15-L'Apologie Du String...

L’apologie du String…

Grand amoureux du string masculin, je viens ici défendre ses multiples avantages et
plaisirs.
Depuis maintenant 15 ans, je porte le string en toute occasion (sinon c’est nu
dessous). J’ai depuis longtemps banni le slip puis le boxer.
Je ne peux plus supporter de sentir mes fesses enfermées dans du tissus. Je les sens
contraintes, comprimées, asphyxiées, boudinées, prisonnières, entravées dans leurs
mouvements… Bref, une réelle prison. Le string est avant tout un confort pour moi.
J’aime sentir le tissus de mon pantalon frôler mes fesses, les caresser, les exciter
quelques fois. Libre d’accès à la main curieuse qui vient à la découverte de leur peau
lisse et douce. Voir le regard étonné du téméraire qui a osé (avec mon consentement)
glisser sa main et qu’il découvre qu’elles sont là toutes heureuses et excitées par la
caresse experte ou par les mains plus généreuses qui les pétrissent. Offertes tout en
étant tout de même bien gardées.
Le string suscite aussi quelques convoitises. A celui qui découvre cette bande de
tissus qui plonge en un frêle torrent entre mes fesses pour réapparaitre plus loin
gonflé par mon attribut mâle, quand je me penche innocemment ou intentionnellement.
-Innocemment comme à Bordeaux qui m’a valu deux soirées de plaisirs intenses avec un
homme qui a osé se déclarer car justement j’en portais un. Dans un supermarché cette
fois-ci, par les compliments d’une belle femme amatrice éclairée et qui regrettait que
son mari n’en porte point et qui a pu le voir de plus près dans sa voiture. Dans une
file d’attente, l’homme qui n’a pu s’empêcher de ma caresser les fesses, enhardi par
cette vue plongeante que je lui offrais, mais qui n’a pas eu plus car lui par contre
ne me donnait pas du tout envie de pousser la chose plus loin. Peut-être il y a-t-il
eu d’autres occasions dont je n’ai pas prêté attention ou que je n’ai tout simplement
pas vu…

-Intentionnel, souvent pour aguicher celui sur qui j’ai jeté mon dévolu pour une
soirée.

Pour exciter mon partenaire du moment quand je m’effeuille devant lui. Pour
mettre en valeur celles qui souvent sont l’attention des internautes qui
m’interpellent et grâce à qui j’ai pu passer des soirées de feu ou d’autre moins
excitantes (on ne peut pas gagner à tous les coups).

Ce vêtement est pour moi, la signature de ma sexualité. Il libère ma zone érogène
préférée, maintient ma virilité et lui donne quelques fois du plaisir.

Tout est excitant dans ce triangle de plaisir. La fine bande de tissus qui court dans
ma raie caressant savamment mon orifice très sensible. Un doigt suffit pour
l’extirper de son canyon joufflu, l’écarter légèrement et laisser libre accès à tous
visiteurs désireux de caresser, lécher, doigter, pénétrer ma corolle brune sensible
d’une sensibilité exacerbée. Je me rappelle de cet homme dans un de mes nombreux trios
qui l’écarta habillement pour me la lécher quand moi-même j’étais occupé à sucer une
belle queue. Toujours cet homme qui sut le maintenir sur le côté pour laisser le champ
libre à sa queue heureuse d’honorer mon puits intime. Si ce n’est quelqu’un d’autre,
c’est aussi moi, pour libérer mon œillet impatient de recevoir, quand je suis hyper
excité, sa récompense libératrice, récompense souvent personnalisé par un Rosbud ou un
jouet plus important.

Maintenant attardons-nous sur le triangle avant. Il est plus ou moins étroit, a la
faculté de s’adapter et garder précieusement vos « bijoux de famille ». Aux matières
diverses et variées, lycra, coton, soie, cuir, vinyle et même résille, quelques fois
proposé dans un mélange savamment dosé pour aguicher, exciter ou même dévoiler comme
un écrin, mais toujours dans un maintien confortable. J’aime ceux qui comprime
légèrement, moulant avec une dextérité affriolante ma queue et mes couilles.

Ainsi paré, le moindre contact, le moindre frôlement sur ce bout d’étoffe tendue,
relaie comme une seconde peau des sensations divines.

Un autre avantage, non négligeable, il suffit juste de tirer le tissu sur le côté pour
libérer votre sexe, prêt à l’action. Soit pour ce faire sucer ou se parer d’un
capuchon pour venir à la va vite honorer un joli p’tit cul ou une belle petite foune
au choix. Ainsi vous n’êtes plus gêné par cette barrière que constitue un slip ou un
boxer qui vous entrave les jambes.

Comme vous pouvez le voir, je suis un fervent défenseur de cette pièce de lingerie que
je porte aux nues de la beauté et de la sexualité masculine et féminine.

Osez le porter, c’est une expérience délicieuse croyez-moi…

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