Leslie Vn26

Leslie VN26 – Vacances naturistes, Christine, suite

« Pascal venait de me demander de me masturber et sans réfléchir, mes doigts
écrasèrent mon clito pendant que mon index et mon majeur me pénétraient lentement la
vulve. Pascal me regardait.
C’était super bon, je me laissais aller dans le plaisir sue je me donnais, mes seins
dardés par le plaisir et je sentais de temps en temps Pascal me lécher les doigts à la
sortie de mon vagin.
Il était merveilleux de douceur et d’attention. J’atteignis plusieurs fois des
orgasmes avec quelques difficultés pour retenir mes cris et gémissements. Après un
long moment pendant lequel Pascal n’arrêta jamais de me lécher, nous nous remîmes
allongés côte à côte.
Je me collais à lui en l’embrassant goulûment car mes sentiments vers lui étaient en
train devenir très forts
Ses mains sur moi ne me dérangeaient pas et il me caressait partout, je me laissai
sans aucune gêne. Moi aussi, je le caressai et je me surpris à descendre la main vers
son sexe qui était dur et dressé. Mes mains se glissèrent directement dans le pantalon
de pyjama pour attr son sexe en main. Il était chaud et dur.
Dans mes mains, j’avais l’impression qu’il était énorme et une inquiétude commençait à
naître en moi pour la suite de nos ébats.
Je caressais le bout de son sexe humide de ses sécrétions et sans pudeur je demandais
à Pascal de se mettre nu comme moi.
Pendant qu’il retira son pyjama, je portais ma main à mes narines et l’odeur du mâle
me surprit et par curiosité je goûtais en léchant mes doigts. Le goût n’était pas
particulièrement mauvais, pas plus que la cyprine des filles.
Pascal se retrouva nu et la vue de son sexe me surprit par sa taille, comme un gode en
beaucoup plus gros mais avec la même longueur. Je frémis pensant que peut-être la
pénétration me ferait mal et une angoisse m’envahit.


Je l’embrassai, aussitôt, à pleine bouche comme pour me rassurer et je fis comme lui,
le couvrant de baisers en descendant lentement jusqu’à son sexe.

Ma tête posée sur son ventre, je regardais ce membre que je découvrais pour la
première fois. Je ne pensais pas que ce soit aussi gros n’en ayant jamais vu de si
près.
J’ai pris son sexe à pleine bouche en commençant par lécher du bout de la langue son
gland, puis j’ai lapé de la langue sa verge sur toute la longueur, lui faisant pousser
quelques soupirs de plaisir.
Puis j’ai pris le gland entre mes lèvres et j’ai joué avec, c’était agréable d’avoir
son sexe en bouche.
Découvrant je me fus surprise de sentir que j’adorais sucer un mec. Pascal me demanda
de faire un 69 et je me positionnais au-dessus de lui, complètement allongée sur lui
il devait avoir une vue imprenable sur ma chatte.
Je le sus quand il me dit que j’étais vraiment superbe et qu’il commença à mettre ses
mains pour m’ouvrir encore plus. Sa bouche posée sur ma vulve me donnait du plaisir et
tout mon corps s’électrisa au contact de sa langue sur mon clitoris.
Il me léchait divinement et le plaisir me submergea. Je glissais rapidement son sexe
raide dans ma bouche et l’enfonçai au fond de ma gorge.
Je voulais le faire jouir de ma bouche et recevoir sa semence au fond de ma gorge et
l’avaler comme une comme petite cochonne qui se réveillait sous les caresses de son
amant.
J’eus l’impression que le sexe de Pascal vibrait par sursauts et soudain je reçus un
jet qui emplit ma bouche. Pascal venait d’éjaculer en moi et j’avais sa semence dans
ma bouche, j’eus moi aussi un orgasme qui donna à Pascal l’occasion de voir mon sexe
palpiter à la recherche de sa langue, mais j’étais partie, maintenant je le voulais en
moi au fond de mon ventre, je voulais me sentir investit par le sexe de mon amant.

Alors j’avalais le sperme et sortis son sexe de ma bouche. En retirant ma jambe pour
libérer la tête de Pascal, je lui dis :
- Prends-moi !
Je me positionnai à quatre pattes sur le lit avec la croupe cambrée. Pascal se releva
et vint se mettre derrière moi. J’ai bien senti son sexe à l’entrée du mien et je
sentis que mon sexe s’écartait sous la poussée de mon amant.
Son sexe rentra en moi sans douleur et des sensations s’élevèrent en moi. La pression
de son sexe dans mes entrailles aux endroits où seul les godes avaient eu accès me
donna une jouissance folle, la chaleur m’envahit.
Puis les allées et venues en moi me firent délirer.
- Ahhh, que c’est bon ! Dis-je.
J’avais encore le goût de son sperme dans la bouche et j’aimais ça, en baissant la
tête pour regarder derrière, je vis mes seins secoués par les coups de butoirs que
m’infligeait Pascal, puis il s’accrocha à ma poitrine pour m’obliger à venir encore
plus vers lui et me prendre bien à fond. J’aimais cette sensation d’être bien prise er
remplie comme une petite vicieuse que je devenais.

J’aurais aimé voir comment ma chatte s’écartais sous la pénétration du sexe de Pascal,
voir comment elle pouvait accepter un tel morceau de chair.
Je me mis à me branler le clitoris et sentais ses couilles du bout des doigts à chaque
entrée de son sexe en moi.
Pascal me besognait de façon régulière et mes orgasmes se succédaient les uns après
les autres me faisant hurler de plaisir. Un frisson me parcouru l’échine quand Pascal
posa un doigt sur ma rosette, je ne m’y attendais pas et la surprise me fit serrer le
vagin sur le sexe de Pascal qui jouis en moi aussitôt.
Son sperme remplit mes entrailles vaginales et je perdis un moment connaissance.
Lorsque je retrouvais mes esprits Pascal était toujours en moi, le sexe raide, il
s’avérait endurant et je me demandais ce qui allait suivre, de toutes façons dans
l’état où j’étais il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, car le moindre mouvement
ou la moindre caresse déclenchaient à nouveau en moi des sensations à la limite du
supportable.

Dans la position où j’étais, toujours cambrée et les fesses grandes ouvertes, je
devais être indécente et Pascal devait avoir une vue imprenable sur mon petit anneau
plissé, d’ailleurs je l’entendis me dire :
- Ton petit trou est magnifique et ce serait dommage de ne pas s’en occupé !
Du bout du doigt il me caressa l’anneau me faisant à nouveau sursauter, et se mit à
caresser doucement mon anneau en passant son doigt sur les plissures de mon trou.
- Tu ne vas pas me sodomiser ? Lui demandais-je.
- Tu crois que tu me laisse le choix ?
- Pascal s’il te plait, aucun homme ne m’avait prise avant toi et encore moins
par là.
- Raison de plus, je serais le premier et je sais que tu en as envie.
Il n’avait pas tort, le désir de m’offrir complètement était bien présent, mais la
peur me retenait de me laisser aller, mais Pascal me rentra un doigt dans le trou me
faisant hurler et basculer dans le vice. »

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!