Scenes De La Vie Quotidienne - Boite De Nuit

BOITE DE NUIT

Rosy a étalé sur son lit différents vêtements de sortie. Elle se contemple dans sa
psyché encore indécise quant à la tenue adéquate. Ce soir elle a décidé de séduire
Gérald et il convient d'être à la hauteur de l'événement. Elle se décide à enlever les
sous-vêtements "Petit bateau" décidément trop collégienne. Elle enfile, a même la
peau, un pantacourt noir à taille basse. Au premier mouvement le vêtement s'incruste
en elle. Il entre dans le sillon de ses fesses et laisse deviner la forme de son sexe.
Elle complète par un étroit débardeur de même couleur. Sa tenue laisse voir une large
bande de peau bronzée, un nombril aussi petit que profond, une chute de reins superbe
qui fait la fierté de sa propriétaire. Elle rend le tout décent grâce à une longue
veste prune et ses habituelles sandales compensées. Un bracelet d'or fin et une montre
assortie renforcent l'effet habillé. Deux anneaux de même matière ornent les oreilles
régulières aux lobes tombants enfouies sous la longue chevelure..
Gérald arrive en avance. Rosy n'a donc plus le temps de se changer. Elle se maquille
discrètement les yeux et les lèvres. Un léger baiser sert de signe de bienvenue. Ils
quittent l'appartement sans quasiment s'adresser la parole. Tous deux sont obsédés par
l'émotion qu'ils ressentent et par le trac. Comment rendre cette soirée inoubliable?
En voiture, Rosy s'assoit sagement en ramenant sa veste sur ses genoux. A son arrivée
"en boite", elle choisit, contrairement à son habitude, une table en bord de piste.
Ils boivent un verre en attendant que celle-ci se remplisse. Très vite, Rosy enlève sa
veste et commence à danser seule. Gérald contemple la perfection de ce corps en
mouvement dont il ne peut ignorer aucun détail. L'élégance des gestes renforce encore
cette sensation. Il danse peu tant sa contemplation l'absorbe.

Soucieux de décence
autant que de manifester son désir, il profite de ces rares instants pour caresser
doucement les larges espaces de peau découverts. Il glisse parfois deux doigts dans la
ceinture du pantalon où l'on atteint facilement les fesses ou à la couture du
débardeur en direction des seins. Cela lui confirme l'absence de tout sous-vêtement et
renforce son excitation. Il manifeste son désir par la fermeté des étreintes et les
traditionnels baisers sur les lèvres et dans le cou.
Tôt le matin, Rosy propose elle-même de quitter les lieux dans l'un de ces mouvements
sensuels dont elle a le secret. Dans la pénombre du parking, après une dernière
étreinte, elle se défait prestement de sa veste et de son pantalon et s'assoit, à demi
nue, sur le siège passager du véhicule. Sa main droite caresse doucement le haut de
ses cuisses qui s'ouvrent voluptueusement. La ceinture mise, la gauche s'engage sous
le débardeur et découvre un sein à peine nubile. Gérald comprend l'invitation et
démarre la voiture tout en déréglant le rétroviseur pour ne rien perdre de la scène.
Les jambes de Rosy sont maintenant largement écartées au point que le genou gauche
effleure le levier de vitesse. Elle stimule, du bout des doigts, son clitoris et le
téton de son sein. Elle s'interrompt parfois pour lécher son index avec un air
gourmand et reprend son ouvrage. Elle est maintenant à demi couchée, siège baissé,
fesses au bord, jambes pliées. Sa bouche entrouverte laisse sourdre un râle ténu et
caractéristique.
Gérald, au comble de l'excitation, quitte la route pour une discrète allée forestière.
Il gare la voiture dans une étroite et rassurante clairière bien éclairée par une lune
brillante. Rosy, dans un mouvement coulé, quitte son débardeur. La voici, debout,
exposant son corps longiligne entièrement nu sous la lumière blafarde. Elle rejoint en
quelques foulées élégantes la lisière du bois suivie de près par Gérald.
Le pantalon
de toile beige de ce dernier et le caleçon coloré disparaissent rapidement grâce aux
mains expertes de son amante. Au comble de l'excitation, le dos appuyé à un arbre
imposant, elle le guide pour qu'il la pénètre rapidement. Il l'honore de nombreux et
puissants coups de rein. A chaque mouvement son dos est griffé par l'écorce de
l'arbre. Cette douleur ténue renforce encore le doux délire du sexe. Elle jouit
sauvagement en poussant un hululement rauque et aigu qui fait taire toute la faune de
la forêt. Gérald sort de son sexe, la retourne pantelante et l'oblige à se pencher en
avant en serrant le tronc entre ses bras. La croupe tendue de son amante luit sous la
lune. Il entre délicatement entre ses fesses et atteint violemment l'orgasme dans un
cri.

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