Mon Expérience Homo, À 18 Ans (Épisode 8)

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

(Suite des 7 épisodes précédents)

J'attends plusieurs jours le courrier de Yves, mais rien… Un soir, vers 19h, on sonne à ma porte et je découvre avec stupeur Cédric, un ami d'Yves qu'il nous avait brièvement présenté au camping l'été dernier. Sensiblement du même âge que moi, j'avais été étonné à l'époque qu'Yves ait des amis si jeune. Maintenant, avec le recul, je comprend mieux… d'autant que le jeune homme est séduisant, mince, avec un regard effronté. Je n'avais pas revu Cédric depuis l'été, et je ne savais même pas qu'il habitait Paris.

"- Qu'est-ce que tu fous là ? bredouillais-je, et d'abord, comment tu as eu mon adresse ?
- C'est Yves qui me l'a donné. Il devait te donner une enveloppe, mais il a trouvé plus rigolo que je te la donne en main propre".

Et sans me demander quoi que ce soit, Cédric me passe devant, entre dans le studio et se vautre dans le fauteuil.
"- C'est sympa chez toi, dit-il avec sans-gêne, tu m'offres un verre ?
- Écoute, je suis fatigué là, j'avais pas prévu de recevoir de la visite. Tu me donnes cette enveloppe et on se rappelle plus tard, OK ?"
Il sort une grande enveloppe kraft de son sac et la jette négligemment sur la table basse.
"- Tu peux l'ouvrir tout de suite, si tu veux, ça me concerne aussi. C'est un job qu'on doit faire ensemble dans 3 jours".
Je tressaille de honte. Ainsi Cédric est au courant des rôles qu'Yves voudrait me faire jouer. Je referme la porte d'entrée et je bredouille :
"- Heu… je ne vois pas de quoi tu veux parler.
- Bien sûr que si, gros nigaud ! ricane Cédric. Yves m'a tout raconté te concernant. J'avoue que ça m'a pas mal excité. Et puis, c'est bien : on va pouvoir faire du bon boulot ensemble."

Je me laisse tomber assis face au fauteuil, avec découragement.
"- Ainsi, toi aussi tu marches dans les sales combines d'Yves ? Tu ne te rends pas compte qu'il essaie de nous exploiter ?
- T'es con, me répond Cédric, il nous permet d'arrondir nos fins de mois tout en prenant notre pied.

Tu sais depuis combien de temps je n'ai plus eu à me pour payer mon loyer ?
- Alors ça ne te dérange pas de te vendre ? T'as toujours été comme ça, ou c'est Yves qui t'a transformé ?
- J'ai réalisé très jeune du pouvoir que je pouvais exercer sur les vieux cochons, et tout le bénéfice qu'il y avait à en tirer. Ça a commencé au lycée. Tu veux que je te raconte ? Yves m'a dit que tu aimais bien les histoires, celle là elle va te plaire, j'en suis certain."

Pour masquer ma gène, je me lève et me dirige vers le coin cuisine pour chercher des verres, pendant que Cédric commence son histoire :

"Comme j'étais un ado indiscipliné et peu travailleur, mes parents m'avais mis en pension en province, dans un établissement privé très stricte. Le lycée était tenu par un proviseur rondouillard, de style vieillot, la cinquantaine, la moustache sévère et le regard dur. Il nous faisait un peu peur, et on essayait d'avoir le moins possible de raison d'avoir affaire à lui.
Nous étions en mai, et les partiels de français n'avait pas été bons pour moi. J'étais assuré d'avoir une mauvaise note de plus, ce qui allait assurément déboucher par mon renvoi définitif du lycée. La colère de mes parents serait terrible. Je me faufilais un soir dans la salle de français pour fouiller dans les tiroirs du prof. Je voulais mettre la main sur ma copie pour savoir à l'avance ma note, ce qui me permettrait de "préparer le terrain" auprès de mes parents. Hélas, j'étais penché sur les copies quand le proviseur déboucha à l'improviste et me surpris.
Il était furieux, et me demanda de le suivre dans son bureau séance tenante. J'étais accablé : cette fois, le conseil de discipline me guettait, et je savais quel serait son verdict : le renvoi.

A peine arrivé dans son bureau, il me hurla dessus :
"- Vous rendez-vous compte, jeune homme, de votre geste ? Vous passerez dès demain en Conseil de Discipline !
- Ho non m'sieur, j'vous en prie… Mes parents me ont !"
Je prenais une voix ine, pleureuse, pour essayer de l'amadouer, mais j'avais trop dépassé les bornes cette fois.
Je sentais que rien ne le ferai plus changer d'avis.

"- Vous savez ce que des gens comme vous méritent ? continua-t-il, hors de lui. Une bonne fessée déculottée, voilà ce que vous devriez recevoir ! Vos parents ne vous en ont pas donné assez dans votre jeunesse, et voilà le résultat aujourd'hui. Allez, filez, et rendez-vous demain matin devant le Conseil".

Je me dirigeais vers la porte, le coeur lourd, persuadé que cette fois tout était fichu. Au moment d'arriver à la porte, je fut pris d'une illumination en repensant à ses derniers mots. Je tentais le tout pour le tout et me retournais vers lui :

"- Vous avez raison m'sieur, j'ai sûrement pas été assez corrigé par mes parents dans le passé. Alors si vous voulez, la fessée, vous me la donnez tout de suite et vous ne me dénoncez pas au conseil de Discipline".

Il me regarda avec stupéfaction et colère :
"- Qu'est-ce que vous racontez ? Vous savez très bien que ce genre de corrections est totalement interdit de nos jours !
- Ben justement m'sieur, me dépêchais-je de rajouter, c'est l'occasion pour vous de me donner enfin la correction que je mérite sans que personne ne le sache. Vous pouvez être tranquille, j'irai pas raconter que j'ai reçu une fessée à qui que ce soit, je serai la risée du lycée !"

Il me regarda pensif.
"- Et pourtant, c'est bien ce que tu mérites, mon garçon : une bonne fessée déculottée. Les anciennes méthodes avaient du bon, crois moi."
Il se secoua, comme pour chasser à regret ces pensées.
"- Allons, allons, oublions ça, tu passeras devant le Conseil demain, et puis c'est tout.
- M'sieur, m'sieur, suppliais-je, je suis prêt à tout pour pas être renvoyé. Alors si vous pensez que je mérite un fessée, moi je suis d'accord, et ça restera un secret entre nous."
Je vis un éclair passer dans ses yeux, et je compris que j'avais ferré le poisson. L'espoir me vint d'une porte de sortie, mais il allait falloir jouer serré.

"- Te rends-tu compte, mon garçon, que si je te donnais une fessée à la hauteur de ta faute, elle risquerait d'être douloureuse ?
- Oui m'sieur, bredouillais-je d'une petite voix en baissant les yeux."
Je sentais confusément que jouer le petit garçon docile jouerait en ma faveur.

Il respira un grand coup, sembla hésiter, puis passa devant moi pour donner un tour de clé à la porte.
"- Très bien, je vais donc te corriger à l'ancienne, et tu échapperas au renvoi. Mais je te préviens, cela devra rester entre nous.
- Oui m'sieur, c'est juré ! dis-je soulagé.
- Baisse ton short et ton slip, et penche-toi sur le bureau."

J'avança, la tête basse, vers le bureau. Il resta dans mon dos silencieux, pendant que je laissais tomber mes habits à mes pieds. Penché sur la table, je pris appui avec les coudes sur son bureau, la tête dans les bras, les fesses offertes. Le sentiment de honte que j'éprouvais se mêlait curieusement d'un léger trouble et surtout à l'intense soulagement d'échapper au renvoi. Il avança pesamment dans mon dos, resta immobile derrière moi quelques instants, et soudain sa main claqua très fort sur mes fesses. La soudaineté et la violence du coup me surprirent et je commença à me redresser par réflexe.
"- Allons, allons, un accord est un accord" me dit-il d'une voix dure, en m'appuyant avec force sur le dos pour me forcer à me pencher à nouveau sur la table.

Je repris donc la position docilement. Il déplaça une chaise et s'assis non pas derrière moi, mais à côté. De sa place, je sentais qu'il avait une vue sur mes organes génitaux. Les coups sur mes fesses reprirent, un peu moins forts que la première claque, mais tout de même assez douloureux pour me tirer une légère plainte à chaque fois. La tête de côté, les yeux mi-clos, je lui jeta un regard discret et découvris avec stupeur que, tout en me donnant en cadence des claques sur les fesses, son regard fixe restais rivé à mon pénis. Son souffle était court, et ses yeux semblaient fascinés.
Je fermais les yeux, troublé malgré moi par la situation. À chaque claque sur mes fesses, mon pénis ballotait entre mes jambes. Je me sentais ridicule.

Tout en me donnant des claques, il marmonnait dans sa moustache :
"- Tu as enfin la correction que tu mérites, petit voyou, espèce de dépravé…" et autres remarques dont je ne comprenais pas le sens. Il semblait dans une sorte de transe. Je senti alors avec horreur mon sexe se dresser lentement. J'essayais tant bien que mal de penser à autre chose, mais rien n'y faisait : à chaque claque sur mes fesses, mon sexe prenait un peu plus de volume.

Il s'en rendit compte bientôt, car les claques cessèrent et il me dit d'un coup :
"- Qu'est-ce que c'est que ça, tu n'as pas honte ? Redresse-toi !"
Je me releva et resta debout, les yeux fermés, le sexe semi-tendu. Il fit alors une chose incroyable : il me donna une claque sur le pénis.
"- Petit cochon, n'as-tu pas honte ? Je te donne une correction et ça t'excite ? Qu'est-ce que c'est que ça, hein ?"
Le ton de sa voix semblait furieux, et tout en continuant à marmonner, il recommença à me donner des claques, mais cette fois en alternant : les fesses, puis le sexe, puis à nouveau les fesses et à nouveau le sexe… etc. Je restais les yeux fermés, horrifié par mon pénis qui prenait de plus en plus de volume à chaque claque. Il s'arrêta d'un coup, en respirant fort, comme essoufflé.
"- Dis moi la vérité, petit, les claques tu préfères que je te les donne derrière ? (il me donna une violente claque sur les fesses), ou devant ? (et cette fois il me claqua le pénis).
- Devant, m'sieur, bredouillais-je d'une petite voix.
- J'en étais sûr, espèce de dépravé. Tourne-toi vers moi !"
Son ton autoritaire me fit obéir, et je tournais d'un quart de tour pour me retrouver debout devant lui, le sexe tendu. Il se mit alors à me donner des claques exclusivement sur le pénis, le regard hagard, tout en continuant à marmonner dans sa moustaches des invectives du genre "tu n'as pas honte ?" à mon sujet. Je le regarda assis devant moi, le regard fixe, des perles de sueur sur son front dégarni. Je senti alors le pouvoir que j'exerçais sur lui et jubila intérieurement. J'étais en outre furieusement excité. Je repris ma voix d' :
"- C'est pas d'ma faute, m'sieur, je sais pas pourquoi j'suis tout dur, je fais pas exprès… Pardon m'sieur…"
Il interrompit alors les claques et pris carrément mon sexe en main qu'il serra fort en décalotant le gland.
"- Tu as bien conscience que tout cela doit rester entre nous, hein ?
- Oh oui, m'sieur, j'dirai rien, mais vous non plus, hein ? Personne doit savoir m'sieur."
Il masturba quelques instants mon pénis sans répondre, et d'un coup, perdant toute retenue, il se pencha brusquement avec un grognement plaintif et pris mon sexe dans sa bouche. C'était comme si des années de fantasmes secrets et inassouvis se libéraient d'un coup. Sa langue couraient sur mon gland, puis il enfournait à nouveau mon pénis voracement, puis le sortait et me léchait à nouveau le gland. Je tendis mon bassin en avant pour lui faciliter la besogne, le regard baissé vers son crâne en sueur. Je sentais le plaisir monter, et je repris ma voix ingénue :
-" M'sieur, m'sieur, je sens que ça me vient. Ho m'sieur… ça me vient, hoooo… "
Mais il continua de plus belle, et j'éjacula dans sa bouche en sentant la décharge électrique dans tout mon corps.

Il se recula brusquement dans le dossier de la chaise, pris lentement un mouchoir dans sa poche et s'essuya la bouche, les yeux dans le vague. Sans me regarder, il se leva pesamment, contourna lentement son bureau et s'affala dans son fauteuil. Il semblait terrassé, prostré, prenant sans doute la mesure de son moment d'égarement. Le regard flou, il ne me voyait même plus.

Je remonta discrètement mon slip et mon short et me tourna vers la porte pour partir discrètement. Mais à mi-distance, j'entendis sa voix dans mon dos, une voix qu'il essaya maladroitement de rendre autoritaire :
"- J'espère à l'avenir que tu te comporteras correctement jusqu'à la fin de l'année, hein ? Je t'ai évité le Conseil de Discipline, certes, mais je t'ai tout de même à l’œil, petit voyou !"

Je compris alors que ce salopard essayait de reprendre le contrôle de la situation. Il fermerait les yeux sur mon intrusion dans le bureau du prof de français, mais j'avais toujours ma probable mauvaise note au partiel à gérer. Je senti qu'il ne fallait pas perdre mon emprise sur lui. Alors, arrivé à la porte, je me retourna pour le regarder. Il avait repris un peu de couleur et essayait tant bien que mal de se composer sa tête habituelle de proviseur sévère.

"- Oui, oui, m'sieur, j'vais essayer d'être sage maintenant, lui dis-je d'une voix ingénue. Mais si j'fais encore des bêtises, je reviendrai vous voir pour une autre correction, hein ?
- Quoi ? me demanda-t-il avec stupeur. Tu prévois déjà de faire d'autres bêtises ?
- Non, non, m'sieur, je vous ai promis d'être sage, et je vais vraiment essayer. Si vous voulez, je peux revenir la semaine prochaine vous voir pour vous dire tout ce que j'ai fait, et c'est vous qui déciderez si ça mérite une correction, hein ? Qu'est-ce que vous en dites ?"

Il ne répondit pas tout de suite, le visage à nouveau livide. Il me dévisagea avec incrédulité. Peu à peu, il sembla réaliser tout ce que ma proposition impliquait, car il se racla la gorge et me dit :
"- D'accord, tu reviendras ici jeudi prochain à la même heure. Tu devras me raconter franchement tes agissements de la semaine, et je déciderai de la suite à donner. Mais attention, personne ne doit être au courant, ou sinon je laisse le conseil de discipline s'occuper de ton cas. Tu as bien compris ?
- Oh oui m'sieur, merci m'sieur. Alors à jeudi !"

Et avant qu'il ne se ressaisisse, je sortis précipitamment. Je jubilais ! Non seulement j'avais pris mon pied en me faisant tailler une pipe, mais en plus j'avais cette fois de bonnes chances d'assurer mon maintient dans l'établissement. Mais à condition de jouer serré, car le proviseur allait avoir une semaine pour réfléchir à la gravité de son acte, je ne savais pas quel serait son état d'esprit lors de la prochaine entrevue".

Cédric s'arrête de parler, bois une gorgée de bière et me regard narquois.
"- Elle t'a plu mon histoire ?
- Elle est dégoutante…
- Menteur, me coupe-t-il, je suis sûr qu'elle t'a excité. Tu ne veux pas savoir ce qui s'est passé ensuite ?
- Tu es retourné le voir ?
- Évidemment ! N'oublie pas que j'avais toujours cette histoire de mauvaise note au partiel à régler. Écoute la suite, elle est encore plus croustillante…"

(À SUIVRE)

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