Soumis À Une Inconnue

C'était une belle journée d'été, pourtant, comme d'habitude, j'étais sur mon ordinateur. Aujourd'hui, comme beaucoup d'autre jours, je cherchais désespérément à rencontrer une jeune femme sur le web, mais je tombais surtout sur des sites payants. Je me décidai alors à payer tellement j'étais dépité de trouver l'amour. Je m'inscris alors sur un site connu, sur lequel je postai une annonce comme quoi j'étais ouvert à n'importe quelle rencontre avec une femme de ma région, laissant mon numéro de téléphone portable.
Les jours passèrent et je ne recevais aucun appel. Je commençai à perdre courage. Les mois passèrent et toujours rien. Mais en rentrant chez moi un soir, je m'aperçus que quelqu'un avait essayé de me joindre et m'avait laissé un message. Une voix de femme, masquée par un grésillement permanent me donnait ses coordonnées et me demandait de me présenter ce soir à 23 heure pile. Je me demandais ce que pouvait être ce rendez vous quand je me rappelai de cette annonce que j'avais laissé sur le site internet. J'étais très excité par cette bonne nouvelle. Je n'avais pas touché à une femme depuis de longs mois et j'étais complétement dépité. Je me décidai alors de partir. Il ne me restais plus qu'une demi heure pour arriver à l'heure, et moi qui ai toujours été ponctuel me pressai donc à descendre l'escalier de mon immeuble.
Me voilà dans la rue, l'air frai du soir balayait mon visage. Mais je ne m'attardai pas plus dans cette rue et je me mis à marcher. J'avais plusieurs rues à descendre, et je devais me dépêcher si je ne voulais pas arriver en retard. Plus je m'approchai plus mon cœur battait vite. Vingt minutes plus tard j'étais dans la bonne rue. Je repérai l'immeuble dans lequel j'avais rendez vous rapidement. Je m'approchai et je vis qu'il fallait un code pour entrer. Et je commençais à m'inquiéter. L'heure tournait et j'hésitai à appuyer sur un bouton quand mon téléphone portable sonna. Je jetai un coup d'œil rapide au numéro, c'était en appel masqué et c'était toujours cette voix flou et ce même grésillement.


-Tu es en bas de l'immeuble ? Demanda la voix.
-Oui pouvez vous m'ouvrir ? Répondis-je.
-Bien, je te vois depuis la fenêtre, tu va te déshabiller, et poser tes affaires derrière les arbustes, je ne t'ouvrirai pas temps que ça ne sera pas fait.
La femme raccrocha. Je regardai l'immeuble, toutes les lumières étaient éteinte à part une, et je pouvais distinguer une ombre. Je me dis alors que c'était de la folie, peut être que des gens m'apercevrai, mais d'un autre côté, ce petit jeu m'excitai, je me dévêtis alors et je posa alors mes vêtements derrière les arbustes comme la femme me l'avais demandé. Un bruit ce fit alors entendre et la porte s'ouvrit. Je pénétrai alors dans l'immeuble. Tout était calme mais je gardais mes mains autour de mon sexe au cas ou quelqu'un venais à arriver. J'avais pris le soin de regarder ou était la lumière et j'avais compté, deux étages. Je montai alors au second. Je réalisai alors que je ne savais pas dans quel appartement se trouvais la femme. Trois possibilités s'offraient à moi. Je décidai alors de regarder sous les portes pour voir si il y avait de la lumière. Mais je n'en eu pas le temps, j'entendis la porte du bas claquer, et je m'affolai, si je ne frappai pas à la bonne porte, je risquai de me faire voir nu par les voisin, et c'était la même chose si je ne me dépêchais pas je me retournai et je vis qu'une des porte était désormais ouverte, je m'engouffrai à l'intérieur, l'appartement était peu éclairé et je marchais à travers une première pièce, la cuisine, elle était vide, je vis alors une porte ouverte, cella semblais être la chambre, je rentrai dedans quand j'entendis la porte se fermer derrière moi et le verrou tourner. Je n'eus pas le temps de me retourner quelqu'un me poussa violemment et je tombai sur le ventre sur le lit. Je sentit de l'acier touchai ma main puis ma deuxième, on était en train de me menotter ! Je me débattu alors mais trop tard, j'étais pris au piège.
-Et bien mon cochon, il va falloir te débattre moins que ça si tu veux pouvoir me toucher.
Dit une voix bien plus féminisée que au téléphone mais toujours aussi sec et brutale.
-Et bien tu ne répond pas ? Continua la femme.
-Oui d'accord, mais...
-Tais toi ! Et tu m'appellera Maîtresse désormais ! Me réprimanda la femme.
-Oui maîtresse.
Je ne sais pas pourquoi c'est deux mots venais de sortir de ma bouche, je venais de me faire enfermer par une femme qui ne semblait pas me vouloir du bien nu comme un ver.
Quelque chose claqua sur mon dos et je m'aperçus que c'était un fouet.
-Et bien, ne reste pas vautré sur mon lit comme ça, à genoux retourne toi ! Trancha la femme.
Je me retourna alors et je me mis à genoux. Je découvrit une belle femme d'une trentaine d'année au cheveux brun assise sur un fauteuil en cuir. Elle portait une robe aussi noire que ses cheveux ainsi que des longues bottes à talon. Je pouvais apercevoir des bas noirs mais la femme me rappela vite à l'ordre avec son fouet qui claqua sur mon épaule.
-Tu va m'ôter mes bottes. Me demanda t'elle d'un ton froid.
-Mais je ne peux pas j'ai les mains attachées... Lui répondis-je.
-Il n'y a pas de mais, et appelle moi Maîtresse ! Pour la peine tu va lécher mes bottes jusqu'à se qu'elle soit propres ! M'ordonna t'elle.
J'étais dans une position très difficile, j'étais menotté, et obligé d'effec chaque ordre d'une femme armée d'un fouet. Je m'exécuta donc, je lécha la pointe de la botte puis je remontait vers la cheville. Je vis alors que la femme avait une main qui passait sous sa jupe mais elle me fouetta une fois de plus.
-Le talon ! Cria t'elle.
Elle souleva un peu le pied et mit en avant son talon aiguille très long, je le pris alors dans ma bouche et j'eus l'impression qu'elle le poussait vers le fond de ma gorge. Je manquai de m' quand elle retira sa botte de ma bouche.
-C'est bien mon chien, tu as gagné le droit de sucer mes pieds. M'annonça t'elle.
Elle retira alors ses bottes et laissa apparaître des pieds somptueux recouvert par des bas magnifique, je n'eus pas le temps d'admirer plus longtemps la splendeur de ses pieds qu'elle me mit son gros orteils dans la bouche, je le léchai avec gourmandise, les bas étaient neuf et je pouvait ressentir l'odeur corporelle de la femme qui était ma Maîtresse.
Je goutais à chaqu'un de ses orteils puis à son talon, je bandai déjà, cette soumission de ma part m'excitais, moi qui n'avait eu que des relations banales. Elle retira alors son pied de ma bouche.
-C'est bien, maintenant allonge toi sur le dos. M'ordonna t'elle.
Je basculai alors en arrière et tombai sur le dos, ma bite était déjà levé de toute sa hauteur. La femme descendit à genoux et vint se poser près de moi, elle empoigna ma bite avec force et me branla d'une main d'experte, des va et viens continu sans relâche, j'allais bientôt éjaculer mais elle s'arrêta et alla se coucher sur le lit, elle quitta sa robe et l'envoya plus loin, elle ne portait pas de culotte et je voyais son beau cul ferme.
-Viens, lèche moi le cul, et tu pourra peut être en avoir plus ! M'appela t'elle.
Je peinais à me remettre à genoux mais j'y parvint finalement et je m'avança jusqu'au lit, elle écartait les jambes et je voyais sa chatte parfaite à part une petite colonne de poils au dessus de son clitoris. Je voulais faire jouir cette femme, mais je savais que si je ne respectais pas ses consigne, elle me fouetterai, je lécha alors rapidement son anus une première fois, puis une deuxième. Mais je ne pu pas m'empêcher de mettre mon nez sur sa chatte pour pouvoir enfoncer ma langue plus profondément. Elle se leva alors et me fouetta le dos.
-Est que je t'ai demandé de toucher à ma chatte ? Non ! Couche toi sur ce lit ! Me hurla t'elle.
Je exécuta, et je me coucha sur le lit, frissonnant de toute part de mon corps. Elle se pencha sur sa table de nuit et sortit un énorme godemiché. Je compris alors et je voulu me débattre mais j'étais menotté. Elle mit le gode dans sa bouche et le mouilla abondamment de sa salive. Elle me l'enfonça dans le cul avec une violence extrême, je hurlai alors.
-Tais toi ! Je ne veux pas d'un chien bruyant ! Me reprocha t'elle.
Elle fit des va et vient avec le gode dans mon cul. Et je bandai ! Elle me l'enfonça une fois de plus mais cette fois extrêmement puissamment.
Ma bite avais des sursauts et je ne bougeais plus, le gode était profondément enfoncé dans mon anus, je fermais les yeux de plaisir. Mais mon plaisir fus de courte durée, elle venait de poser qu'elle que chose sur mon visage, je ne pouvais plus respirer !! Mais je me rendis compte que c'était elle, elle venait de poser sa chatte sur mon visage, je la léchais et je l'entendis avoir un orgasme. Je sentis sa main sur ma bite à nouveau, elle me branlait, j'avais encore le gode dans le cul, je sentais maintenant ses lèvres sur ma bite, elle me léchait goulument, je mettais mon nez dans sa chatte, je léchais maintenant son clitoris, je le mordillais, et elle criait de plus belle, je continuai et je sentais ses dents sur ma bite, elle aimait ça, je sentais sa mouille couler sur mon visage. Elle arrêta de me lécher et se remit à enfoncer le gode dans mon cul, j'allais éjaculer, et elle m'y aida en laissant échapper des cris de plaisir, ça y est j'éjaculai ! C'était la plus grosse éjaculation de ma vie, je sentait une grande quantité de foutre sortir de moi ! La femme se retira de mon visage et retira le gode de mon cul. J'ouvris les yeux et je vis qu'elle tenait un verre en plastique dans sa main, elle avait recueillit mon sperme dedans ! Et elle me le mit devant la bouche, je n'avait pas d'autre choix que de le boire, j'ouvris la bouche et le sperme coula dedans, il y en avait beaucoup, comme ma Maîtresse m'observais je fus obligé de tout avaler ! Elle me souri en enlevant les menottes et me jeta hors de la chambre. Je quitta l'appartement et descendit l'étage de l'immeuble en vérifiant que personne n'était la. Je sortis de l'immeuble, récupérai mes vêtements et rentrai chez moi. Voilà comment je fus soumis à une inconnue que je ne revis plus jamais.

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