Perversité, ...Luxure Et ....Plus
Comment expliquer, décrire lexcitation particulière de séduire, flirter, avec un homme attirant, devant mon mari. Comment définir ces sentiments subtils qui aiguisent lappétit sexuel vers lautre parce que justement mon mari est consentant et plus encore quil sexcite de ce jeu. Jouer aux subtilités sensuelles avec un homme alors que jappartiens de tout cur à un autre et quen même temps je rêve des échanges sensuels qui vont suivre. Parce que je sais que mon corps va se mélanger au corps de cet homme, que je vais tenir son sexe tendu pour moi, que je vais vibrer de son excitation, quil va jouir de moi, que je vais le conduire vers ces extases, quil me fera vivre les miennes
Une perversité extravagante, jouir de lun en pensant à lautre qui attend, qui me veut, qui me voit, mentend jouir, vibre de lextase de celui auquel il permet de me prendre en jouissant.
La soirée débute en envie, désir de séduire, il veut que je plaise que jattire les regards. Il aime être fier de sa femme. Alors je me glisse, sensuelle, dans ces subtilités audacieuses. Femelle, femme, séductrice certaine de ses choix. Je veux plaire pour lui, donner envie pour lui, simultanément accepter le choix final. Si lhomme séduit me plait, il me donnera, me prendra avec laccord de mon mari. La frustration ne fait pas partie du jeu, tout sera assumer par tous. Après les délicatesses, les finesses, les raffinements des bulles, des mots équivoques, des gestes esquissés, des effleurements, des transparences, des vues dévoilées sur une pointe de sein, un haut de cuisse intouchable encore. Un brin de langue qui mouille les lèvres rouges, sur un sourire aux yeux baissés, une épaule dénudée qui se recouvre, une main qui sattarde sur une autre, chaude et moite. La salive déjà abondante qui oblige la respiration profonde, souffle aux visages qui se rapprochent. Rires pour suspendre le temps. Il faudra le mot, celui qui fera basculer vers laudace. Le moment venu, le bon moment, celui quon attend, que seul mon mari peut dire et déclencher.
Une soirée exquise
Nous avons prévu un diner chez
en bourguignons raffinés.
Nous y avions nos habitudes et cest un luxe dy revenir. Ce soir en bonne compagnie.
JF a convié Antoine et julien. Jai discuté avec ce dernier sur internet et donc il sait nos jeux, beaucoup de moi, en mots, en images et émotions. Discussions coquines, parfois même presque au-delà du sensuel. Antoine est lun de ses amis, élégant, ténébreux, charmeur discret au regard enjôleur. Jai choisi une tenue élégante raffinée et ô combien perverse. Transparences, échancrure, tout pour deviner et espérer et pourtant invisible. Cuisses découvertes si la jupe remonte involontairement au delà des dimup, poitrine à peine dissimulée par un soutien gorge indécent entre décolleté et dentelle. Bijoux qui attirent le regard pour masquer la peau nue, parfum qui retient les effluves de la chair, voix suave qui enveloppe les mots soyeux et ambigus, sourires pudiques en contraste. Les serveurs ne sy trompent pas, dont les plus jeunes rougissent en avalant le trop plein de salive. Je jubile en croisant les regards de JF qui adore me voir ainsi séductrice, féminine, sensuelle. Un vrai jeu de princesse que jadore. Séduire en retenue, paraitre sans promettre, suggérer sans garantir, faire naitre limagination, puis le désir jusquà lenvie. Multiplier les allusions ambigües qui laissent croire et pourtant
Avancer vers le possible, revenir vers le strict réel, espérer sans certitude, vouloir et pourtant
attendre encore.
Une coupe au salon avant de dormir ou, ou
rien nest certain. Je nai plus de doute sur ma séduction je sais, je sens, le désir des hommes, leur envie masculine de jouer, les sens, les débordements des gestes et des corps. Ils bandent et jen vibre intérieurement. Jai envie tout autant, envie fébrile dêtre reine perverse et réjouie. Jattends que JF ose, quil ose, oui quil ose !
Il le fait finalement « voulez vous voir lYonne depuis le balcon de notre chambre, avec cette nuit étoilée cest une merveille. ». Quatre dans lascenseur vers les cieux
Les bulles accompagnent nos extravagantes indécences jusquau matin. Femme en tous sens et par tous, mon corps exulte. Les hommes excellent, me donnent encore et de toutes manières, de toutes pénétrations même les plus délirantes. Douceurs, vigueurs, perversité même ! Je me livre, ils me prennent. Me veulent, me donnent encore et encore. Répits douceurs et vigueurs encore. Engluée par les plaisirs mélangés, repue pas encore
Sans retenue ni honte je plonge dans le stupre, je lèche suce embrasse aspire bois autant que je suis bue et défoncée. Cris et souffles memportent et excitent mes amants en rut. Orgie des plaisirs inouïs qui se multiplient lun après lautre. Femme assouvie par trois mâles, épuisée anéantie fière et comblée. Oui ils ont tout osé, oui jai tout voulu, tout ! Les mots crus, les extases encouragent chaque amant dans son envie et ses pulsions. Ils sexcitent de mes orgasmes et men offrent encore, sans repos. Mari et amants en moi, je jubile de mon pouvoir, leur sève me couvre et me remplie. Le délire se lit sur les visages rougis, les mains crispées sur tout mon corps, peau empoignée, caressée, seins empalmés, fesses fessées, cuisses ouvertes, sexe visité, fouillé, léché ou pilonné. Mes cheveux coulent sur le visage de lun, une mèche retenue par la main ferme de lautre, et mon corps qui ondule, accompagne, aspire en mouvement conjoint, en rythme fougueux. Transmission des désirs, partage des envies, les corps unis et liés se trémoussent de plaisirs violents.
Perverse ? Alors que les hommes regardent le paysage de la nuit, « Crois-tu que ces messieurs me montreraient le septième ciel ? »
Plus tard, je jubile sous le regard de mon mari qui vit mes plaisirs et mes dons aux amants. « Dis leur quils me baisent encore, bien, bien au fond » Il le dit et jajoute « jaime leurs queues en moi, cest bon ! ». Ou bien encore, assouvie, mon amant à peine sorti, je montre à mon mari ma fente ouverte brillante et dilatée doù sécoule le sperme blanc encore chaud. Ou même, à califourchon sur la queue de Julien, Antoine vient déjaculer son plaisir sur ma bouche et mes seins, je demande à JF « peux-tu messuyer sil te plait ? » en lui tendant un pan du drap alors que je continue mes mouvements sur le sexe tendu en moi.
Perverse encore, en sortant de la douche avec JF, dans un sourire fripon : « on a été un peu long
Jaime mon mari, savez vous
»
Alors, perverse coquine ou excessive ?
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