Mon Expérience Homo, À 18 Ans (Épisode 9)

(FICTION POUR PERSONNES AVERTIES - Suite directe de l'épisode précédent)

Cédric, confortablement installé dans mon fauteuil, continue son récit. Pour masquer mon trouble et l'érection que ma causé le début de son histoire, je me lève et vais remplir à nouveau les verres.

"Donc, comme je te disais, commence Cédric, il me fallait absolument garder le proviseur sous ma coupe si je voulais que ma note de français ne cause pas mon renvoi de l'établissement. J'avais bien cerné le personnage : un cochon frustré qui fantasmait en secret sur ses élèves. Il avait presque succombé une fois avec moi, mais il pouvait à tout moment réaliser la gravité de son acte et reprendre le contrôle de la situation. Je devais donc lui faire perdre la tête à nouveau sans trop de délai, et si possible le faire aller beaucoup plus loin que la première fois.

Le jeudi suivant, comme je lui avais promis, je retourna donc le voir dans son bureau, aux alentours de 19h. Je tapais timidement à la porte et entendit sa voix impérieuse et intimidante me crier d'entrer.
Je passa la porte et son visage sévère blêmit à ma vue.

" - Que… qui… c'est vous ?" me demanda-t-il incrédule. Il ne s'attendait certainement pas à ma venue, pensant que je ne respecterai pas la promesse que je lui avais faite. Peut-être même avait-il espéré ne plus me voir, pour chasser ce triste épisode de sa tête. Il allait falloir jouer serré pour réveiller à nouveau ses démons intérieurs.
"- Ben oui M'sieur, c'est moi ! dis-je en prenant ma voix ingénue. Vous m'avez dit que je devais revenir vous raconter mes bêtises pour savoir si je méritais une correction. Alors me voilà.
- Heu… bien…, asseyez-vous."

Il essayait de garder sa tête sévère, mais je voyais bien ses mains trembler légèrement. Je m'assis en face de lui, de l'autre côté du bureau, et baissa la tête d'un air penaud. Comme le silence s'éternisa, il se racla la gorge et demanda :

"- Et bien, alors ? Je n'ai pas que ça à faire, dépêchez-vous ! Qu'avez-vous fait comme mauvaises actions cette semaines ?
- Ho, presque rien M'sieur, je vous avais promis de me tenir à carreau, et j'ai tenu bon.

C'est juste que…
- Quoi ? allons dépêchez-vous, je dois tout savoir."

Il s'était penché en avant sur son bureau, le regard inquisiteur. Je savais déjà quelle sorte de confession graveleuse lui plairait, et j'avais déjà préparé une belle histoire dans ma tête avant de venir, mais je ne devais pas lui sortir trop vite. Il fallait qu'il ait l'impression de me tirer les vers du nez.

"- Ben, m'sieur, ma plus grosse bêtise de l'année, c'est la mauvaise note que je vais avoir en Français. Le prof a dit que c'était ma dernière chance, et si je n'ai pas la moyenne je vais être viré.
- Allons, ce n'est pas une bêtise qui mérite que je te donne une correction. La punition sera la note elle-même, et si tu es renvoyé ce sera bien mérité !
- Ho m'sieur, vous êtes sûr qu'on peut pas échanger la mauvaise note contre une fessée ? La semaine dernière on a bien réussi à se mettre d'accord, alors pourquoi pas aujourd'hui aussi ?"
En disant cela, je levais la tête et le regarda dans les yeux en prenant ma tête la plus angélique. Il pâlit et se laissa retomber dans son fauteuil.
"- Taisez-vous ! Nous avions convenu qu'on n'en parlerait plus. Il ne s'est rien passé la semaine dernière, vous avez compris ?"
Sa voix tremblait un peu.
"- Bien sûr, bien sûr, m'sieur" me hâtais-je de dire pour le rassurer.
- Alors si vous n'avez pas de bêtises à m'avouer, vous pouvez quitter mon bureau, j'ai du travail."

Il se replongea dans ses papiers comme si je n'existais pas. Mais je n'avais pas l'intention de renoncer si facilement. Je baissa la tête et dit d'une toute petite voix :
"- C'est que… j'ai fait aussi un truc hier, avec mon pote Lulu. Je sais pas si je peux le raconter…"
Il releva la tête et me fixa.
"- Vous aviez promis de tout me dire, alors dépêchez vous.
- Hé ben…, dis-je d'une voix embarrassé et les yeux baissés, on s'est enfermé les toilettes du lycée et… heu… on a fait des trucs…
- Des trucs ?
- Ben… des choses qui se racontent pas", dis-je tout bas, la tête baissée.

Le proviseur se redressa dans son fauteuil, soudain intéressé. Je sentit que j'avais ferré le poisson. J'étais prêt à lui sortir mon histoire.

"- Allons, allons, s'empressa d'ajouter le proviseur, nous avions convenu que je devais juger de la gravité de vos actes. Qu'avez-vous fait dans les toilettes avec votre copain, je dois tout savoir dans les détails.
- Il m'avait dit qu'il avait un énorme zizi, et je l'ai pas cru, dis-je d'une petite voix, comme pour m'excuser. Alors il m'a dit qu'il pouvait me le prouver si on allait dans les toilettes et qu'il me le montre. J'étais pas d'accord, m'sieur, mais il a insisté.
- Vous êtes donc allé dans les toilettes, et ensuite ? Je dois tout savoir.
- On est rentré et je me suis assis sur la cuvette, pendant qu'il fermait le verrou de la porte.
- Ensuite ?" demanda fébrilement le proviseur.

Il s'était levé de son fauteuil, et debout derrière son bureau, me fixait d'un regard perçant. Comme je ne répondais pas, il marcha vers la porte et donna un tour de clé. Il resta à la porte, dans mon dos, et demanda :
"- Il est resté à la porte ?
- Non m'sieur, il s'est approché de moi"
Le proviseur fit quelque pas dans ma direction et s'arrêta à quelque mètres.
"- Comme ça ? demanda-t-il.
- Non, m'sieur, plus prés."
Le proviseur fit les quelques pas qui nous séparaient et se retrouva debout devant moi.
"- Comme ça ? demanda-t-il, la voix légèrement altérée.
- Oui m'sieur.
- Il faut que je comprenne bien comment ça s'est passé. Donne moi tous les détails.
- Il… il a ouvert sa braguette, m'sieur."

J'avais les yeux toujours baissé, mais je vis sa main se déplacer lentement et je releva la tête. Je vis ses doigts faire descendre tout doucement la braguette de son pantalon.
"- C'est comme ça que ça s'est passé, mon garçon ? chuchota-t-il.
- Oui m'sieur, exactement comme vous faites".
À quelques centimètres de mes yeux, je voyais son pantalon ouvert, et devinais le tissus de son slip.

"- Et ensuite ? demanda-til, la voix tendue.
- Il… il a sorti sa chose pour me la montrer.
- Comme cela ?" demanda le proviseur en mettant la main dans son pantalon et en sortant lentement son pénis.

Je n'en revenais pas ! J'avais le sexe du proviseur de mon lycée sous les yeux ! Une bitte courte et trapue, fièrement dressée, au gland décalotté et rougeaud.
"- Je fais ça pour bien comprendre comment ça s'est passé, tu comprends, hein ?" dit-il, le souffle court et les yeux hagards.
"- Bien sûr m'sieur, répondis-je d'un ton innocent, le regard fixé sur son pénis.
- Et ensuite ? souffla-t-il
- Heu… je sais pas si je dois vous le dire, m'sieur… Il… il s'est encore approché plus près de mon visage.
- Vous n'avez pas détourné la tête ?
- Non m'sieur, j'pouvais pas m'empêcher de la regarder, elle était tellement grosse.
- Plus grosse que la mienne ? demanda-til en rapprochant son sexe de mon visage.
- Oh oui m'sieur. La bitte à Lulu elle est énorme ! Mais la vôtre, j'peux pas m'empêcher non plus de la regarder. C'est plus fort que moi, m'sieur"

Le proviseur tenait son sexe d'une main et se masturbait lentement, le souffle court. Son pénis n'était qu'a quelques centimètres à peine de mon visage. Je décidais que c'était le moment de passer à l'étape supérieure.

"- M'sieur, Lulu il était encore plus prêt, et même qu'avec son zizi il m'a touché le visage.
- Mon dieu…" bredouilla tout bas le proviseur. Il bascula très lentement son bassin en avant et son gland effleura mon menton.
"- Comme ça ? souffla-t-il
- Oui, exactement comme ça m'sieur".

Je ne bougeais pas, la tête fixe, et il me caressa doucement le menton avec son gland. Il respirait très fort, et de temps en temps bredouillait tout bas des "Ho mon Dieu…". Tout comme la semaine dernière, il semblait en transe. Au bout d'un moment il demanda :
"- Il te touchait juste le menton, c'est tout ?"
Je fis semblant d'hésiter, puis, les yeux baissé je dis :
"- Heu… non m'sieur, il a aussi touché mes lèvres".

Il remonta alors lentement son sexe et posa doucement son gland sur ma lèvre inférieure.
"- Que s'est-il passé ensuite ? demanda-t-il.
Je ne répondis pas, leva le regard et écarta très lentement mes lèvres. Je resta ainsi immobile, la bouche ouverte, à le regarder dans les yeux. Il comprit le message et, en balbutiant encore un "Mon Dieu…", il enfonça tout doucement son pénis dans ma bouche.
Quand l'engin fut à moitié dans ma bouche, je referma les lèvres sur la tige et ne bougea plus, en prenant garde de ne pas toucher son gland avec ma langue. Le temps sembla suspendu. Voyant que je restais immobile, il sortit son sexe et demanda d'une voix impatiente :
"- C'est tout ? Tu n'en as pas profité pour faire des choses avec ta langue ?
- Heu…
- Il faut tout me montrer, tu as compris ? Je dois comprendre exactement ta faute !"
Et avant que j'ai le temps de répondre quoi que ce soit, il m'attrapa brusquement par la nuque et enfonça à nouveau son sexe dans ma bouche.
J'avais gagné : Il était à ma merci !

Je me mis donc à le sucer méthodiquement. J'avais déjà joué à ces jeux avec mes camarades de chambres, lorsque nous nous retrouvions le soir dans les dortoirs et que notre libido d'adolescents devenait trop pressante. Je savais donc exactement comment agiter ma langue et mes lèvres pour lui donner du plaisir. Il se mit à gémir. J'attrapa son pénis d'une main et l'enfonça jusqu'à la gorge, puis le sortit lentement en le faisant coulisser entre mes lèvres. Je joua un instant avec ma langue sur son gland, puis l'enfourna à nouveau, et ainsi de suite. Le temps passa, je sentais qu'il n'était pas loin de l'orgasme. Mais il dut s'en rendre compte aussi, car il se retira d'un coup et recula d'un pas.

Il resta debout, le sexe dressé, et me demanda d'une voix impatiente :
"- Et c'est tout ? Vous n'avez rien fait d'autre ?"
Ce salopard en voulait plus ! Je le regarda un instant sans rien dire, puis je baissa les yeux et bredouilla :
"- Si… on a fait d'autres trucs. Il… il m'a demandé d'enlever mes vêtements. Vous voulez que je vous montre ?
- Je dois tout savoir !" dit-il d'une voix presque hystérique.

Je fis passer mon tee-shirt par-dessus tête, et après un regard vers lui, enleva prestement mes chaussures. Puis je me leva, défit le bouton de mon short et le baissa d'un coup en même temps que mon slip. Je me retrouva nu comme un vers, debout devant lui. Il baissa les yeux vers mon sexe en érection et demanda en bégayant :
"- Et… et a… après ? Que… qu'est-ce qui c'est passé après ?"
Sans répondre, je lui tourna lentement le dos et m'agenouilla au sol, les jambes écartées. Je me pencha jusqu'à poser ma tête contre le parquet, entre mes bras, et je cambra les reins le plus possible pour lui présenter mes fesses. Il eu une sorte de gémissement désespéré et avança d'un pas.
"- Et Lulu, il a fait quoi quand vous vous êtes mis comme ça ?
- Il s'est mis à genoux derrière moi, m'sieur, répondis-je d'une petite voix.
- Mon Dieu…" souffla le proviseur.

Et le souffle court, il se laissa tomber sur les genoux juste derrière moi. Je sentit une main tremblante m'effleurer à peine les fesses. Il la retira d'un coup, comme s'il s'était brûlé. Il resta un instant sans rien faire, immobile derrière moi, à respirer fort. Voyant que je ne bronchais pas, il s'enhardit et se mit à me caresser doucement. Je tendis le plus possible le derrière pour lui montrer mon assentiment. Bientôt, des doigts timides se mirent à passer doucement dans le sillon fessier.

"- Il… il vous a touché comme ça ? demanda-t-il en posant carrément un doigt à l'entrée de mon anus.
- Oui m'sieur, répondis-je d'une petite voix, sauf que… heu…
- Sauf que quoi ? chuchota-t-il
- … sauf que c'était pas avec son doigt, m'sieur".
Il retira sa main, et je sentis alors son gland effleurer ma raie.
"- Avec ça ?" demanda-t-il d'une voix à peine audible.
Je ne répondis pas et bougea légèrement les fesses pour accen le contact.
"- Mon Dieu… Mon Dieu… Mon Dieu…, ne cessait-il de balbutier, presque en pleurant. Et… Et ensuite ?
- Vous savez bien m'sieur…" répondis-je tout doucement.
Son gland était maintenant posé franchement à l'entrée de mon anus. Je ne sais si c'était lui qui poussait discrètement, ou moi qui avançait les fesses à sa rencontre, mais la pression devenait plus forte. Toutefois, ça ne rentrait toujours pas…
-"Ho m'sieur… s'il vous plaît… faites-le…" fis-je semblant de gémir.
Le front posé au sol, je passa les mains derrière moi, attrapa mes fesses et les écarta pour lui faciliter l'accès.

Mes jeux nocturnes avec mes camarades de chambrées incluaient souvent la sodomie. Je n'aimais pas beaucoup me faire introduire, mais je devais souvent prêter mes fesses si je voulais à mon tour avoir le droit de sodomiser mes compagnons. Mon anus était donc devenu peu à peu souple et habitué à s'ouvrir.

Le proviseur, en gémissant, attrapa son pénis pour mieux le guider et avança le bassin en forçant un peu plus. Mon anus, après un peu de résistance, goba finalement le gland. Avec un petit cri épouvanté, il ne bougea plus, le sexe à moitié enfoncé en moi. Je le sentais trembler comme une feuille, comme sous la violence d'un conflit intérieur. Je devais l'encourager si je voulais que notre jeu aille jusqu'au bout.

"- M'sieur, ça s'est pas passé comme ça, Lulu il s'est enfoncé plus loin !
- Espèce de petit dépravé…" bredouilla-t-il, en s'enfonçant cette fois jusqu'à la garde.
Je sentit son ventre collé à mes fesses, son pénis entièrement en moi. Il sembla alors perdre toute retenue. Il m'empoigna les hanches avec ses mains et se mit à coulisser furieusement d'avant en arrière dans mes fesses, en répétant inlassablement des phrases du genre :
"- Petit dépravé… c'est ça que tu as fait avec Lulu, hein ? Dépravé… Tu n'as pas honte ? … hein ?"
Il me bourra ainsi quelques minutes, puis avec un râle il sortit d'un coup son pénis et lâcha sa semence sur le bas de mon dos.

Il se laissa tomber en arrière sur les fesses et, misérable, se mit à sangloter. Je me releva calmement, m'essuya le bas du dos avec mon slip, puis remis mon short, mon tee-shirt et mes chaussures. Enfin, je le regarda : il était toujours prostré à terre, son sexe pendant, souillé et tout rabougri. Il pleurait à chaude larme en bredouillant :
"- Qu'ai-je fait…"
C'était le moment de lui donner l'estocade. Je jubilais intérieurement.
"- Regardez moi, Monsieur." Dis-je d'une voix posée.
Il leva ses yeux plein de larmes sur moi. Il était pitoyable.
"- Et si j'allais de ce pas à l'infirmerie en disant que je sors de votre bureau, et en demandant qu'on m'examine ? Qu'est-ce qu'il se passerait à votre avis ?". J'avais pris une voix très douce, mais ferme.
Ses yeux se remplir de terreur. Il bredouilla, suppliant :
"- Que… quoi… non… non… nous avions un accord…
- Vous l'avez refusé, vous ne vous souvenez pas ? Je vous ai demandé de réviser ma note de Français et vous…"
Il me coupa la parole en criant presque :
"- Oui, oui, c'est d'accord, tout ce que vous voulez !
- Calmez-vous, lui dis-je d'un ton rassurant. Puisque nous avons enfin réussi à nous mettre d'accord, vous n'avez plus rien à craindre, je ne raconterai rien".

Je me sentais puissant : ce proviseur, que nous avions tous craint pendant l'année, était là à mes pieds, pleurnichant, et prêt à toutes mes volontés. Pris d'une joie mauvaise, j'étais tellement grisé de ma victoire que je sentis à nouveau mon sexe se dresser. Je m'approcha de lui en prenant une voix douce :

"- C'est entendu, tout ceci restera à jamais entre nous. Et je sais comment nous pouvons sceller cet accord".
Sous ses yeux incrédules, je sorti mon sexe tendu et m'approcha de lui. Il était resté assis, ce qui fait que son visage se retrouva à hauteur de mon sexe. Je posa mon gland sur ses lèvres en disant doucement :
"- Allons… à votre tour maintenant."
Il me regarda dans les yeux, avec un regard de vaincu, et laissa ma bitte se glisser entre ses lèvres. Je lui pris la nuque d'une main, comme il avait fait avec moi quelques minutes plus tôt, et me mis à onduler du bassin. Je décida de prendre mon temps avant de jouir, les minutes s'écoulèrent. Sa sucions, au début docile et peu enthousiaste, devint peu à peu plus énergique. Du coin de l'oeil, je vis que son sexe, toujours sortie de son pantalon, avait repris de la vigueur et pointait à nouveau vers le plafond. Je lui lâcha d'un coup mon sperme dans la bouche et il continua à me sucer jusqu'à ce que mon pénis commence à ramollir.

Je me recula doucement, rangea mon engin, et me dirigea vers la porte. Avant de sortir, je l'entendis dans mon dos me souffler presque suppliant :
"- Je réviserai votre note, mais je ne veux plus entendre parler de vous jusqu'à la fin de l'année, et il ne s'est jamais, jamais, jamais rien passé. Vous promettez ?
- Vous pouvez compter sur moi, Monsieur", répondis-je sans me retourner. Je referma doucement la porte derrière moi en partant."

(À SUIVRE)

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