer.
Maintenant ! ». Mes travaux d’école s’en ressentaient, mais je ne pouvais refuser de
si prometteuses invitations. Évidemment, nous ne discutions pas beaucoup, d’autant
plus que mon mâle était particulièrement endurant et doué d’une capacité de
récupération peu commune, ce qui, je l’avoue, n’était pas pour me déplaire, mes
besoins étant uniquement sexuels. Si mon maître m’avait embrassé, je n’y aurais vu
aucune marque d’affection et l’aurais simplement considéré comme un nouveau moyen de
me transformer en femelle. En sa femelle.
Lors de ces merveilleuses soirées, Monsieur aimait bien me transformer en un de ses
fantasmes, prenant un malin plaisir à me féminiser et à m’imposer certains scénarios
salaces. Je vais d’ailleurs vous raconter une occasion où il m’a entraînée dans ces
jeux :
Un soir, j’arrive devant la maison de Monsieur. Évidemment, je porte le collier de
cuir qu’il m’a offert, mais c’est lui qui a conservé la laisse. Il s’en servira à
nouveau lorsqu’il voudra me dompter, j’imagine. Sans plus attendre, je frappe à la
porte puis entre, comme il m’a demandé de le faire dans le message que j’ai reçu deux
heures plus tôt. Sur le tapis, je trouve une petite boîte en carton et une note
manuscrite : « Va à la salle de bain, maquille-toi et met les lunettes qui sont à
l’intérieur de la boîte. Enfile aussi les vêtements, prends les feuilles et le crayon
puis viens cogner à la porte de mon bureau. »
Excitée par ces instructions, je me précipite vers la salle bain et exécute ce que mon
maître m’a commandé. À ma grande surprise, je sors de la boîte une jupe très courte,
noire, un chemisier blanc translucide, de même que des basses résilles foncées et un
string de femme rouge vif.

Tout est neuf. Je me sens choyée d’avoir un maître qui
prend autant soin de moi. Perplexe, puisque c’est la première fois que je vais
vraiment porter des vêtements féminins, j’enfile le string en dentelle qui parvient
difficilement à contenir ma queue pourtant modeste et mes couilles, puis passe
plusieurs minutes à dérouler les bas sur mes jambes. Heureusement, bien que ma
pilosité ne soit pas naturellement très forte, j’avais pris soin de me raser et de
m’épiler tout le corps avant de venir. Lorsque je mets la jupe, je réalise qu’elle est
extrêmement serrée et couvre à peine mes petites fesses, laissant apparaître plusieurs
centimètres de peau nue entre la lisière des bas et le bord du tissu. Quant au
chemisier, les deux boutons du haut ont été arrachés, ce qui donne une impression de
décolleté plongeant malgré que ma poitrine soit bien sûr plate. Sur le comptoir, du
maquillage a été déposé spécialement à mon intention. J’enduis mes lèvres d’un rouge
parfaitement assorti au string, colore et allonge mes cils avant d’appliquer un peu de
fard rose pâle sur mes joues. C’est sidérant. Grâce à mes traits naturellement fins et
à ma transformation, j’ai vraiment l’air d’une femme. Une fois les petites lunettes
ovales posées sur mon nez, je fixe mon reflet dans le miroir et comprend ce que
Monsieur attend de moi : avec mon maquillage et mes vêtements incroyablement
provoquants, je suis la secrétaire salope et lui mon patron pervers. Je me parfume et
fais un chignon minimaliste dans mes cheveux ‒ ils me vont normalement aux
épaules ‒ et y plante le crayon. Le déguisement est parfait : je transpire le
sexe et jamais je n’ai été aussi sûre de mon charme.
Fin prête, j’empoigne le paquet de feuilles blanches que contenait la boîte et me
dirige vers le bureau. De l’autre côté de la porte, j’entends le bruit des touches
d’un ordinateur.
Je cogne.
- Entrez !
Je pousse la porte. Monsieur, vêtu d’une chemise blanche, les manches relevées, et
d’une cravate marine, est assis à un bureau de travail en bois massif sur lequel
reposent une lampe, un ordinateur portable et plusieurs piles de feuilles allègrement
mélangées. Depuis une chaise rembourrée, au dossier très haut, il me déshabille du
regard. Visiblement, mon accoutrement lui plaît et j’en suis heureuse. Tellement que
je commence à bander dans mon string minuscule, ce qui me vaudra sans doute plusieurs
claques si mon maître s’en aperçoit. Jamais il n’a touché à mon pénis. Je soupçonne
que c’est pour oublier que je ne suis pas une véritable femelle, que tout ça n’est
qu’un jeu, en fait. Pour lui, je ne possède que des orifices où il peut réchauffer sa
queue à sa guise. Et ça me convient parfaitement !
- Bonjour Sarah. Ramassez la pile de feuilles qui traîne par terre.
- Bien sûr, Monsieur.
Apparemment, la chienne que je suis vient d’être baptisée et j’espère que ce nom me
restera. Je me sens maintenant toute fière d’avoir une identité à associer à ma
nouvelle condition.
La pile en question étant appuyée contre le mur du fond, face au bureau, je comprends
que mon Maître souhaite que je ramasse les feuilles d’une manière bien particulière.
Je me place donc dos à lui, écarte légèrement mes jambes et, tout en gardant celles-ci
bien droites, je me penche vers le plancher, ce qui a pour effet de relever ma jupe et
de dévoiler mon cul fendu par le string rouge vif qui ne réussit évidemment pas à
dissimuler le plug que je porte toujours lors de mes rencontres avec mon mâle. Je me
dandine dans cette position pendant quelques secondes pour donner à Monsieur
l’occasion de bien se rincer l’œil sur sa secrétaire cochonne, puis me relève
lentement, les feuilles à la main.
- Venez la déposer sur mon bureau, m’ordonne-t-il en m’indiquant, à sa gauche, un
espace libre de paperasse.

À chacun de mes pas, je sens la jupe serrée remonter un plus sur mes cuisses et mes
fesses. Peut-être Monsieur pourrait-il apercevoir mon string rouge s’il daignait
m’accorder un coup d’œil. Ce qu’il ne fait pas. Arrivée à côté de lui, je constate
qu’une bosse appétissante déforme tout de même son pantalon. Mon petit spectacle a dû
l’émoustiller. J’aime savoir que j’excite mon mâle. Ça me conforte dans ma nouvelle
féminité. Je dépose les feuilles et sens aussitôt une main glisser sous ma jupe et
commencer à me peloter les fesses, ce qui me fait instantanément me cambrer. Quelques
secondes plus tard, alors que je commençais à me tortiller sous ses caresses rudes et
à gémir pour lui signifier ma soumission, Monsieur me donne une claque sur chaque
fesse et se replonge dans ses feuilles.
- Vous pourriez faire un peu de ménage sur bureau, Sarah ? Je n’y retrouve plus rien
et j’ai absolument besoin du dossier McKinley. C’est très urgent, ajoute-t-il d’un ton
sec, sans me regarder, les yeux rivés sur sa paperasse.
Déçue, mais toujours excitée, je me mets à classer les chemises, les enveloppes et les
feuilles du mieux que je peux, c’est-à-dire en regroupant, justement, les chemises,
les enveloppes et les feuilles ensemble. Après quelques minutes, toutefois, aucune
trace du fameux dossier McKinley.
- Alors, Sarah, ce dossier ?
- Euh, oui, Monsieur, un instant, Monsieur…
- Ça fait déjà cinq minutes que vous le cherchez, il me semble que ça devrait être
suffisant ! Ce n’est sûrement pas comme ça que vous obtiendrez la promotion dont vous
m’avez parlé la semaine dernière…
Comprenant où mon patron veut en venir, je me retourne, lui jette un regard suppliant
et prend un ton implorant :
- Oh, Monsieur, s’il-vous-plaît ! Je suis prête à faire n’importe quoi pour obtenir
cette promotion…
- N’importe quoi, Sarah ?
- Oui, Monsieur, j’ai vraiment besoin de cet argent ! Je vous en prie…
- Évidemment, tout dépend de votre motivation …
- Que voulez-vous dire, Monsieur ? lui répondé-je sur un ton faussement ingénu, en
appuyant mes fesses sur le bord du bureau ‒ ce qui lui dévoile certainement mon
string ‒ et en plantant, par-dessus mes lunettes, mes yeux les plus coquins
possible dans les siens.
Je vous jure, Monsieur, que personne ne pourrait être plus
motivée que moi !
- Oh, tu as bien compris ce que je voulais dire, toi ! lance-t-il en reculant sa
chaise et en me faisant signe d’approcher d’un geste nonchalant.
- Vous n’imaginez tout de même pas que…
- Allez, Sarah, j’ai bien vu comment tu as regardé mon entrejambe, tantôt, dit mon
mâle en empoignant son volumineux paquet à travers son pantalon. Tu n’en verras pas
souvent des comme ça et je suis sûr que tu en meures d’envie…
- Oh, Monsieur, je ne sais pas si c’est bien sage…, que je murmure en détournant le
regard, feignant la gêne.
- Je croyais que tu voulais cette augmentation, Sarah ? Je croyais que tu étais prête
à tout ? Pourquoi tu t’habilles comme une salope si tu n’en es pas une ? Tu es quoi
alors, une allumeuse qui se dégonfle ? me demande-t-il d’un ton irrité, en ouvrant sa
braguette puis en en extirpant sa grosse bite qu’il se met à branler lentement en me
fixant d’un air provocateur.
Comme toujours, je ne peux résister à l’appel de cette magnifique queue et,
hypnotisée, je m’empresse de m’agenouiller devant mon mâle qui desserre alors le nœud
de sa cravate pour se donner une allure plus décontractée. Ma jupe moule mes fesses et
je sens la ficelle du string s’enfoncer agréablement dans sillon.
- Vas-y ma puce, on va voir si tu mérites vraiment cette promotion ! ajoute-t-il en
rapprochant la chaise du bureau, ce qui me force à me glisser sous celui-ci.
Coincée ainsi sous le bureau de mon mâle, je commence à sucer avec application sa
belle queue que j’incline vers moi pour éviter de me fracasser la tête à chaque aller-
retour. Ma langue tourbillonne autour du gland tuméfié et mes lèvres glissent le long
de la hampe veinée. Monsieur, lui, semble avoir recommencé à manipuler ses papiers en
sifflotant, sans plus se soucier de moi. La salope de secrétaire que je suis continue
d’astiquer sa queue pendant une bonne dizaine de minutes. Les lunettes me gênent un
peu, mais je suis déterminée à demeurer dans mon rôle d’employée de bureau soumise à
son patron.
Enfin, Monsieur agrippe mon chignon et fait aller et venir ma tête à toute vitesse le
long de sa queue. À peine une minute plus tard, je sens son sexe se contracter et
propulser d’épais jets de foutre contre mon palais. Une fois les saccades de sperme
terminées, l’imposant membre se retire lentement de ma bouche tel un bélier d’une
porte fracassée. Sans relâcher mes cheveux, Monsieur se penche ensuite sous le bureau
: « Avale bien tout, Sarah », ce que je m’empresse de faire, toujours agenouillée, en
souriant à mon maître.
Celui-ci se recule alors et, sans ménagement, me force à me relever en tirant sur mon
chignon maintenant à moitié défait. Sans que je puisse réagir, il me retourne dos à
lui, me penche sur le bureau, et relève ma jupe, dévoilant ainsi mes fesses barrées du
string rouge vif.
- Je savais que tu étais une vraie pute, Sarah, je le savais. Tu vas voir ce que je
fais aux salopes dans ton genre !
Monsieur, tout en me maintenant aplatie sur la paperasse, commence à me fesser du plat
de la main. En quelques secondes, mon cul se met à brûler et a sans doute bien rougi,
étant donné la puissance des claques que je reçois. Chacune me fait d’ailleurs pousser
un petit cri de douleur ‒ et de plaisir puisque mon plug bouge dans mon cul
‒ et glisser légèrement vers l’avant sous la force de l’impact. De temps à
autres, je sens que les mains sont remplacées par le membre toujours dur de Monsieur
qui s’en sert comme d’un agréable fouet.
- Lèche, m’ordonne-t-il en me tournant la tête d’une main puis en plongeant
brutalement trois doigts de son autre main dans ma bouche.
Ils me fouillent la bouche de fond en comble afin de recueillir le plus de salive
possible, s’enfonçant même jusqu’au début de ma gorge pour déclencher mon réflexe
d’. Soudain, Monsieur écarte la ficelle de mon string et retire sans
hésiter le plug de mes fesses. Ses trois gros doigts lubrifiés s’introduisent alors
immédiatement dans mon cul et l’élargissent dans tous les sens. Lorsqu’ils trouvent ma
prostate pour la masser, je ne peux m’empêcher de lâcher de longs feulements de
plaisir en fixant mon maître.
- Je crois que j’ai trouvé ton point G, ma petite chienne !
- Aahh, Ne vous arrêtez pas !
- Quoi ? Tu oses me donner des ordres, maintenant ? crie-t-il en retirant brusquement
ses doigts.
- Non, Monsieur, pardon, Monsieur. Je vous en supplie…
- C’est mieux comme ça, répond-t-il d’un ton sec en replongeant cette fois quatre
doigts en moi.
Régulièrement, Monsieur retire ses doigts et crache dans mon anus béant avant de les y
replonger aussitôt. Je ne pourrai résister longtemps à un tel traitement. Mon cul est
sur le point d’éclater, la jouissance monte rapidement en moi. Je ferme les yeux… Mais
au moment où je sentais mon orgasme arriver, les doigts quittent tous mon cul.
Monsieur me regarde avec un sourire satisfait. Il a raison : je ne suis pas ici pour
jouir, mais pour le faire jouir.
Écartant mes fesses de ses mains, il enfonce alors d’un trait son mandrin dans mon
cul. Je peux confirmer que sa récente jouissance n’a pas du tout altéré son excitation
! Toujours appuyée sur le bureau, j’halète pendant plusieurs secondes tant la
sensation d’intrusion est forte. Même si j’avais quatre de ses doigts dans les fesses,
ce n’est rien à côté de son sexe long et épais. J’ai l’impression que son gland
aboutit dans mes intestins !
Monsieur entame ensuite un va-et-vient rapide qui me tire d’abord des cris de douleur
à cause de la brûlure de sa queue énorme dans mon cul serré, puis, peu à peu, je
m’habitue et commence à gémir de plaisir. Monsieur, lui, saisit mes hanches et
augmente encore la cadence et la puissance de ses coups de boutoir, ce qui fait vibrer
le bureau et m’oblige à me cramponner au rebord de bois pour éviter d’être ballotée en
tous sens.
- Tu aimes ça, hein ?
- Oh oui, Monsieur, vous êtes si bon pour moi ! Vous êtes le meilleur patron du monde
!
Durant plusieurs minutes, la saillie brutale se poursuit et les grosses couilles de
mon mâle viennent claquer sur mon cul dans un bruit obscène qui retentit dans toute la
pièce. À quelques reprises, Monsieur contourne aussi le bureau et vient me redonner sa
bite à sucer. Ou plutôt, il me saisit par le chignon et me défonce la gueule avec un
sourire sadique, plantant sa queue au plus profond de ma gorge, ce qui me fait
évidemment m’ et cracher des torrents de salive, pendant que ses lourdes
couilles viennent s’écraser sur mon menton et son pubis poilu contre mon nez. Je crois
qu’il adore me contempler dans cette position, haletante parce qu’incapable de
reprendre mon souffle entre deux allers-retours et mon visage déformé par sa grosse
bite fraîchement sortie de mon cul.
Tandis qu’il me prend par derrière, comme une chienne, sans retirer son sexe, il me
tourne ensuite sur le dos et colle mes jambes gainées de noir sur son torse.
Saisissant mes cuisses, il reprend ensuite son pilonnage pendant quelques temps.
Monsieur porte toujours sa chemise, sa cravate ainsi que son pantalon, et moi aussi
j’ai conservé mes vêtements et ma lingerie, ce qui rend la scène encore plus réaliste.
J’aimerais tant avoir des seins pour qu’ils virevoltent en tous sens et que mon mâle
puisse les empoigner fermement, me les pétrir comme si j’étais vraiment une femme. En
attendant, je pousse des cris aigus à chaque fois que sa grosse bite me transperce et
fais semblant de malaxer ma poitrine inexistante.
- Ta gueule, salope, tu vas ameuter tout le bureau, me dit-il en enfonçant ses doigts
plein de mon odeur dans ma bouche, ce qui me force à gémir plutôt qu’à crier mon
plaisir.
Tout en sueur, Monsieur se met à respirer plus bruyamment, ses mouvements
ralentissent. Il ramasse alors les lunettes qui sont tombées entre deux piles de
feuilles de papier et les remet sur mon nez.
- Tu es prête, hum, à recevoir mon jus, hum, p’tite chienne ?
- Oui, ah, oui, Monsieur, ah, s’il-vous-plaît, ah !
- Allez, à genoux ! lance-t-il en retirant sa queue et en me tirant vers le sol.
Branle-moi, je veux jouir sur tes lunettes.
Aussitôt ordonné, aussitôt exécuté, j’empoigne sa bite noueuse de mes deux mains et la
masturbe frénétiquement devant mon visage en donnant de petits coups de langue sur
l’énorme gland violacé. Après quelques instants seulement, je sens la queue se gonfler
et Monsieur remplace mes mains par la sienne pour diriger son sexe vers mes lunettes.
D’épaisses coulées de sperme s’écrasent alors contre les verres et je ne vois bientôt
plus rien. Plusieurs jets atterrissent aussi sur mon front et à l’intérieur de ma
bouche que je maintiens bien ouverte. Enfin, la grosse queue cesse de se vider sur mon
visage et Monsieur laisse le gland retomber sur ma joue.
- Tu ne dois plus rien voir, hein ? Nettoie tes lunettes et ma bite ensuite.
J’approche les lunettes de mes lèvres et, mes yeux soumis levés vers mon maître, en
lèche les moindres recoins et avale le tout. Le sperme est maintenant tiède et, comme
toujours, légèrement sucré, ce qui me ravit. Après avoir reposé les lunettes sur mon
nez, je happe la queue encore imposante de Monsieur et la lèche consciencieusement. Je
profite aussi de sa relative mollesse pour l’avaler jusqu’à la garde et la conserver
dans ma bouche le plus longtemps possible en faisant courir ma langue sur le gland
hypersensible. Monsieur apprécie visiblement puisqu’il oscille légèrement du bassin,
lève les yeux au plafond en soupirant et me caresse les cheveux.
- Alors, Monsieur, et cette promotion ? demandé-je à mon mâle en lui lançant un
sourire puis en embrassant doucement son gland luisant de mes lèvres rouges et
brillantes.
- On en reparlera…

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