Comment Expliquer

Comment expliquer..
Drôle de week-end...
De la baise étrange, des orgasmes en pagaille...une sodomie énervée, comme je les aime...
Ça aurait du suffire...ce n'est vraiment pas son truc... après m'avoir fait plier et couiner, mon mari s'est retiré pour finir a la main...

Du coup après la pipe du réveil ce matin, je me suis retrouvée seule avec ma main, trempée, et perdue dans mes pensées...

Avons nous été trop loin dans nos échanges toi et moi ?
Je t'avais encore en tête...
L'imagination débordante...

Quelle excuse me trouver, si j'ai baisé hier et que je ne suis plus en manque?
Et faut-il vraiment y réfléchir ?


Chacun de tes messages a résonné en moi, tes envies de sale, pour reprendre tes mots, m'ont animée un long moment...

Est ce sain d'imaginer ta queue bien en moi, pendant que je me touche?

J'étais dans mon lit, allongée sur le ventre, en train de me toucher, le bras calé, coincé...je n'aime pas jouir trop fort quand je suis seule, je sais pas si tu peux imaginer qu'on puisse se bloquer le bras pour s'empêcher de "trop" ou de recommencer...

J'avais envie que tu sois là, que tu m atts le pied, que tu me fasses glisser au bord du lit, pour pouvoir juste m'enculer, sans prévenir, sans glisser un doigt avant, pendant que je continue de me toucher.

Je suis trempée, j'aime t'imaginer en moi, bien au fond, que tu me fasses fermer ma gueule. Je te dirais que c'est bon, parce qu'il faut toujours que je l'ouvre...et tu m'attrais pour plaquer mon visage au sol, que je cambre le dos, et que je lève bien mon cul, pour qu'en plus de ta queue tu y glisses un doigt, parce que c'était pourtant clair que je devais la fermer.

J'ai du mal a savoir si limer mon cul avec ton doigt et ta queue en même temps est agréable pour toi, je ressens plus ton envie de me salir, de me réduire et j'aime ce sentiment que tu me rendes à ma nature, animale.



J'encaisse, difficilement, je serre les dents et tu retires ton doigt, ta queue..tu la passes devant ma chatte qui dégouline, avant de me la fourrer en bouche. Je te suce avidement, et ma salive coule le long de ma bouche. Je veux m'appliquer à la prendre entière, j'ai envie de te rendre fou. Tu m'atts les cheveux, comme pour me donner le rythme mais tu n'en as pas tellement besoin.

Je t'ai bien au fond de la gorge quand je te sens décharger, j'adore ce premier flot dont je n'aurais pas le goût tant tu es avancé dans ma gorge. Mais je retire doucement ta queue pour avoir le reste sur la langue, que tu vois ton foutre dans ma bouche, que je vais bien avaler, lentement, pour que chaque goutte s'imprègne et que je puisse en garder le souvenir.

Je me dis..qu'on est allés vite en besogne, je ne sais pas si je profite ou si je me questionne, si je veux me rhabiller ou ramper a tes pieds, je suis un peu dans la lune, d'avoir goûté ton jus mais tu me rappelles à l'ordre.

Tu m'intimes l'ordre de me toucher, là devant toi, en attendant de pouvoir me prendre à nouveau. J'ai une grande gueule mais une confiance en moi bien moins rodée, montée sur des cailloux que le moindre regard peut faire flancher.

C'est là. C'est dans ces moments où je devrais me libérer que je me sens un peu maladroite, attendue, je me touche en rougissant presque alors que tu m'as ouvert le cul il y a peu. Tu me renvoies ces mots que je t'ai un peu soufflés, pour réveiller la chienne en moi.

Je ne suis toujours pas sûre du spectacle que je t'offre, mais je mouille et je ferme les yeux en me touchant..tu me fais les rouvrir, pour que je te vois me regarder. Que je me sente aussi chienne que possible. Je ne tiens pas longtemps, avant d'être si chaude que tu dois m'arrêter. Tu m'empêches de jouir, me fait venir le visage sur ta queue, que je lèche timidement. Tu me doigtes. A peine. Je suis là, à ta merci, au bord de l'explosion.

Je te vois, amusé, et je ne sais pas où me foutre.
J'essaie de me libérer de ça, ce sentiment de honte. J'ai envie de reprendre le dessus, je n'ai plus pour habitude de m'écraser...j'entreprends de te grimper, tu me laisses faire, certain que ça ne changera rien à l'emprise que tu as sur mes sens.

Je me fais glisser sur ta queue, persuadée que si tu es allongé, et que c'est moi qui mène la danse, cela changera tout. Volontairement, je me suis tournée, c'est mon dos que tu vois, mon cul et mes cuisses que tu observes s'activer...je sais qu'en un regard tu me plieras à nouveau et je bouge comme si j'allais gagner la partie...

Tu ne tardes pas à m'attr par les hanches. J'ai beau être au dessus, tu n'as pas de mal à mener la danse. Tu te déchaînes et je te sens bien au fond, je ne sens plus mes jambes me porter, tu me baises, sans ménagement, sans aucune différence, et tu finis par me repousser, la queue encore en moi, je suis rapidement à 4 pattes. Tu me rappelles qu'il m'en faut plus, qu'il t'en faut plus.

Je me sens à nouveau chienne et j'acquiesce. S'il le faut je n'en sais rien, mais je le veux. Que tu ailles plus loin que ce que je me sens capable de faire, que je te dise que je ne vais pas y arriver et que tu me rappelles que ce n'est pas ton problème.

Ta queue encore au fond ma chatte, tu me glisses deux doigts dans le cul, et tu m'en fais le détail à l'oreille. Ca me rend folle, j'ai du mal à me contenir, j'ai tellement envie de t'en demander plus alors que j'encaisse à peine...
Jte dis trop rien, je suis paumée, en train de jouir alors que tu es loin d'en avoir fini avec moi...

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