Comment Tout À Commencer ?

Rien ne me prédestinait à vivre une sexualité débridée. J'avais le début de la quarantaine avec une vie des plus classique et qui m'apportait un bon épanouïssement. Marié avec une magnifique femme depuis une dizaine d'année, j'avais un travail passionnant qui me permettait d'élever nos s confortablement.

Comme tous les hommes, j'adorai le sexe mais la bonne entente avec ma femme à ce niveau-là ne m'a jamais donné envie d'aller voir ailleurs. Physiquement, je dirai que je suis "normal" : ni Mister Univers, ni Mister Cageot !

Et voilà, qu'un samedi du mois de juin, nous étions invités à un mariage d'une amie d'enfance de mon épouse à Toulouse. Les mariés avaient bien fait les choses : la réception avait lieu dans un hôtel et tous les convives pouvaient dormir sur place. Les fêtes de mariage sont parfois un peu trop arrosées et malheureusement peuvent provoquer des drames. Cela était d'autant plus interessant que beaucoup de personnnes venaient de loin ! Nous nous sommes sur Marseille.Mise à part la mariée, nous ne connaissions personne mais nous étions heureux d'être là pour ce magnifique mariage. Nous avons vite sympatisés avec nos voisins de table. Pierre et Céline devaient eux aussi avoir la quarantaine.
Rien de plus classique, mais la fin de soirée changera ma vie à tout jamais !

La soirée avançant, ma femme décida de monter coucher les s. Elle me dit qu'elle ne redescendra pas car il était déjà très tard et qu'elle était épuisée avec la fatigue du trajet. Moi-même n'étant plus en forme, je décida de monter avec elle mais elle me dit de rester un peu d'autant plus que nous avons rarement l'occasion de faire la fête. Sur le ton de l'humour, Céline lança à ma femme : "Ne t'inquiète pas, on va surveiller ton mari" ! Après tout, il n'y avait pas urgence à me coucher de suite.

La soirée se poursuivit normalement jusqu'au moment ou Céline m'invita à danser. Pierre n'aimait pas danser. Céline précisa qu'il n'était pas bon .

.. et pas qu'en danse ! Etant un amateur, je n'ai eu aucune difficulté à la faire danser un bon bout de temps. Nos corps se sont ressérés lorsqu'est arrivé le temps des slows. Céline devait ressentir mon erection qui se faisait de plus en plus dure. J'en profitai pour lui susurer : "Alors, ton mari ne sait pas s'occuper de toi". Elle soupira. Leurs relations étaient devenues routinières et elle aurait aimé qu'il y ait plus de piments ! Et quand je lui demanda comme ça se passait avec ses ex, elle m'avoua que son mari était son seul partenaire sexuel qu'elle ait eu. Je ne m'attendais pas à cette réponse.
Joignant le geste à la parole, je lui dis que même si un homme lui mettait les mains aux fesses, son mari ne réagira pas. En effet, je me trémoussais en ballandant mes mains sur son cul et Pierre se contentait de regarder notre jeu. Je lui demandais si elle aimerait être baiser virilement. Elle se contenta de poser sa tête sur mon épaule. Je considéra que ce geste était une réponse positive. Je fis signe à Pierre de nous rejoindre sur la piste de danse. "Céline veut beaucoup plus que des caresses sur les fesses. Va nous trouver des préservatifs !" Le pauvre était KO debout, complètement pétrifié. "Dépêche-toi, tu ne voudrais pas faire prendre des risques à ta chérie". Sur ce fait, il nous quitta et revient quelques minutes plus tard avec des capotes. Je n'en avait plus utilisé depuis la fac. M'adressant à Céline, je lui fit remarquer que son mari était heureux qu'elle puisse prendre du plaisir. "Je la cubulte puis je te la ramène. Attend nous ici, cela sera rapide pour cette fois". J'étais moi-même surpris par la vulgarité qui sortait de ma bouche. En effet, je suis de nature très romantique avec ma femme.

Direction leur chambre. En vrai dominant, je lui fit l'amour de manière virile et bestiale... et visiblement, elle aimait cela. C'est clair que cela devait la changer des rapports classiques qu'elle avait avec son mari. Elle me remercia de lui avoir fait découvrir des plaisirs jusque là inconnus.
Je lui interdisa de prendre une douche. Je voulais que son mari puisse sentir l'odeur de nos ébats.

En redescendant, elle avait peur de la réaction de Pierre. Comment allait-il l'accueillir ? Arrivés dans la salle de réception, il nous rejoignit immédiatement pour savoir comme Céline allait. "Elle va très bien. Elle a pris beaucoup de plaisir mais elle a la foufounette un peu rouge. Prends la dans tes bras car elle a désormais besoin de tendresse". C'est ce qu'il fit sur le champs. J'offris les capotes usagées à Pierre en lui disant que je gardais son string en souvenir. Je les laissais se retrouver et je me retirais pour aller me coucher.

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