Marie - Episode 12 - Au Restaurant Avec Son Mari

RESTO AVEC TON MARI

Marie - Herve monte dans sa voiture, excité par la proposition que vous lui avez faite de me tromper en baisant une de vos amies, il ne se doute de rien et de me voir à vos côtés, il se surprend même à imaginer que vous devez mater mes fesses et mes seins ... s'il savait.
Marie : « Oui monsieur le directeur je… heu… j'étais morte de honte, mais je dois avouer que j'étais vraiment très excitée par cette situation »

Cello - Je t’ouvre la porte de la voiture et t'ordonne :
« Retrousse ta jupe complètement »
Immédiatement, tu remontes ta jupe jusqu’à la taille, dévoilant non seulement tes cuisses, mais aussi ta chatte luisante.

Marie : « S’il vous plait, je pourrai aller aux toilettes m'essuyer les cuisses avec tout ce que vous m'avez mis et Kevin aussi, ça va me couler jusque dans mes chaussures. Je… Heu… Mais je risque de tacher votre siège, j'ai l'entre cuisse tout poisseux »

Cello : « Essuies tes cuisses avec tes doigts et lèche les »

Marie : « Je… Heu… Bien monsieur le directeur ... ».
J'obéis dans votre voiture et me racle les cuisses pour lécher mes doigts, je sens vraiment fort.

Cello - Te regardant déguster nos spermes mélanger couler sur tes cuisses, je te dis :
« J’accepte que tu ailles faire un brin de toilettes au resto, mais tu devras t'arranger pour t'asseoir près de moi et je veux que tu retrousses ta jupe
et que tu te caresses durant le repas »

Marie - Je le fais honteusement en pensant à mon mari, j'ai des scrupules car je l'aime.
Marie : « Vous ne lui avez rien dit hein ? Je… Heu… Mais il risque de s'en apercevoir »

Cello : « Non, il sera trop occupé à discuter avec moi, mais tu ne dois pas te faire jouir, juste t'exciter ».
Puis j'ajoute :
« Tu sais salope que tu m'as donné la trique à te faire baiser par Kevin, si
tu t'occupais de moi pendant que je conduis ».



Marie : « Je… Heu… Bien monsieur le directeur, merci il m'a bien faite jouir aussi, il est jeune, mais il a une sacrée queue et en plus il est endurant ... »

Marie - et je me penche sur vous, j'ouvre votre pantalon et les seins écrasés sur vos
cuisses, je vous prends en bouche.

Cello : « Oh ! Oui Marie, suce moi bien. Tu sais que tu as une langue chaude et habile »

Marie - Et vous me dites :
« Si ton mari te voyais, il saurait que son épouse qu'il pense prude et coincée est
une salope assoiffée de foutre prête à tout pour avoir un salaire à la fin du mois.
Une putain soumise comme il rêve peut être d'en baiser dans ses fantasmes les
plus profonds »

Cello : « Tu as intérêt à tout avaler si tu ne veux pas être tachée. Mais à ta place, j'ouvrirais ma veste et mon corsage, ce serait plus prudent »

Marie : « Houmommmmmmm ! »
Marie - Je me redresse,
« Je… Comme vous voudrez monsieur le directeur»
J’ouvre ma veste dévoilant mon chemisier sous lequel on devine mes gros seins qui ne sont pas maintenus, puis je déboutonne mon chemisier honteuse, mais excitée de le faire dans votre voiture (heureusement un 4X4) et je me penche à nouveau sur votre bite bien raide

Cello : « Oh ! Oui ! Salope avale moi entièrement » dis je en appuyant ta tête contre mon sexe.

Marie - Je sens votre gland entrer dans ma gorge, je respire par le nez et en bougeant la tête je sais que je masse votre bout de bite de tout le tour de mon gosier

Cello : « J'avais raison de dire à ton mari que tu étais bonne en langue ».

Marie - A ce moment , je ne pense à rien juste au plaisir que je vous donne et que je ressens à me retrouver dans cette situation, et je ne prends pas garde au fait que vous allez me déverser vos 10 à 15cl habituels de sperme chaud et gluant dans le gosier, que ça risque même de remplir mes sinus et de ressortir par le nez.


Cello - Le plaisir que tu me procures est intense et énorme, imaginant qu'Hervé puisse nous rattr en voiture et s'apercevoir que tu es penchée sur moi. Je sens que je vais jouir, et t'avertit pour ne pas te surprendre et que tu puisses avaler le maximum de ma semence

Marie - Je sens votre main sur ma tête, je ne pourrai pas la relever, il me faudra bien tout avaler, j'ai encore votre gland dans la gorge, je respire par le nez.

Cello - Je te maintient fort la tête contre moi, alors que mon sexe explose dans ton gosier

Marie - Oui j'avale de travers mon gosier se resserre malgré moi et votre sperme se fraie un chemin jusque dans mon nez, qui se rempli de foutre, ça me coule par les narines, j'ai les larmes aux yeux la mâchoire écartelée et lorsque je me redresse ça me coule sur les seins ...
Vous rigolez :
Cello : « Heureusement que tu as ouvert ton chemisier mon sac à foutre. Allez étale toi tout ça et referme ton chemisier »

Cello - Je te regarde reprendre ta respiration et tes esprits

Cello : « Merci ma chérie, tu sais que je ne regrettes pas de t'avoir embauchée et toi, tu le regrettes ? »

Marie - J'en ai les larmes aux yeux et malgré tout, je masse le sperme qui s'écoule de mon nez sur mes seins, penchée en avant pour que les autres voitures ne me voient pas.
« Je… J'ai honte de ce que vous faites de moi. Je… Heu… Mais je ne regrette pas monsieur »

Cello - Je te dis :
« Dans le vide poche, il y a des mouchoirs, essuies toi les yeux et mouche toi »

Marie : « Je… Heu… Merci monsieur le directeur. Ho… Mon dieu vous m'avez mis une sacrée dose, il faut que je me réajuste, Hervé n'est pas bête il pourrait se douter de quelque chose. En tout cas, merci monsieur le directeur j'ai adoré mais j'espère que vous me soulagez d'une envie de jouir après le repas ... »

Cello : « Oui réajuste toi ma salope et en arrivant au resto, tu iras faire un brin de toilette »

Marie - On arrive au restaurant, je file aux toilettes.
Vous avez juste le temps de discuter avec le patron pour lui dire quelque chose que mon mari arrive

Cello - Je préviens le patron que ton mari sera avec nous, et donc qu'il ne dois pas faire d'allusion sur toi et te considérer comme une collaboratrice ordinaire, puis je continue à discuter avec lui, en attendant ton retour et l'arrivée d'Hervé

Marie - Oui et vous ajoutez que je suis aux toilettes et que s'il veut se soulager il peut utiliser à sa guise ma chatte ou ma bouche.

Cello - Le patron me laisse immédiatement au comptoir et se dirige prestement vers les wc. Je regrette presque aussitôt ma proposition, craignant qu'Hervé n'arrive avant toi.

Marie - Quand mon mari arrive, vous lui dites que je suis aux toilettes et vous ajoutez :
« Alors ma proposition tient toujours pour baiser la salope dont je vous ai parlé, vous verrez elle accepte tout, elle adore sucer, se faire malaxer ses gros pis de vache, avouez que si vous ne le faites pas déjà ça doit vous faire envie de pétrir et malmener de gros nichons comme ceux de votre femme, enfin vous verrez, je crois qu'ils sont même deux fois plus gros pour un gabarit similaire ...Au fait, vous le faites peut être déjà à votre épouse, on dit que l'habit ne fait pas le moine ... Elle à l'air coincée, mais si ça se trouve elle est très chaude dans le privé, non ? »

Cello : « Et puis ne me dites pas que lorsque vous êtes parti toute la semaine, vous n'invitez pas une coquine parfois à l’hôtel »

Herve est très géné, il bande comme un cerf, mais n'a pas l'habitude de parler de moi de façon intime, mais il se lance :
Hervé : « Je dois avouer que votre proposition me fait très envie, ce que je ne fais pas à Marie, car je n'ose le lui proposer, je pourrais le faire à votre amie ... »
« Non ! Je vous assure je suis fidèle…Je ne l'ai jamais trompée, je n'ai pas une tempérament très fort même si votre offre m'allèche »

Cello : « Bien, je vois que nous sommes d'accord, alors je compte sur votre présence.
»
Cello - A ce moment là, tu reviens des toilettes comme si rien ne s'étais passé depuis le matin.

Marie - Herve vous donne sa carte de visite avec son numéro de portable, avant mon retour se tortillant sur sa chaise tellement il bande. Moi, je reviens des toilettes ou le patron ma prise devant le miroir en levrette pendant qu'il me disait qu'il allait prendre plaisir à servir le repas de mon cocu de mari.

Cello - Alors que tu te joins à nous, installer au comptoir, je dis en te voyant revenir :
« Allez vous asseoir, je vais attendre le patron pour lui commander l'apéritif ».
Je procède volontairement ainsi pour que tu t'arranges pour te mettre près de moi et en face de ton cocu de mari. Je me demande ce que tu vas prétexter

Marie - Oui après avoir discuté avec Hervé au comptoir vide, vous discutez avec le patron. « Alors elle t'a sucé ou tu l'as baisée ?, en tout cas motus à son mari... »

Le patron : « Je l'ai baisé » répond il avant d'ajouter
« Tu peux compter sur ma discrétion »

Marie - Pendant ce temps, je m'assieds en face de mon mari :
« Excuse moi je suis allée me refaire une beauté pour te faire patienter jusqu'à ce soir ...Tu as vu, il est sympa mon patron de nous inviter ici, tu ne trouves pas ? »

Herve : « Ho oui j'ai discuté avec M. Cello et il est vraiment sympa, il faudrait l'inviter à la maison un soir, quand ton stage sera fini ... »
Marie : « Je… Heu… Tu es sur, tu sais il ne faut pas mélanger la vie privée et le boulot, tu ne penses pas ? »
Hervé : « On en rediscutera en tout cas, j'ai hâte d'être à ce soir, je bande rien qu'à te regarder en ce moment »
Marie : « Cochon ! Chut ! Mon patron arrive »
(J'ai un peu honte de mentir comme cela à mon mari, mais je n'ai pas le choix)

Cello : « Marie, vous avez préféré vous mettre face à Hervé, plutôt que prés de lui »

Marie : « Je… Oui… Monsieur le directeur, je sais qu'il a envie de discuter avec vous comme cela il peut vous regarder facilement et moi aussi, je ne vais pas le voir pendant près d'un mois, j'en profite. »

Marie - Hervé bande encore en pensant à ce que vous lui avez dit en lui demandant s'il avait envie de malmener de gros seins comme ceux de Marie, preuve qu'il avait du les regarder plus d'une fois ... Et peut être même imaginer qu'il les touchait ... Bref le fait que mon patron puisse penser à moi en termes non professionnels l'excite sans qu'il comprenne pourquoi ... S'il savait !

Cello - Je demande à Hervé :
« Et votre voyage en Pologne, c'est pour ouvrir une agence là-bas ? »
Profitant qu'il me regarde, je te fais signe de te retrousser, car apparemment, tu sembles vouloir être sage contrairement à ce que je t ai demandé.

Hervé : « Je ne sais pas trop c'est mon patron qui sait ce qu'il a en tête moi je fais ce qu'on me demande, mais pour l'instant c'est pour trouver des clients, on a des pistes intéressantes, et peut être cela pourra déboucher sur une ouverture d'agence on en sait rien »

Cello : « Si je comprends bien dis je, vous risquez par la suite d'être muter là-bas »

Marie - Je me tortille lentement pour remonter ma jupe, jusqu'en haut des cuisses, je sens le tissu de la banquette sous mes fesses et j'écarte un peu les cuisses pour pouvoir y glisser ma main.

Hervé : « Je ne sais pas, je n'y ai pas pensé encore mais à la fois ce serait une belle promotion, mais en même temps il faudrait déménager mais ne vous inquiétez pas Marie resterait ici »

Cello - Ton mari pris par la discussion ne remarque pas ton manège pour te retrousser

Cello : « Une belle promotion, mais les salaires la bas sont 3 à 4 fois moins intéressant qu’ici »

Marie - il dit ça sans penser à l'avance, on en a jamais parlé et je suis surprise qu'il envisage de déménager sans moi, mais d'un autre coté si il dit ça c'est pour vous rassurer sur le fait que je ne vais partir dès que je serai formée à vos besoins.

Hervé : « Oui c'est vrai mais cela me permettrait de revenir un ou deux après avec une expérience de dirigeant pour rebondir sur un poste de cadre supérieur »

Cello : « Mais, avec votre salaire vous ne pourriez pas payer votre loyer la bas et les traites de votre maison ici sans le salaire de Marie. oui c'est pour cela qu il me semble judicieux comme vous l'avez dit de laisser Marie ici, avec son salaire, elle pourra aisément payer les traites de la maison et puis là-bas, elle serait seule dans un pays inconnu de ses coutumes de la langue et totalement isolée »

Hervé : « Voila vous avez bien compris monsieur, on va même être obligé de se serrer la ceinture même avec son salaire, l'idéal aurait été de louer notre maison pendant ce temps, mais ce n'est pas possible. Ca permettrait de mettre de l'argent de cote »

Cello : « Oui vous avez raison et puis en travaillant ça rends le temps moins long, n'est ce pas chérie ? Mais dis moi ça va ? Je te trouve un peu rouge, tu n'a pas trop chaud ? »

Marie : « He… Si…Si je vais boire un peu d’eau… »

Cello - je te regarde et dis :
« Effectivement vous n'avez pas l’air d'aller bien, c'est le fait qu’Herve dit
qu'il envisage de partir en Pologne sans vous »

Marie - Il n'y a que vous qui voyez mes doigts humides, quand je prends mon verre.

Marie : « Je… Heu… Oui c'est cela, et puis la maison toute seule à entretenir, les trajets, j'ai peur de ne pas m'en sortir »

Herve : « Mais chérie j'ai réfléchi, je ne vois pas d'autre solution et normalement dans 2 ans, je pourrai avoir un poste payé le double d'aujourd'hui et on s'achètera une maison de vacance en bord de mer »

Cello : « Mais vous savez Marie, que vous pourrez compter sur moi et puis les trajets c'est Hervé qui les fera. Vous savez Hervé à raison, et puis il s'arrangera pour venir une fois au moins tout les mois ou tous les 2 mois »

Marie : « Oui mais la maison est loin du bureau »

Herve : « Oui c'est vrai et tu te rends compte ton patron te propose de t'aider, tout le monde n'a pas ta chance » (il est un peu naïf de ne pas croire que vous allez en profiter)

Cello : « Je vous ai proposer le studio au dessus du bureau, si vous le souhaiter et cela gratuitement et en ce moment vous faite le trajet seule même si Herve est en France »

Marie : « Ha oui ! Je n'y pensais plus ! Je pourrais rester la semaine et ne rentrer que le week-end, ce serait moins fatiguant » (et en réel, je dormirais chez vous et vous me feriez passer pour votre femme ou votre bonniche)

Cello : « Bien sur, je vous l'ai proposé lors de votre entretien pour vous faire faire des économies, lorsque vous m’avez dit que vous aviez des ennuis financiers »

Cello - Il est évident que tu ne logeras pas dans le studio, mais dans mon appartement, qui est en face du studio. J'envisage aussi de passer les week-end chez toi, et te dominer chez toi dans ton quartier.

Marie – (Je me mets à rêver : Hum ! Oui la semaine je suis chez vous et le week-end, vous habitez chez nous, dormez dans notre lit conjugal ...
Et si votre stratagème fonctionne (Hervé qui baise une salope soumise (moi après injection mammaires pour me rendre méconnaissable) puis accepte de vous sucer vos amis et vous puis même de se faire enculer pour découvrir un peu plus tard que je suis votre soumise) même quand il rentrerait il dormirait sur le tapis au pied de notre lit.
Donc la conversation se poursuit et Hervé sans s'en rendre compte me convainc lui même de venir habiter dans le studio durant la semaine ...

Cello : « Vous voyer Marie , Hervé semble satisfait de ma proposition »

Marie : « Oui… Je… Heu… Oui monsieur le directeur merci, tu as raison chéri, je vais m'installer dans le studio pour la semaine dès lundi prochain ... »

Marie - Vous poursuivez la discussion avec mon mari pendant que moi je remets ma main sous la nappe…

Marie - Herve dont vous remplissez le verre régulièrement ne se rends compte de rien. La fin du repas arrive

Cello - Hervé nous demande de nous excusez et s'éclipse aux toilettes, j'en profite alors qu'il est à peine sorti de table pour mettre ma main entre tes cuisses

Cello : « Alors ma salope ! Cela t’excite de te caresser devant moi sans que ton mari s'en aperçoive, et je suis sûr que tu aimes cette idée de laisser Herve en Pologne et de vivre avec moi »

Marie : « Hoo… Oui… Monsieur… Le patron du bar m’a bien prise tout à l'heure mais j'ai de nouveau envie »
« Je… Heu… Ca me gène pour mon mari mais oui… Ainsi je vais être à votre service 24h/24 »

Marie - Vous me branlez, je suis au bord de la jouissance.

Cello - Tout en te doigtant, un oeil sur la porte des wc, je te demande :
« Tu préfères la vie que tu avais avant, ou celle de maintenant »

Marie : « Hoo ! Maintenant monsieur, j'ai honte mais c'est si bon »

Cello - Mes doigts s'activent dans ta chatte, tu vas jouir, Herve ne revient toujours pas.

Marie - Heureusement personne ne peut nous voir, sauf le patron qui rigole en regardant ...

Cello - Tu te mords les lèvres pour ne pas crier.

Marie - Vous passez votre autre main sous ma veste, déboutonnez mon chemisier au niveau du ventre et y glissez la main de sorte à saisir une mamelle et à la malaxer sans retenue

Cello - J'atteins un téton que j'étire et pince durement.

Marie - Je jouie à ce moment en me retenant, mais tout de même en gémissant.

Cello - Tu te tortilles sur ta chaise mordant tes lèvres, alors que je sens ton miel couler abondamment sur mes doigts.

Marie - A ce moment le patron tousse et nous avons à peine le temps de nous remettre (moi droite sur la banquette, mais la veste ouverte au niveau du vente et vous les mains sur la table, les doigts pleins de cyprine).

Cello - Le patron pour nous faire gagner un peu de temps, l'interpelle et lui demande, s'il était satisfait du repas.

Marie : « Je boutonne vite ma veste sans avoir rajusté mon chemisier, qui reste ouvert sous ma veste.

Marie - Il ne se doute de rien et reviens à table :

Hervé : « Ho ! J'ai un peu trop bu et mangé je crois »

Cello - J'en profite pour lécher mes doigts et me délecter de ton miel
« Vous allez pouvoir conduire ? Je ne pense pas que vous ayez bu tant que cela pour être au dessus de la dose réglementaire. Une coupe de champagne et 2 petits verres de vin, ce n'est pas considérable »

Hervé : « Oui tout à fait vous avez raison M. Cello je vais y aller je dois retourner au travail, il ne faudrait pas que je gâche les opportunités que mon patron m'offre »

Cello - Alors que nous sommes sur le point de partir du restaurant, tu demande à Herve vers qu'elle heure, il pense rentrer afin que tu puisses préparer le repas

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