Pretée Pour Essayage

Pierre m’informa que je devais rapidement être prêtée a une de ses relations car
cette personne devait s’absenter pour longtemps et il désirait m’essayer avant de
partir , il me donna l’adresse et me demanda de m’y rendre habillée en jupe courte,
bottes cuissardes, et chemisier, sans sous vêtements.

Je me préparais, j’étais prise de court, cela m’affolait un peu, je n’avais pas le
temps de me préparer a cette idée

J’arrivais au pied de l’immeuble, mon cœur battait la chamade, d’ici peu de temps
j’allais être nue devant je ne sais qui et je devrai obéir

Je reconnu le nom sur la sonnette : Alain, j’hésitais, que vais-je dire, je me
lançais, je sonnais, une voix :

- Allo, oui ?
- C’est Patricia, je viens de la part de Pierre
- Je vois très bien montez au 3 em

Le clic de l’ouverture de la porte d’entrée, je la poussais, je me dirigeais vers
l’ascenseur, je me dirigeais vers mon destin, je montais, l’ascenseur stoppa, je fis
quelques pas, je me trouvais devant la porte
Je sonnais, après un instant, qui me sembla court et en même temps une éternité,
celle-ci s’ouvrit
Un homme assez grand, maigre, la quarantaine, en robe de chambre, un air « supérieur
», imbu de sa personne, dédaigneux, se trouvait devant moi, un ricanement sur le
visage, et j’allais devoir lui obéir, je le détestais déjà, j’osais a peine le
regarder

- Vous venez pourquoi ?

Cette question me déstabilisa, (je suis le plombier avais je envie de répondre,
j’avais envie de pouffer de rire, c’était nerveux), je bafouillais : je viens de la
part de Pierre pour …,(je ne savais plus que dire), je baissais les yeux

- Vous êtes la femelle qui vient pour se faire dresser et écarter les cuisses,
est-ce bien cela, il ne faut pas être timide, osez le dire ?
- Oui, Monsieur Alain, je suis la femelle qui vient pour être dressée

Il me fit rester sur le palier, déboutonna lentement mon chemisier, rabattit les pans
de celui-ci vers l’arrière de mes épaules avec brutalité, laissant ainsi ma poitrine
a l’air

Il me prit les seins, les soupesa, les malaxa, les claqua de haut en bas, puis de
droite à gauche, me pinçait les bouts, (il m’avait fait mettre les mains derrière la
tête), il me « travaillait » les mamelles comme il le disait, cette alternance de
douleurs, caresses commençait a me faire de l’effet, je commençais sérieusement a
mouiller

- jolies mamelles, les bouts déjà en érection, je suis sur que ce traitement te
fait de l’effet

Il voulu vérifier, il dirigea une main vers mon entre jambe, j’écartais les cuisses,
il introduisuit deux doigts dans ma chatte profondément et sans ménagement :

- Tu lubrifies vite ma belle, déjà trempée, tu dois être une bonne salope,cette
chatte s’ouvre déjà, tu verras tout a l’heure, tu seras étonnée de voir a quel point
cette chatte va s’ouvrir

J’entendis l’ascenseur redescendre, s’arrêter puis remonter, je paniquais, pendant ce
temps, Alain m’ordonna de retirer ma jupe, j’étais alors nue sur le palier, campée
dans mes bottes cuissarde a hauts talons, bref : la parfaite catin que l’on évalue
pour savoir si elle vaut le coup, et cet ascenseur….

.

L’ascenseur stoppa à l’étage comme je le redoutais, horreur, un homme en sorti,
j’étais pétrifiée, instinctivement, je me protégeais la poitrine avec un bras, de
l’autre mon entrejambe
Je reçu alors une paire de gifles magistrale, suivi d’un ordre :

- Mains derrière la nuque, cuisses écartées la bourge, tu es ici pour être
dressée, utilisée, tu aimes être soumise et humiliée, alors assume. Tu as de la
chance, de nombreuses femmes sont frigides, et n’éprouvent donc aucun plaisir sexuel,
toi, tu ne demandes que du plaisir.
Les hommes préfèrent les salopes et putes de ton genre, cesse de jouer a la pimbêche
et sainte nitouche et reconnais que tu aimes le cul, de faire sauter, te faire
dominer, sucer les hommes, j’attends
- Oui, Monsieur, je suis soumise et j’aime cela, j’aime le sexe, j’aime les
sexes des hommes, j’aime sucer
- Ton épilation te va à ravir, la fente bien en avant, qui ne demande qu’à être
e
Alain, d’adressant à l’inconnu :

- c’est une relation qui me la prêtée pour l’après-midi, si tu veux tu peux
m’aider a la dresser, si tu as besoin de te vider les burnes n’hésites pas, elle en
sera ravie, (ce monsieur devait être un copain et ceci une mise en scène)

- Cela sera avec plaisir

Alain me fit tourner sur place, ils me palpèrent, me détaillèrent : mon cul, ma chatte
avec la fente bien en avant, mes seins qui ne demandaient qu’à être travaillés, ma
bouche a être fouillée, ils vantèrent mon épilation.

- Elle est baisable, j’espère qu’elle sera une bonne salope et qu’elle chantera
bien

Ils se décidèrent a me faire entrer dans l’appartement, je me sentais humiliée, objet
sexuel, femme publique, et pourquoi aimais-je cela ? Pourquoi cela me faisait il
autant mouiller? Pourquoi cette envie d’être violée, e, ouverte, fouettée.

- mets toi a quatre pattes, le tête en bas, ton cul en l’air et présentes nous
tes trous.


Je crus comprendre que je devais prendre cette position et écarter les deux lobes de
mes fesses avec les mains
- La bourge le cul en l’air prête a se faire saillir !!!

Je ne m’y attendais pas, je reçus un coup de fouet, d’autres suivirent, puis ce fut la
cravache, mes fesses brûlaient, je serrai les dents et en même temps des picotements
dans mon bas ventre se faisaient ressentir, j’avais envie de me caresser. les coups
cessèrent

- Il me releva la tête : tu me dis merci pour la correction et tu suces

Je le remerciais, écartais les pans de la robe de chambre, un sexe, pas très long,
mais très très épais apparu, c’était impressionnant, il était bien droit et raide, je
le décalottais, il allait m’, et le mit dans ma bouche, j’en avais plein la
bouche, et commençais a le sucer en caressant les bourses, je reçu un avertissement :

- Si tu continues comme cela tu vas recevoir une raclée, appliques toi

J’y mis tout mon cœur, la ressortant, la léchant, l’engloutissant a nouveau aussi loin
dans ma gorge que je le pouvais, léchant les bourses, le masturbant lentement en même
temps, il m’ordonna de le regarder dans les yeux.
J’étais agenouillée devant cet homme que je méprisais, contrainte a lui donner du
plaisir, a le satisfaire, et j’aimais cette situation, pourquoi ?, je ne puis
l’expliquer.
Cet homme que je méprisais pouvais faire de moi ce qu’il désirait, m’ordonner…pourquoi
aimai-je être humiliée de la sorte ?

- suce bien salope, tu aimes cela, et remercie moi de te permettre de me sucer
- Je vous remercie de bien vouloir me laisser vous sucer, monsieur Alain

Je sentis son sexe se durcir encore plus, il stoppa, et laissait la place a son
copain. Son sexe était beaucoup moins épais mais plus long, j’en fis de même. Cet
homme ne me laissa pas mener le jeu, il m’emmena le dos contre une table basse,
accroupie, les cuisses bien ouvertes me tenant la tête, il se servait de ma bouche
comme d’un vagin, butait contre le fond de ma gorge, il se déchargeât, par longs et
abondants jets de sperme,

- avale salope

J’avalais tout jusqu’à la dernière goutte

Ils avaient décidés de me faire faire un peu d’exercice, ils m’attachèrent une pince
au bout de chaque sein ‘les dents métalliques des mâchoires me faisaient très mal,
c’était horrible, comme si les bouts de mes seins allaient être arrachés et en même
temps cette douleur me faisait mouiller encore plus.

Au bout de chaque pince des grelots, je devais sautiller sur place devant eux, les
mains derrière la nuque, mes seins ballottaient, je devais avoir l’air ridicule, par
la suite ils ont adjoints des poids aux pinces , la douleur était alors atroce, les
larmes me coulaient le long des joues, ils ont voulu y adjoindre des poids encore plus
lourd, là, je n’en pouvais plus, je me suis jetée a leur pieds en sanglotant et en
implorant leur mansuétude, je pleurais a chaudes larmes,

Ils n’ont pas insisté, ont retiré les pinces, m’ont dit qu’ils allaient me faire
connaître le septième ciel et me consolaient.
Nadine me manquait, elle, elle savait comment me consoler
Ils m’ordonnèrent de me mettre a plat dos sur le lit, me fixèrent solidement les
chevilles a chacun des montants, passèrent un oreiller sous les fesses pour me faire
bien ressortir ma chatte

L’un d’entre eux alla chercher un flacon et versa quelques gouttes d’un liquide sur
mon clitoris je ressentis des brûlures, des démangeaisons, cela devenait intenable, ma
chatte mouillait, démangeait, salivait, dégoulinait, s’ouvrait, j’essayais de me
tortiller, mais impossible, je haletais, hurlais de plaisir, j’essayais en vain de
remuer les jambes comme pour échapper a ce presque orgasme permanent.
Un des hommes me tendit son sexe, je la happais suçais, bien au fond de la gorge, avec
avidité comme pour faire diversion
Et j’entendais les commentaires :
- elle a le feu aux fesses la salope, elle a faim cette chatte
- Je crois que les bourges sont encore pire que les autres, sa chatte est
luisante, baveuse, elle ne demande qu’à être remplie
- Tu as vu comme elle se tortille la femelle, un peu de retenue Patricia, tu es
indécente
- Elle a un bassin a être prise sans ménagement, a le husarde
- Tu crois que c’est le moment ?
- Attends, je me vide les couilles

Je sentis un jet inondant ma bouche, j’avalais avec plaisir, je continuais de jouir,
je n’en pouvais plus

- Allez, on y vas : tu veux y aller ou j’y vais, j’y vais et toi tu te fais
sucer
- Ok
- Alors ma belle, tu veux que j’éteigne le feu que tu as au cul ?, tu veux que je
m’occupe de ta chatte ?, que je te baise ?,
-Oui, s’il vous plaît Monsieur Alain baisez moi

Monsieur Alain alla chercher un énorme gode.

Tu vas voir, je suis sur que ta chatte va l’avaler
Il me pénétra d’abord avec deux, puis trois, puis quatre doigts, j’entendais le
clapotis de la cyprine, j’étais véritablement inondée
Elle est a point la bourge, tu te souviens ce que je t’ai dit ma belle, tu seras
étonnée de ce que ta chatte va avaler, et je suis sur qu’elle va aimer, tu peux crier,
chienne, je veux te voir jouir et t’entendre piailler

Sa main allait et venait en moi, j’avais reçu l’ordre de ne pas jouir, c’était
difficile de le respecter
Puis il présenta un énorme gode, le fit pénétrer par petits coups successifs, je le
sentais entrer en moi peu a peu, m’écartant mes lèvres, je couinais de douleur, de
plaisir, il s’enfonçait, Alain me libéra les chevilles, instinctivement j’écartais
encore plus les cuisses pour aider a faire entrer le god, puis, ne pouvant plus me
retenir, je hurlais de plaisir dans un gigantesque orgasme, les spasmes faisaient
sursauter mon corps

La suite de l’après midi : ils me firent prendre des positions on ne peut plus
indécentes, obscènes, ils m’avaient vaincue, je me suis donnée, livrée abandonnée a
eux sans retenue , lorsque je me rebellais ou que ma pudeur refaisait surface, une
bonne fessée, paire de claques ou fouet me remettait les idées en place, c’était un
véritable dressage, grande ouverte, j’étais un jouet , mes fesses me cuisaient , mais
j’étais heureuse, comblée de ne pouvoir me dérober a leurs exigences


J’espère que vous aurez aimé lire cette partie de ma vie, et peut être a bientôt pour
la suite si vous le désirez

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