Sexologie

Laure était une jeune femme blonde de 22 ans, petite et menue, il respirait de son apparence une impression de vulnérabilité fragile qui donne envie de la protéger. Belle comme un cœur elle avait une personnalité réservée ne lui faisant jamais un caractère affirmé. Pourtant c’était une personne libre et autodidacte, elle habitait chez elle malgré qu'elle avait un copain. Ca lui offrait la liberté qu’elle perdrait en couple. Même si elle était accompagnée, aucun de ses partenaires ne la faisait jouir. Jamais…

Employée de bureau elle s’était faite prendre par son patron dans la journée sans qu’elle n’y ressente un plaisir démesuré. Ils avaient essayé plusieurs situations plus ou moins excitantes mais rien n’y faisait.

Désespérée le soir dans son appart elle feuilleta l’annuaire à la recherche d’un sexologue. Elle choisi au hasard le plus prés de chez elle. Elle téléphona et prit rendez vous pour le lendemain. Dans la soirée, ce gars travaillait tard.

Elle était dans la salle d’attente elle était la prochaine à passer. Elle était seule et une personne arriva derrière elle au moment où elle fut prise.

« _Bonjours mademoiselle, que puis-je pour vous ? »

Le sexologue avait une quarantaine d’années, il était habillé d’une blouse blanche, avec des habits civils en dessous.

« _Hé bien, je n’arrive pas à jouir… »
Elle était un peu gênée de parler de ça comme ça à un inconnu.

« _D’accord, est ce que cela arrive avec tous les partenaires que vous avez ?
_Oui, je n’ai jamais eu d’orgasme, ni clitoridien ni vaginal…
_Je vois, vous ne savez pas à quoi cela ressemble. Mais avez-vous au moins des sensations lors des rapports ?
_Ho ça oui… Ca ne permet de tenir d’ailleurs.
_Je vois votre problème…Veuillez vous déshabillez totalement… »

Laure fut étonnée mais s’exécuta sans pouvoir enlever son bras qui cachait ses seins.

« _Bien, veuillez me suivre »

Il entra dans une pièce sombre.

Elle le suivit. Dedans il y avait une banquette à coussins pour qu’elle puisse s’allonger. Demi-assise. Elle s’y allongea quand le sexologue l’y invita. Le repose-jambe était en deux parties, une pour chaque jambe. Il les écarta avec ses jambes dessus et les attacha avec du velcro. Laure se sentait mal à l’aise de se retrouver prisonnière de ce siège, les jambes écartées.
Autour d’elle il y avait tout un tat de matériel médical en tous genre.

« _Allez vous me faire ?
_Ne vous inquiétez, je vais utiliser sur vous une méthode de de votre mental. Vous êtes psychiquement bloquée car ce que vous recevez ne correspond pas à ce que vous attendez, la présence de l’autre est souvent le trouble premier, nous allons donc vous faire un rapport sexuel sans partenaire… »
Laure ne dit rien par étonnement, elle ne voyait pas vraiment où il voulait en venir. Il approcha, sur un chariot, une machine avec des roues et des bielles et des moteurs. A une bielle il brancha une longue tige qui passait par un guide pour leur donner une trajectoire droite. Puis à la tige il y fixa un god.
Laure comprit soudain et eu un regard d’horreur il n’avait tout de même pas… Il approcha la machine en face, à quelques centimètres de sa vulve. Les lèvres un peu écartée par la position des jambes, on distingue le mignon petit clitoris qui ne voulait pas s’abandonner au plaisir. Le médecin fit couler sur son entre jambe une grosse quantité de gel. C'était froid et Laure en était sûre maintenant, elle ne pas voulait pas être pénétrée par une machine !!!

« _Non, arrêtez… Je ne veux pas… »

Mais il ne l’écouta pas, il approcha encore la machine et commença à frotter le god dans la fente de la belle jeune blonde. Puis il l’enfonça délicatement en entier. Malgré son refus Laure ne put cacher le spasme de plaisir qui l’envahie de se sentir visitée. Un frisson la parcourut et ses tétons se raidirent.

« _Voilà… Détendez vous… Vous êtes magnifique.

_Attendez je ne voulais pas… »

Le ton de Laure n’était vraiment pas convaincu, doux et sans hostilité. Son ton disait tout le contraire de sa phrase « allez-y ! ».
Il appuya sur un bouton et tourna une molette. Très lentement le god se mit en mouvement sortant peu à peu de son trou pour réentrer avec le mouvement de la bielle.

« _Fermez les yeux et détendez vous… »

Il continuait de tourner le bouton et le god accéléra son coïte. Il finit par atteindre une certaine vitesse que Laure jugea agréable. Puis il quitta la salle. Laissant Laure seule avec cette machine qui l’outrageait.

Dans un premier temps Laure n’entendait que le bruit des moteurs de la machine. Son corps était parcouru de frissons tandis qu’elle sentait ses entrailles s’écarter et se refermer aux allées et venues du god. Elle força sur ses jambes pour essayer de se détacher mais n’y arriva pas, les mouvements du god en elle la faisait frémir et ne lui permettait aucun effort. Elle sentait peu à peu sa volonté se briser.
En un second temps le son dérangeant du moteur électrique fut oublié au profit du bruit de sussions qui accompagnait le god dans sa visite vaginale. L’abondance de lubrifiant commençait à s’estomper et elle sentait avec plus de détails le god en elle. Un frison la parcourru, maintenant elle n’entendait plus la machine mais seulement le bruit de la sexualité ambiante. De légers gémissements commençaient à sortir d’entres ses lèvres.
Dans un monde de sensations, les yeux fermés, la machine accéléra le mouvement du god, elle voulait rien savoir, elle gardait les yeux fermés. Elle imaginait tous ses fantasmes, elle mordait sa lèvre inférieure avec ses dents blanches, ses sourcils se fronçaient et peu à peu ses mains se resserrerent sur les accoudoirs. Vas et viens, Vas et viens, Vas et viens, Laure penchait la tête en arrière, ses tétons étaient toujours dressés et de la transpiration commençait à perler sur son front.
Augmentation de vitesse.
La moindre bosse sur le god faisait vibrer le vagin de Laure, par réflexe elle essaye de ramener ses jambes et en dépit de ça, à cause des velcros, s’était ses orteils qui se recroquevillaient. Elle serrait de toutes ses forces les accoudoirs et la transpiration avait envahit tout son corps envieux de jouissance. Ses cheveux eux-mêmes étaient trempés tant elle était excitée et qu’elle avait chaud. Les sussions se faisaient de plus en plus rapprochées faisant bouger à l’extérieur son clitoris il s’excitait tout seul. Son entre jambe dégoulinait du liquide vaginal qui avait totalement remplacé le lubrifiant.
Les sensations l’avaient envahit et elle ne pouvait plus s’empêcher de crier sa jouissance excessive en vibration et frissons à chaque passage du god en elle. Ses lèvres s’écartaient et se refermaient au vas et viens du god en elle, toujours autant pervers.
Elle serrait les fesses pour retenir son orgasme, les sentiments montaient en elle, ses gémissements se faisaient selon le chaos des sentiments qui la bousculaient. Son vagin se resserrait autour du god, les mouvements se faisaient encore plus rapides, son visage se crispait, de sa bouche un cri s’arracha violement ainsi que tout son corps fut pris de spammes qui la secouaient brutalement malgré les attaches qui l‘excitaient encore plus.
Après son cri elle s’abandonna et s’affaissa sur elle-même alors que le god s’arrêta et se retira. Son corps était rythmé par sa forte respiration.
Elle ouvrit alors les yeux et vit que le médecin était là avec la main sur la molette. Depuis le début c’était lui qui faisait varier la vitesse de la machine, il était là depuis le début en fait… Elle le regarda un moment sans rien dire, les yeux plein d’apaisement. Quelques cheveux collaient à son visage, la transpiration avait coulé sur ses seins. C’était donc cela un orgasme.
Il la regarda aussi l’air satisfait.
« _Je vais vous programmer un second rendez vous… »

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