Leslie Vn27

Leslie VN27 – Vacances naturistes, Christine, suite

« Pascal venait d’introduire son doigt dans mon cul et soudainement je me suis sentie
chienne, j’étais prête à offrir à mon amant mon intimité la plus secrète. Il m’avait
fait jouir comme une reine et je voulais m’offrir à lui complétement et sans retenue.
Je sentis un liquide froid sur ma rosette, Pascal était en train de m’enduire l’anneau
et me préparait avec délicatesse, son doigt étalant le gel sur le pourtour de mon
œillet puis l’investissant pour en faire entrer au fond de moi. Cela dura un long
moment et je commençais à prendre du plaisir lors de ce préparatif.
Pascal s’en rendis compte et me dit :
- T’es vraiment étonnante, je sens ton désir monté, et d’ailleurs ton petit trou
commence à s’ouvrir doucement.
- C’est bon ce que tu fais.
- Tu vas voir tu vas aimer.
- Je suis à toi, prend moi quand tu le désire.
Il avait mon accord et il allait m’enculer, il avait réveillé la chienne qui dormait
en moi, j’allais être sa petite enculée d’amour et, plus tard, chaque fois qu’il le
voudrait j’ouvrirais mon cul pour lui.
Il continua à masser ma rondelle me faisant presque piaffer d’impatience, il prenait
son temps me laissant me détendre et m’ouvrir au maximum avant de me pénétrer.
Il retira son sexe de moi et passant devant moi il me l’offrit à sucer pour lui
redonner un peu de vigueur. Je le pris aussitôt en bouche sachant que pour me
sodomiser il lui fallait être raide au maximum. Le gout du sperme mélangé à mes
sécrétions me fit chavirer, je me mis à le sucer comme une dingue et en peu de temps
il retrouva toute sa vigueur.
Se replaçant derrière moi, il enduisit son membre de gel et le plaça sur mon petit
trou.
Je sentais son gland frémir à l’entrée de ma rosette, il me prit fermement par les
hanches et commença à pousser son membre en moi.

Bien que désireuse de l’accueillir, mon anneau résista, il faut dire que même si Jade
ou Sylvie m’avait déjà sodomisées avec leurs godes jamais je n’avais été enculée par
un engin de la taille du sexe de Pascal.
Il donna un coup de rein plus appuyé en m’attirant à lui à l’aide de ses mains sur ms
hanches et mon anneau céda laissant entrer son gland en moi. Je fus tétanisée et une
douleur vrilla mes reins quand le gland passa mon anneau culier, des larmes perlèrent
sur mes joues mais il était maintenant en moi, heureuse je me détendis afin de lui
permettre de s’enfoncer en moi.
Il prit le temps, me laissant m’habi un peu, puis je le sentis s’enfoncer
lentement dans mes entrailles, doucement sans brusquerie jusqu’au moment où il me dit
:
- Je suis au fond de toi, comment tu te sens ?
- Heureuse mon amour, remplie et comblée, je suis à toi.
- Ma petite enculée d’amour, me dit-il.
- Tu aimes, luis demandais-je.
- A un point que tu ne peux pas te douter, c’est chaud et doux et tu m’enserre
divinement.
- Alors fait moi jouir du cul.
Sans se faire prier, me sentant prête à me faire enculer, il se mit à me pistonner la
rondelle comme une bête en rut.
Je sentais mon cul s’ouvrir de plus en plus et espérais qu’il puisse aller en moi de
plus en plus loin.
Il me sodomisa jusqu’à que je jouisse du cul en hurlant mon plaisir et en prononçant
des mots qu’une heure auparavant je ne me serais pas cru capable de dire.
- Ohhh, ta queue dans mon cul, ohhh c’est trop…
- Jouis mon ange, jouis, disais-t-il pour m’encourager
- Oui, oui, ça vient je jouis de ton sexe en moi.
- Prend bien ton pied et je jouirais en toi.
- Ohhh oui remplit moi les entrailles de ton jus, mon cul est à toi.
Je sentis le sexe de Pascal grossir dans mes entrailles, me dilatant encore plus et un
liquide chaud inonda mes entrailles, Pascal venait de jouir au fond de mon cul.
Je m’effondrais et Pascal, sans quitter mon cul se coucha sur moi, nous sommes restés
un long moment ainsi profitant de notre palisser, le sexe de Pascal sursautant par
moment dans mon cul envoyait des ondes de plaisir dans tout mon corps.

Dans le silence qui suivit, on pouvait entendre les deux nanas gémir dans l’autre
chambre, elles ne devaient pas s’ennuyer et je les imaginais en train de se visiter
les trous à tour de rôle.
Sans un mot nous nous somme regardés et nous savions l’une et l’autre que nous avions
envie d’aller les voir.
Doucement à mon oreille il me dit :
- Merci de m’avoir tout donné de toi et surtout ton petit cul.
- C’est normal de se donné complètement, lui dis-je, surtout quand c’est bon.
- Tu sais, rajouta-t-il, Sylvie ne m’a jamais donné son œillet ?
- Non, tu plaisantes.
- Pas le moins du monde.
L’occasion était trop belle et j’en ai profitée.
- Allons les voir et tu vas voir je vais m’arranger pour que tu l’encule cette
petite vicieuse.
Il ajouta qu’il était curieux de voir Jade toute nue et que cette belle brune devait
avoir de belles lèvres à lécher, et que se retrouver entre trois nanas n’était pas
pour lui déplaire. Ca on s’en serait douté.
- Regarder les filles faire l’amour, me voir entrer en elles, vous sodomiser
l’une après l’autre, prendre le maximum de plaisir ensemble et finir la nuit avec toi.

La fin me plaisait et je me levais en entraînant Pascal avec moi. Dans le couloir,
nous nous sommes approchés de la porte de la chambre de Jade.
J’ouvris la porte et nous vîmes Jade et Sylvie dans un 69 endiablé.
Jade nous tournait le dos et on ne voyait que ses fesses qui oscillaient sous les
caresses de Sylvie.
Je m’approchais du lit qui était éclairé par une petite veilleuse, laissant Pascal en
arrière, Sylvie m’aperçut et fut surprise, Jade se redressa aussi et eu un geste de
protection pour sa nudité face à Pascal.
- Nous avions l’intention de nous joindre à vous, c’est possible, demandais-je.
- Bien sûr, dit Sylvie.
- Pourquoi pas, rajouta Jade.
- Franchement mes chéries, je suis heureuse nous allons nous donner du plaisir
tous les quatre, dis-je. »

A suivre…