Une Journée En Bateau

Je venais d'avoir 45 ans, mon chéri de mari Richard, 5 de plus et nous étions en vacances au bord de la mer, un ami d'un ami qui possédait un pied à terre tout près nous a invité à passer une journée sur son bateau à moteur ancré dans le port voisin. Ce n’était pas parmi nos connaissances celui qu'on trouvait le plus sympa mais on s'est dit qu'une journée en mer ne se refusait pas, ça fera aussi l'occasion de mieux le connaitre, Charles était avec sa concubine, une très belle femmes plus de 60 ans et très sympathique, Charles lui approchait les 70.
On s'est retrouvé au port vers 10 h de matin avec chaque couple une partie des victuailles et des boissons. On a pris le large, Charles à la barre et nous en maillot face au large. Vers midi, Charles à mouillé le bateau dans une crique, comme il était le seul avec le permis bateau, Christine a mis sa tenue de plongée et rapidement nous avions un nombre conséquent d'oursins à préparer pour l'apéritif. L'ambiance était très bonne, boire le pastis et manger les oursins sur la plage arrière les pieds dans l'eau était sans pareil, le repas simple mais bien arrosé avec un rosé bien frais a continué de détendre l'atmosphère.
Après une courte sieste , on a ôté nos T-shirts pour aller faire une baignade, en maillot de bain, Charles n'avait rien du play-boy, court sur pattes et un ventre énorme témoin de ses excès de nourriture et de bière. Une fois sur le bateau, il nous a dit qu'on allait dans une autre crique et m'a proposé de m’initier à la conduite du bateau. Tandis que nos conjoints s'installaient en maillot sur la plage avant, je remettais mon T-shirt après avoir discrètement enlevé mon soutien-gorge mouillé et j'allais rejoindre Charles devant la barre.
Pour pouvoir palier à mes erreurs et bien me montrer, il avait basculé l'assise du siège et s'était placé derrière moi. Ses bras étaient autour des miens pour me guider dans les manœuvres, je sentais son gros ventre appuyé sur le haut de mes fesses, peu à peu, j'ai senti qu'il avait un début d’érection qui n'a fait qu'empirer, je restais impassible, aucun de nous deux ne parlait, lentement ses mains ont quitté les miennes pour se poser sur mon ventre puis passer sous mon T-shirt et venir caresser mes seins, Charles était très moche et bedonnant mais sentir ses mains sur mes seins et sa bite appuyée sur mes fesses, le tout en voyant de l’autre coté du pare-brise nos conjoints qui nous tournaient le dos m'a excité au plus haut point, du coup, j'ai poussé mes fesses vers Charles pour lui donner mon accord.


Je tenais toujours la barre avec maintenant une de ses mains qui passait d'un sein a l'autre, ses lèvres qui embrassait mon cou et l’autre main qui touchait déjà ma touffe fraîchement entretenue de la veille, j'ai senti ma culotte descendre le long des jambes, j'ai aidé mon futur amant à l'enlever complètement puis j'ai entrouvert mes jambes. Sa main est venue directement sur mon minou, son majeur est passé dans ma fente , je sentais que je mouillais abondamment, il n’a eu aucune difficulté pour l'introduire dans mon vagin puis partir à la conquête de mon clito. Lorsque j'ai eu mon 1er orgasme, j'ai appuyé fortement sa main sur ma vulve. On est resté comme ça un moment sans aucune parole, la 2ème main a quitté ma poitrine, j'ai senti qu'il était en train de baisser son short puis sa bite de dimension plus qu'honorable se mettre entre mes fesses. Je me suis penchée le plus possible sur la barre, jambes bien ouvertes pour lui permettre de passer son phallus jusqu’à l'entrée de mon vagin. Il est rentré d'un coup, j'avais sa bite plantée dans mon con et mon regard sur nos conjoints un peu endormis. La place était très limitée, Charles avait son gros ventre coincé entre le siège relevé et mes fesses, par contre il bandait très bien pour son âge et ses dimensions me remplissaient bien le minou, par petits coups de reins il a commencé son coït, par moments, il restait bien au fond pour me caresser les seins et me dévorer le cou, j'en profitais pour lui faire mes contractions vaginales, après avoir joui sous ses caresses du clitoris, je savais que j'aurais du mal à avoir un orgasme dans cet inconfort. Je lui ai dit de ne pas s'occuper de moi, il a mis assez longtemps avant de se déverser dans ma chatte, je sentais ses à-coups puissants allant en diminuant pour devenir des soubresauts puis s'arrêter. Il est resté en moi j'avais le T-shirt au dessus de la poitrine, il a continué à me la caresser, j'ai tourné la tête comme j'ai pu pour échanger notre premier baiser, même de tête il n'était pas beau mais j'avais toujours son membre imposant à moitié ramolli en moi et ça méritait un remerciement.

J'ai remis la culotte du maillot et j'ai filé à l'arrière du bateau, j'ai enlevé mon T-shirt et j'ai plongé, quel délice ! J'en ai profité pour enlever le sperme qui commençait à dégouliner. Je suis remontée, remis mon T-shirt sur ma poitrine mouillée, il s'est collé sur elle de manière très suggestive et j'ai été retrouvé mon chéri à l'avant, vu ma mine il m'a jeté un regard interrogatif et je pense qu'il a compris en gros ce qu'il s’était passé, un peu plus tard, à voix basse il m'a dit « tu me raconteras… ». C'est ce que j'ai fait dès qu'on a été seul en voiture. Il m'a juste dit regretter de ne pas avoir regardé et de ne pas avoir dragué Christine qui lui plaisait bien.
Deux ans plus tard, on a appris que Christine était partie et qu'ayant quelques petits problèmes, il était dans une maison de retraite non médicalisée. Un jour, je lui ai téléphoné pour prendre de ses nouvelles, immédiatement il m'a dit « je m'emmerde du matin au soir, passe me voir tu serais un amour ». Deux jours plus tard, j'allais le voir, pour des questions de sécurité on ne pouvait pas fermer la chambre de l'intérieur, il a poussé sa commode devant puis m'a couchée sur le lit, rapidement j’étais nue, sa bouche sur ma chatte, le lit à une place était nettement mieux que debout dans son bateau. Sa langue était un délice il n'avait sans doute pas touché une femme depuis sa séparation, il a léché mes grandes et petites lèvres leur faisant des petits suçons, il a léché ma petite rondelle, tété mon clitoris , introduit sa langue dans mon vagin, j'ai senti qu'il se déshabillait car il est venu se coucher sur moi, sa tête sur mon minou et sa verge devant ma bouche, dans le bateau, je l'avais sentie dans mon minou mais pas vue ni touchée, effectivement c’était une belle bête que j'ai honoré comme il se doit. Il devait être prêt éjaculer car il s'est retourner pour me pénétrer d'un coup, j'avais joui avec sa langue, j'ai eu un orgasme immédiat avec sa queue, ensuite je l’ai laissé faire à son rythme, lorsqu'il a joui, il ne m'a pas quittée du regard.

Lorsque l'envie me prenait, je lui téléphonais et j'allais le rejoindre, il devait faire le régime car son ventre perdait du volume à moins que j'en prenne l'habitude peu importe, il n’était pas beau, pas très futé mais sa bite me faisait un bien sans pareil. Tous ses copains de la maison de retraite devaient être au courant car ils me faisaient des grands sourires, Charles était devenu leur idole depuis qu'il affichait sa liaison avec une belle femme de 47 ans.
Plusieurs mois après il a commencé à avoir du mal à bander et rapidement plus rien, il continuait à maigrir, en pleurant, il m'a avoué avoir un cancer et le traitement les rendait impuissant , j'ai continué à venir le voir, il se contentait de me faire des cunnis et m'embrasser de partout, il maîtrisait de plus en plus, un jour, il m'a demandé de sucer son sexe inerte, sans succès, il m'a dit de ne plus passer le voir car il allait attaquer un traitement lourd à l'hôpital, 2 mois après, on l’enterrait.

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