La Chienne De Monsieur (5)

Dorénavant, Monsieur m’appelle Sarah. À chacune de nos rencontres, il insiste pour que je me déguise en femme et que je me plonge dans le rôle qu’il m’a préparé. J’ai tour à tour été sa secrétaire salope (voir récit précédent), son infirmière cochonne (un classique), son étudiante en mini-jupe à couettes et à bas rayés, une femme élégante lors d’une soirée chic et sa cheerleader (meneuse de claques) ingénue. Je ne sais comment il fait pour dénicher tous ces costumes, mais je m’étonne à chaque fois du résultat saisissant de ma transformation. Je ne suis plus seulement sa chienne ou son esclave sexuelle, je suis aussi devenue sa marionnette, sa petite poupée personnelle. Monsieur m’habille et me déshabille à sa guise, m’entraînant dans des scénarios dignes de films pornographiques, ce qui nous excite manifestement tous les deux.
Ce soir, j’entre chez lui avec une certaine peur mêlée d’excitation. C’est qu’il m’a demandé d’emporter mes deux godes avec moi. « Surtout le gros, m’a-t-il précisé. Lui et moi, on va bien m’occuper de ton p’tit cul ! ». Comme prévu, je trouve sur le tapis la petite boîte et les instructions de mon maître : « Mets ça et maquille-toi. Je te veux la plus vulgaire possible. Tu es une fille de la rue que j’ai recueillie chez moi. Enlève ton plug et laisse tes godes dans la cuisine. »
Arrivée dans la salle de bain, je me déshabille prestement et retire le plug, conformément aux instructions que j’ai reçues. J’enfile une mini-jupe de jeans noire et une camisole vert kaki. La mini-jupe est évidemment très courte, ce qui donne à mes jambes pâles une allure interminable. Comme sous-vêtement, je porte le string rouge que Monsieur m’a donné l’autre soir. Dorénavant, je le porte chaque fois que j’ai rendez-vous avec mon mâle. Quant à la camisole vert kaki, elle est trouée en plusieurs endroits et tellement serrée que j’ai de la difficulté à l’enfiler.
Vient ensuite l’étape du maquillage. Je m’applique à mettre le plus de noir possible autour de mes yeux et sur mes lèvres, ce qui contraste fortement avec le reste de ma peau très pâle.

Je trouve aussi, au fond de la boîte, des tatouages temporaires, un bracelet de cuir orné de studs argentés, une ceinture de munitions et plusieurs bijoux de pacotille : une bague représentant une tête de mort, des faux piercings et, au bout d’une chaînette, un pendentif en forme de chauve-souris avec une grosse pierre rouge au centre. Je passe la bague à mon majeur droit (c’est cette main qui empoignera sans doute la bite de mon mâle, ce qui sera du plus bel effet), la ceinture sur mes hanches, le pendentif autour de mon cou, par-dessus le collier de cuir que je porte désormais, et insère un piercing sur ma lèvre inférieure et cinq autres tout le tour de mes oreilles. Quant aux tatouages, ils sont pour la plupart assez suggestifs. L’un d’eux, que j’applique sur mon épaule, représente la mort armée d’une faucille en forme de pénis. Sur ma fesse gauche, j’imprime les lettres S-L-U-T en police gothique et sur la droite un gros berger allemand en train de monter un petit caniche. Sur mon front, enfin, j’applique un petit « Fuck me please » que ne pourra manquer de lire mon maître.
J’ignore où Monsieur a trouvé ces tatouages (dans un sex-shop sûrement) mais ils sont parfaitement adaptés à ma condition. Je me sens vraiment comme une jument marquée au fer. J’ai l’air d’une sorte de punk-gothique et je n’aurais aucun mal à passer pour une fille qui demande la charité au centre-ville. Satisfaite de mon reflet dans le miroir, je suis déjà toute excitée, ce qui fait pointer encore plus mes tétons qui émergent de la camisole.
J’ouvre la porte de la salle bain avec l’intention de me diriger vers le salon, mais une ombre me bloque aussitôt le passage. Sans avoir le temps de réagir, je reçois une gifle si puissante qu’elle me projette au sol. Recroquevillée sur la céramique, je me mets à sangloter silencieusement. Ne montrant aucun état d’âme, Monsieur s’agenouille et, d’un geste sûr, attache la laisse sur mon collier.
- Tu crois que je t’ai accueillie chez moi sans rien espérer en retour ? C’est ça que tu crois, espèce de petite pute ? me demande-t-il en restant près de moi.

Son ton étrangement doux tranche avec ses mots et la violence du coup dont il m’a gratifié. Enfin il se relève et tire sur la laisse. Je ne sais plus trop si dois agir selon mon rôle de chienne ou bien me mettre dans la peau de la jeune punk-gothique. Je décide d’attendre un signe de mon maître et, en attendant, de le suivre docilement.
- Assieds-toi là, m’ordonne-t-il en pointant le canapé face à son fauteuil et en lâchant la laisse qui retombe contre mon corps.
- Ben, merci de m’avoir accueillie, lui dis-je sur un ton que je m’efforce de rendre un peu vulgaire.
- Ce n’est pas comme ça que tu dois me remercier, Sarah. Je croyais avoir été clair…
- Mais j’suis pas vraiment venue pour ça, moi ! Ça fait que j’vais y aller, j’pense bien. Je suis pas une p…
Au moment où je prononce ces mots, Monsieur se lève du fauteuil et retire son veston, sa chemise et ses chaussettes. Son torse et ses bras musclés me font saliver d’envie. Il s’approche de moi et reste debout.
- J’suis pas ce que tu crois, mec…, lui dis-je d’un ton faussement agacé.
- Vois-tu, Sarah, je pense que oui, justement. Et tu vas commencer par m’appeler Monsieur et me vouvoyer.
- Non, mais ça va pas la tê… ?
Une gifle aussi violente que la précédente me cloue sur le canapé. Entre deux sanglots feints, j’aperçois une bosse déformer le pantalon de Monsieur. Je vais bientôt y avoir droit, je le sens ! Fort à propos, Monsieur desserre sa ceinture et déboutonne son pantalon avant de le retirer et de le jeter nonchalamment au bout de la pièce. Il est désormais totalement nu devant moi (il ne portait pas de caleçon) et une sensation de puissance intimidante émane de son corps finement sculpté. Sa queue, lourde, repose contre sa cuisse.
- Je crois que tu n’as pas bien compris, ma petite Sarah. La charité, ça n’existe pas. Tout se paye. Et puisque tu n’as pas un sou…
Monsieur s’approche encore de moi. Je n’ai d’yeux que pour le sexe imposant qui est à ma portée.
Feignant la gêne, je glisse une de mes mains vers le membre et commence à le caresser du bout des doigts. Je la plaque ensuite sur le pubis et les abdominaux de Monsieur.
- Elle est vraiment grosse…
- Oh oui, et je te jure que tu vas bien la sentir ! Ne fais pas ta timide : branle-la, qu’elle durcisse un peu.
Plantant, pour la première fois, un regard arrogant dans les yeux de Monsieur, j’empoigne sa bite et la masturbe lentement. Il ne faut que quelques secondes à mon mâle pour réagir à ce qu’il considère comme un affront :
- Tu te crois maligne, hein ? Tu vas voir ce que je fais aux petites fières comme toi !
Monsieur me tire alors par le bras et me fait choir sur le sol. En un instant, je sens mes mains être placées dans mon dos et un lien serrer vigoureusement mes poignets. Tout arrive tellement vite que j’imagine que mon maître a préparé la scène depuis le début. Je me retrouve ensuite assise par terre, la tête légèrement appuyée vers l’arrière, contre l’accoudoir du canapé. La grosse bite de mon mâle est maintenant bien bandée et danse devant ma bouche pendant que Monsieur me maintient la tête à quelques millimètres de son gland violacé. Un vrai supplice. Durant plusieurs minutes, il me ainsi, donnant de temps à autre des coups sur mes joues avec son gourdin, l’approchant et l’éloignant de ma bouche avide sans que je puisse le saisir avec mes lèvres ou le toucher de ma langue.
- Tu la veux ma bite, p’tite pute ? Dis-moi que tu la veux et peut-être que je te laisserai la téter un peu ! lance Monsieur de la voix grave et rauque qu’il prend quand il veut me montrer qui est le maître.
- Oh oui, s’il-vous-plaît ! Elle est tellement belle et j’en ai tellement envie ! Si vous saviez depuis combien de temps je n’ai pas goûté à une queue ! lui dis-je d’un ton suppliant avant d’ouvrir ma bouche aussi grand que possible.
Sans plus attendre, Monsieur enfonce son gros dard entre mes lèvres. Son gland se fraie un chemin au plus profond de ma gorge et Monsieur entame un mouvement de va-et-vient qui me laisse sans cesse au bord de l’, surtout que de sa main droite il me pince le nez pour m’empêcher de respirer.
Comme si ce n’était pas suffisant, il place ensuite une de ses jambes sur les coussins du canapé et en agrippe le dossier de sa main gauche. Depuis cette position surplombante, les genoux fléchis, il est alors plus à même de défoncer ma gueule comme si je n’étais qu’un pantin. Monsieur s’en donne bien vite à cœur joie et ma camisole se retrouve couverte de salive. Cette large et longue queue qui ne sort jamais complètement de ma bouche me fait me tortiller, gémir, tousser, m’, mais rien à faire, Monsieur profite de ce que mes mains sont attachées pour continuer son intense pilonnage. Ses jambes puissantes propulsent son bassin vers l’avant dans des coups de bassin si vigoureux que le canapé se déplace chaque fois de quelques centimètres vers l’arrière.
- J’adore sentir ton piercing de lèvre contre ma queue, ça me chatouille !
Après plusieurs minutes, Monsieur retire enfin sa bite noueuse et pleine de salive de ma gorge. Je tire profit des quelques secondes de répit qui me sont accordées pour prendre de grande inspirations et essuyer du mieux que je peux mon visage sur mes épaules. Devant moi, Monsieur arbore un sourire pervers et un regard fier qui exposent sans l’ombre d’un doute sa toute-puissance sur moi.
- Reprends bien ton souffle, salope, parce que je suis loin d’en avoir fini avec toi.
Il me tasse ensuite vigoureusement vis-à-vis le centre du canapé et, m’enjambant, se place dos au meuble, comme s’il s’apprêtait à s’asseoir. Restant plutôt au-dessus de ma tête, il appuie sur celle-ci pour la pencher vers l’arrière et dépose son lourd scrotum sur les lèvres.
- Bouffe mes couilles, espèce de pute. C’est ça que tu es, une pute, hein ?
- Oui, Monsieur, lui dis-je avant de commencer à lécher ses couilles sous toutes leurs coutures.
- Je veux t’entendre le dire, allez !
- Je suis votre pute, votre petite pute personnelle, Monsieur ! lui lancé-je en reprenant ses couilles en bouche.
Durant plusieurs minutes, je me gave ainsi des gros testicules de mon mâle, qui me donne de petites tapes sur les tétons, ce qui les fait vite durcir. Je m’amuse à laper ses couilles comme le ferait un petit chat, à les suçoter un à la fois, puis, difficilement, les gober les deux en même temps. Parfois, Monsieur incline sa queue vers ma bouche et me l’enfonce à nouveau profondément. Pendant que ses couilles bloquent mes narines, ce qui m’empêche complètement de respirer, il prend un malin plaisir à tapoter mes joues ou ma gorge déformées par son gros gland, puis me redonne ses noix à lécher. Monsieur profite aussi des trous de ma camisole pour triturer mes tétons exposés. Il s’amuse à les tortiller et à les étirer, m’arrachant des gémissements de douleur qui ne font que l’encourager.
Enfin, Monsieur retire ses couilles de ma bouche se retourne, me soulève par les aisselles et me laisse tomber sur le canapé. Sans effort apparent, il me retourne ensuite pour je sois perpendiculaire au canapé, sur le dos, la tête dans le vide et les jambes relevées contre le dossier, ce qui ne manque pas d’exposer ma petite bite coincée dans le string. Je sais ce qui m’attend. Monsieur m’a déjà placée dans une position semblable au bord de son lit et mon visage en avait alors pris pour son grade !
- Qu’est-ce que tu veux, petite salope ? me demande-t-il avec un sourire machiavélique en me fouettant le visage de sa queue. Supplie-moi un peu…
- S’il-vous-plaît, Monsieur, je vous en prie. Donnez-moi votre belle queue ! Défoncez-moi la gueule ! Arroser mon visage ! Je vous en prie !
Tandis que son dard se balance devant mon visage, Monsieur se remet à palper l’endroit où devraient se trouver mes seins et à tirer sur mes tétons. Décidément, il me prend vraiment pour une femme ! Il décide finalement d’enfoncer sa queue gonflée d’excitation dans ma bouche avec une lenteur atroce. Je sens passer chaque millimètre de son gland, chaque veine de sa bite, sans pouvoir changer de position puisque mes mains sont toujours attachées et que Monsieur me tient maintenant fermement par les hanches. Je ne compte plus les réflexes d’ que je me suis ef de contenir quand, enfin, les couilles de mon étalon viennent s’écraser contre mon nez. Je suis bien embrochée. Comme un poulet sur une rôtissoire. La bite dure comme le roc reste ainsi plantée en moi pendant plus d’une trentaine de secondes, même que Monsieur donne de petits coups de bassin pour être bien sûr que sa queue est bien au fond. J’essaie tant bien que mal de respirer par le nez, mais y arrive difficilement à cause des lourdes couilles qui bloquent encore mes narines. Finalement, Monsieur retire sa queue de ma bouche aussi lentement qu’il l’a fait entrer. Un long filet de bave la relie toujours à mes lèvres et crée un pont de salive entre mon maître et moi.
Malgré mes suffoquements, la queue qui vient de glisser en moi est si imposante, si belle avec ses veines saillantes et son gland turgescent, que je ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire de satisfaction qui fait à son tour sourire Monsieur. Il replace ensuite son gland entre mes lèvres, place ses mains sous ma tête et la fait remonter jusqu’à ce que j’avale à nouveau complètement sa bite. Il impose alors un rythme irrégulier à ma tête, tantôt la faisant monter et descendre à toute vitesse le long de sa queue, tantôt plantant celle-ci au plus profond de ma gorge pendant de longues secondes. Peu à peu toutefois, il relâche son emprise et laisse pendre ma tête, saisit probablement le dossier du canapé et se met à me défoncer littéralement la gueule par de puissants coups de boutoir. Mon visage est recouvert de salive et de larmes et je ne peux plus rien voir distinctement. Durant plusieurs minutes, Monsieur me pilonne ainsi de toutes ses forces en me traitant rageusement de tous les noms : salope, connasse, pute, chienne, trou à bite, sac à foutre et j’en passe. Je sens mes lèvres être distendues et ma gorge toute irritée par les passages répétés de la bite de mon maître en moi. Enfin, sa jouissance approche :
- Prends bien toute ma sauce, salope ! Aaarrrgghhh !
Une dernière fois, Monsieur enfonce sa queue loin en moi. Des jets de sperme jaillissent au fond de ma gorge et me font à nouveau m’. Puisque ma tête est toujours inclinée vers l’arrière et que, gravité oblige, ma bouche est sur le point de déborder tellement la semence de mon mâle est abondante, je serre les lèvres autour de sa bite.
- Aah, je me suis bien vidé, lance Monsieur en me caressant la poitrine. Tu n’avales rien sans que je te l’aie permis, ok ?
Je réponds par un hochement de tête et serre davantage les lèvres. Monsieur ressort alors lentement sa queue de ma bouche, se recule et, voyant que je ne peux me redresser seule, me donne un coup de main. Il me passe ensuite son sexe dans les yeux pour les nettoyer et me permettre d’y voir quelque chose.
- Bonne chienne, murmure-t-il, bonne petite chienne obéissante.
Je lui renvoie un regard soumis, comme je sais qu’il l’adore. Assise sur son canapé, le visage détruit par la salive, les larmes et le maquillage qui a coulé, mes lèvres gonflées, ma bouche pleine de sperme tiède, mes vêtements usés et troués, ma jupe remontée, je me fais vraiment l’effet d’une prostituée qui se serait fait maltraiter violemment puis rejeter à la rue.
- Mais j’espère que tu as encore des forces parce que ça ne fait que commencer ! Il faut tout de même que je réponde à la demande écrite sur ton front, me lance Monsieur en tirant brusquement sur la laisse reliée à mon cou.
Je me retrouve alors violement projetée au sol et mon maître en profite pour me donner de vigoureuses claques sur les fesses. Puis il me fait mettre à genoux et tire à nouveau sur la laisse.
- On va continuer ça dans la chambre, m’informe-t-il en reculant vers la pièce en question.
Il recule ainsi, face à moi qui, les mains encore attachées, titube sur mes genoux en essayant de le suivre, sans évidemment ouvrir la bouche. La bite de Monsieur, un peu ramollie tout de même, ballotte entre ses cuisses et est toujours aussi attirante. Je me sens comme une esclave qui suit le maître qui vient de l’acheter pour la ramener chez lui. Je suis entièrement soumise à cette belle queue et même si c’est douloureux pour mes genoux, je la suivrais ainsi sur des kilomètres et des kilomètres.
Arrivés dans la chambre, Monsieur me soulève facilement et me dépose au bord du lit. Il me commande ensuite de bien avaler toute sa semence, ce que je fais sans hésiter. Puis il m’ouvre la bouche de ses doigts afin de vérifier que j’ai bien tout bu :
- C’est bien ma chienne, tu n’en as pas laissé une goutte. Maintenant, agenouille-toi par terre et appuie ton corps sur le lit. Comme ça, ajoute-t-il en appuyant sur mes reins pour que je me cambre. Montre-moi bien tes fesses que je puisse lire ce qui y est écrit. Slut ! On va voir ça, ma belle, si tu es aussi salope que tu le dis. Je vais juste m’occuper un peu de ta chatte avant de te prendre comme un caniche. Je crois que je vais te le faire tatouer de façon permanente, celui-là, dit-il en parlant du dessin du berger allemand en train de mettre le caniche.
Monsieur saisit alors une bande de tissu et me bâillonne pour que je ne puisse émettre le moindre cri. Ça ne laisse présager rien de bien agréable, mais je me soumets tout de même à mon mâle qui sait sûrement mieux que moi ce qui me fera du bien. Il prend ensuite un flacon de lubrifiant et m’en arrose copieusement les fesses avant de les masser rudement et de les fesser du plat de sa main. Puis, il relève ma jupe, descend mon string sur mes cuisses et un doigt lubrifié s’introduit lentement en moi. Il décrit de lents va-et-vient, comme pour tester le passage avant une exploration plus en profondeur. Un deuxième, puis un troisième doigt le rejoignent rapidement et les mouvements dans mon cul sont de plus en plus amples et rapides, ce qui me fait gémir à travers le bâillon. Un nouvel objet appuie maintenant contre mon anneau. Ce n’est pas le gland de mon maître, c’est plus petit. C’est mon gode ! C’est mon petit gode que Monsieur fait entrer en moi, apparemment sans la moindre difficulté. Il faut dire que sa bite m’a habituée à accueillir un bien plus gros calibre. Probablement déçu par le peu de résistance qu’il a rencontrée, Monsieur ajoute un puis deux doigts au gode, ce qui augmente tout de suite mes sensations. Mon cul est désormais malmené, écarté dans toutes les directions et je ne peux m’empêcher de couiner frénétiquement en dandinant mon arrière-train. Mais, d’un coup, tout se retire de mon cul.
- Tu devrais voir comment tu es toute ouverte ! Mais pas tout de suite, ma bite (je gémis de déception). Il me reste encore quelque chose à te faire subir.
Sachant ce qui m’attend, je m’efforce de relâcher mon anus le plus possible. Monsieur crache dans mon cul ouvert et enfonce ensuite ce que je sais être mon gros gode de 25 de longueur par au moins 6 cm de large, muni d’une ventouse pour bien coller au sol. de stopper la progression de l’objet à la moitié de sa longueur, Monsieur pousse un râle de mécontentement. Quant à moi, je peine à respirer tellement l’intrusion est brutale, sans compter que le gode, mené par la main implacable de mon maître, commence à aller et venir en moi. Je sais que l’objectif de Monsieur est de l’enfoncer complètement dans mes fesses, ce que je lui ai avoué n’être jamais parvenu à faire tout seul. Et il semble bien qu’il arrivera à ses fins, car à chaque plongeon dans mon cul, le gode s’enfonce un peu plus loin, écartant mes chairs sans le moindre état d’âme. Monsieur non plus n’éprouve aucun scrupule, ce qui lui permet de continuer à me malmener. Enfin, je mords le bâillon par réflexe lorsque je sens les couilles de silicone frapper mon périnée : j’ai une queue de cheval fichée en moi, mais, étrangement, je ne ressens aucune douleur. Seulement l’agréable sensation d’être remplie comme jamais je ne l’ai été auparavant.
- Je te l’avais dit que tu pourrais l’accueillir sans trop de problème. Tu sais, de là où je suis, j’ai vraiment l’impression que ce gode t’arrive jusqu’au milieu du dos ! Peu importe, on va voir combien de temps tu peux le supporter, maintenant !
Pendant une bonne vingtaine de minutes, Monsieur me défonce avec le gode en le propulsant de toutes ses forces au plus profond de mon cul. Heureusement, il ne ménage pas le lubrifiant, ce qui empêche mon anus de trop brûler. Je voudrais crier mon plaisir d’être ainsi prise par ce membre quasi animal, mais le bâillon ne me permet que de gémir et de baver sur la couette. Enfin, plantant le gode le plus profondément possible en moi, Monsieur me tire par les cheveux pour que je me redresse. Je tombe alors assise, complètement embrochée sur l’énorme pal de silicone dont la ventouse se colle au plancher. Monsieur tire ensuite mon bandeau vers le bas et saisit ma tête de ses deux mains (une sous mon menton tandis que l’autre s’enroule dans mes cheveux) pour la placer devant son gland violacé. Il se met vite à me défoncer à nouveau la gueule avec une vigueur d’étalon. Sa queue est dure comme jamais et je sens que de m’avoir baisée avec les godes l’a gravement excité. En quelques minutes, il jouit à nouveau dans ma gorge, mais les jets de sperme sont moins crémeux que lors de la jouissance précédente. Comme si rien ne s’était passé, la bite de Monsieur ne cesse pas d’aller et venir dans ma bouche, sans ramollir le moins du monde. En voudrait-il encore ?
Apparemment oui, car, sans avertir, il me remet mon bâillon plein de salive, me replace à genoux au bord du lit, retire le gode et plante sa queue en moi en s’agrippant à ma ceinture de munitions. Il me pilonne ainsi pendant une dizaine de minutes, m’arrachant des cris étouffés par le tissu entre mes lèvres. Puis Monsieur, sans déculer, me soulève et me monte sur le lit. Il attache maintenant mes chevilles ensemble à l’aide d’une cordelette. Je me sens comme en transe : attachée tel un saucisson, muselée comme une chienne, une bite dans les fesses ; c’est pour moi le summum de la soumission. Ses deux dernières éjaculations l’ayant laissé encore plus résistant que d’habitude, Monsieur me prend dans une dizaine de positions différentes : debout au bord du lit, il me pilonne, couchée sur le côté ; par-derrière, ma tête écrasée sous son pied, il me défonce et crache par intermittence dans mon trou béant ; en cuillère, en me serrant le cou de ses grosses mains ; en bateau ivre ; en amazone, me faisant valser dans les airs ; et j’en passe. Enfin, alors qu’il me prend à nouveau en levrette, je sens progressivement les mouvements de Monsieur ralentir, signe qu’il approche de la jouissance. Une dernière fois, sa queue se gonfle dans mon cul puis lâche de puissants jets de sperme sur mes parois intimes. Sans retirer son sexe de mes fesses, Monsieur s’effondre ensuite sur moi, me plaquant sur le matelas. Durant ce qui m’a semblé durer des heures, je n’ai vraiment été qu’un trou, qu’un orifice mis à la disposition de mon maître. Toute volonté m’avait abandonné pour nourrir les désirs de mon mâle.
Après quelques secondes, je sens sa queue dégonfler lentement, ce qui crée une impression de grand vide en moi. Il détache mon bâillon.
- Alors, Sarah, tu as aimé ?
Voilà qui est étrange : Monsieur semble se soucier de mon plaisir !
- Oui, Monsieur, c’était fantastique. J’espère avoir été à la hauteur…
- Tu as été parfaite, me répond-t-il en s’extrayant de mon cul. Viens laver tout ça, maintenant, ajoute-t-il en me détachant
Pendant qu’au-dessus de mon maître couché, je m’affaire à laver affectueusement son sexe ramolli et poisseux de son sperme et de mes sécrétions, il entame la conversation :
- Hier, j’ai discuté avec Robert, au bureau. Un gars avec je travaille depuis une dizaine d’années. Sa femme l’a quitté il y a bientôt six mois de ça et il me racontait comment il trouvait les soirées longues, tout seul chez lui, sans chatte à fourrer ni seins à malaxer. Il m’a demandé comment je m’en sortais, moi, dans le célibat. Comme c’est un ami de longue date, eh bien, je lui ai parlé de toi.
- …
- Je lui ai dit : « Elle n’a pas vraiment de seins ni de chatte, mais si c’est fourrer que tu veux, elle est faite pour toi. » Je lui ai décrit quelle bonne petite salope tu étais, à quel point tu aimais qu’un bon mâle s’occupe de tes trous, comment tu étais accro à ma grosse bite, à mon jus et tout ça. Je lui ai même montré une photo que j’avais prise de ton cul ouvert après que je l’aie bien ravagé. Tu te souviens, c’était la fois tu étais déguisée en collégienne ?
- Oui, Monsieur, vous m’aviez fait crier comme jamais ce soir-là. Et mon cul avait pris plusieurs heures à se refermer, lui dis-je en minaudant avant d’aller donner quelques coups de langue sur ses bourses.
- Robert m’a dit que ça lui donnait envie, ce que je lui racontais. Je voyais à travers son pantalon qu’il bandait juste à m’écouter parler de toi. J’ai donc décidé de te prêter à lui. Tu es ma pute, après tout.
- Vous me satisfaites amplement, Monsieur. Mais si vous aimeriez qu’un autre homme profite de moi, je me plierai à votre volonté. Vous savez que je suis prête à tout pour vous, Monsieur.
- Je ne te demandais pas ton avis ! dit-il en me donnant quelques claques. Reprends ma bite quelques instants…
- Bien sûr, Monsieur, pardon, Monsieur, lui dis-je avant d’emboucher à nouveau son sexe mou.
- Mais je veux lui montrer quelle salope tu es, question de lui mettre l’eau à la bouche. Va me chercher l’appareil-photo dans ma table de chevet.
Monsieur prend alors plusieurs photos de moi dans différentes positions qui dépeignent toutes quelle bonne soumise je suis : une avec sa bite gluante qui disparaît entre mes lèvres, une où j’écarte mes fesses pour montrer à quel point mon cul a été encore une fois dévasté, une autre où je m’applique à sucer mon gros gode et une dernière avec celui-ci planté dans mon fondement.
- Excellent. Il ne pourra pas résister à ça. Maintenant, va prendre une douche. Tu peux coucher sur le canapé si tu veux, mais ne me réveille pas, je dois me lever tôt demain matin. Laisse la clé sous le tapis quand tu partiras.
- Bien, Monsieur. Bonne journée demain, Monsieur.

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