Derrière La Fenêtre, Devine Ce Qu'il Y A...

Comme souvent à ce moment de l’année, j’adorais flâner dans les ruelles de notre petit village. Surtout la nuit tombée. Cela m‘apaisait. J’avais un grand besoin évacuer les tensions accumulée dans la journée.
Je marchais donc seul dans l’obscurité, à travers les rues désertes de notre bien-aimé village, quand soudain j’ai entendu des gémissements, des cris qui étaient des cris de plaisir. Il me fallut un moment pour retrouver ma lucidité, et de constater que ses plaintes venaient de chez Ginette. La postière du village. Malgré la nuit noire, je m’aperçus que Patrick, son mari n’était pas encore entré, la voiture n’était pas garée devant le trottoir comme à son habitude.
Je distinguais nettement maintenant les cris réguliers d'une femme, ponctuaient certainement par des coups de queue. Puis, une voix de mâle poussa un long râle, comprenant très bien que ce dernier venait de jouir.
Plaqué contre le métal du panneau du sens interdit encore tiède du soleil de la journée, je restais aux aguets.
Grâce la fenêtre entrouverte, mais malgré les volets fermés, j’entendais à nouveau des bruits plus nets. Tendant l'oreille, je saisis des paroles.
- Prends-moi... ma grosse queue ... Mais je ne reconnu pas la voix de Patrick. La sienne était moins rauque que celle qui venait de parler.
Les bruits de lit redoublèrent d'intensité. L'homme devait être surexcité.
- Ta ... Chatte, qu‘est-ce qu‘elle est bonne...
J’étais sur le cul, Ginette, la gentille fonctionnaire recevait un homme chez elle. Mais cela ne m’empêchais pas de m’exciter. Je bandais. Je laissais vagabonder mes pensées sur cette scène, si proche. Dommage que je ne puisse pas voir à travers les volets !
Je me représentais Ginette, en train de baiser avec ardeur, allant au-devant des désirs de l’inconnu qui la pénétrait... Elle se mit à pousser une série de cris stridents. « la salope » pensais-je, elle la sainte nitouche.

Comme quoi en ne connait pas très bien les personnes.
L'homme devait limer lentement, à présent, faisant languir Ginette, car elle s'écria, d’une voix que je ne lui connaissais pas.
- Mais n'arrête pas, salaud ...
Le sommier grinça, la femme haletait de plus belle. J’imaginais Ginette sous l'homme, bougeant son bassin autour de la queue raidie, allant chercher elle même son plaisir.
- Je suis crevé, fit la voix masculine...
- Nooon, soufflait la fonctionnaire, désappointée. L'homme avait dû se retirer.
Un peu plus tard, le silence tomba. Je pensais que tout était fini. Je me suis caché un peu plus loin, pour attendre la sortie du petit veinard.
Mais les minutes s’écoulèrent sans que personne ne veuille sortir. Puis, un ronronnement de moteur se fit entendre, se rapprochant dangereusement. Un faisceau de lumière éclaira la route. J’allais me posté sous le porche d’en face, pour ne pas être vue. La voiture stoppa, et Patrick en sortait. La lumière de l’entrée s’alluma et Ginette jaillit, allant au devant de son époux. J’étais à ce moment époustouflé, ne comprenant plus grand-chose, de ce qui se passait, mettant même en doute ce que j’avais entendu.
Le temps que tout redevienne normal et je suis sorti de ma planque, décidant de rentrer.
J’avais passé une nuit agitée. J’avais rêvé, que le fameux inconnu chez Ginette, et bien, c’était moi.
Avec mon esprit pervers, j’ai renouvelé l’expérience le lendemain soir. Toujours pas de voiture devant le trottoir. Les volets n’étaient pas fermés, mais rien de filtré de l’intérieur, l’obscurité la plus totale. En fouinant, je m’aperçus par-contre, qu’à l’intérieur du terrain clôturé, une fenêtre laissait diffusé une lumière. Sans trop réfléchir des conséquences que cela pouvaient entraîner de franchir une propriété privée. J’ai enjambé la clôture et je me suis vite retrouvé près d’une porte-fenêtre.
Pas un bruit, je glissai un œil. Ginette me tournait le dos, penchée devant son ordinateur.
À ses côté, son lit, ouvert pour la nuit. Elle était en chemise de nuit. Puis dans le silence, le téléphone c’était mis à sonner. Ginette se leva, et alla jusqu’à sa table de nuit prendre son portable. Je n’entendais pas toute la communication, mais le peu qu’il en filtra, m’apprit que Patrick ne rentrerait pas cette nuit. Une panne de voiture soit disant.
Nathalie, après avoir coupée la communication, s’était saisi d’un flacon, lui aussi posé sur la table de nuit. Elle c’était assise sur le lit. La chemise de nuit avait glissé et je découvrais sa chair blanche jusqu’à mi-cuisse. Elle se pencha en avant, examina ses pieds nus, versa une noisette de crème à chacun, puis les palpa délicatement, faisant une grimace. Peut-être qu’ils lui faisaient du mal.
Puis, contre toute attente, elle se leva, et fit glisser la chemise de nuit le long de son corps. Pour mon plus grand bonheur, elle se promena quelques instants nue, dans sa chambre. J’ai pu percevoir furtivement son anatomie. Puis elle s’était saisi d’une valisette prise sur une étagère dans son armoire. Et c’est muni de cette dernière, que Nathalie était sorti de la pièce, coupant la lumière derrière elle. J’ai patienté quelques instants, attendant son retour, mais rien se fit, le spectacle était terminé pour moi. Très frustré, j’ai de nouveau enjambé la clôture, pensant rentrer chez moi. Mais passant devant la fenêtre de la rue, j’ai entendu de nouveau des voix. Au contraire de la vieille, j’ai jeté cette fois-ci, un coup d'œil furtif.
C'était le salon, j’entendis des voix et comprit que Ginette était en train de regarder la télévision. Prudemment, je tendis le cou et m’aperçus grâce à la fenêtre ouverte, l’intérieur des lieux. Une lumière douce baignait la pièce. Je me sentais tout moite en découvrant la fonctionnaire, assise sur son canapé à angle. Elle était à demi allongée, une jambe sur le sol, l'autre repliée dans ma direction.
J’ai pu apprécié un peu mieux l’intimité de Ginette.
C'était une vraie blonde, et les lèvres de son sexe étaient roses, au bas de la toison. Un triangle velu parfait.
Je retins mon souffle. Ma nonchalante érection, calmée un temps, reprit de plus belle.
Ginette bougea sa jambe, et les lèvres de son sexe se montrèrent, puis disparurent. Elle rejeta la tête en arrière pour vider sa tasse de café. Elle la reposa ensuite sur la table basse, en se penchant en avant, et son bas ventre fut encore plus exposé, la fente écartée, la raie pâle entre les fesses, sous la touffe qui brillait dans la lumière d'une petite lampe de salon.
Elle reprit sa position initiale, et ses seins se balancèrent, lourds et épanouis.
Cette femme était plantureuse à souhait, le genre qui me fait bander instantanément.
- Oui, embrasse-moi encore, oui... Et, oui, à cet instant je compris. Les plaintes la vieille, et oui, c’était tout bonnement la télé. Quel nouille que j’étais.
La télévision diffusant une scène un peu chaude. Je lançais un nouveau coup d'œil dans la pièce. Ginette semblait aspirait par l'écran, mais sa main droite fourragea dans son pubis. Elle écarta les cuisses au maximum, genoux relevés, les talons près des fesses. Je voyais sa main, doigts largement écartés, frotter son entrecuisse, voluptueusement. Ses doigts disparaissaient dans les poils, glissèrent lentement sur son sexe, puis entre ses fesses. Là, ils se mirent à pétrir, la vulve avec violence. Ils se chevauchaient, remuant de plus en plus vite.
A un moment, Ginette négligea son sexe pour saisir ses seins, un dans chaque main. Elle les massa, tout en rejetant la tête en arrière, les yeux clos. Je vis la fente largement écartée, les lèvres luisantes. Puis, une main redescendit en une caresse, jusqu'au clitoris. L'index tendu s'agita sur le bouton de chair, le fit rouler, et enfin la paume étalée l'écrasa. Les cuisses agitées de spasmes, les jarrets tendus, la femme laissa échapper un petit cri. Elle venait d'avoir un orgasme.

Elle se détendit, ne se caressant plus que très doucement, comme pour apaiser son clitoris en feu. Puis elle se pencha et saisit dans la valisette à côté d'elle, un objet blanc et allongé. Un vibromasseur. Elle l'enfonçait jusqu'à la garde, puis le retirait, et le replongeait pour le garder au fond de son sexe. Elle le faisait alors tourner, pour mieux se caresser les parois vaginales.
Bientôt, elle se leva, me tournant le dos, se pencha en avant, un bras en appui sur le dossier du canapé, et sa main libre enfonça à nouveau le gode dans son sexe. Elle se redressa tout à coup et fit quelques pas, l'objet niché au creux de son intimité. Elle évolua ainsi dans le salon durant un moment, se massant les seins d'une main, se tripotant le clitoris de l'autre, s'arrêtant parfois.
Finalement, Ginette vint se rasseoir sur le canapé, écarta à nouveau les cuisses et retira le vibromasseur. Elle s'écarta les lèvres du sexe au maximum et se branla vigoureusement de la paume, comme si elle voulait s'enfoncer la main entière dans la chatte.
Elle semblait folle de désir, ne sachant plus que faire pour assouvir son envie sexuelle. Elle reprit le vibromasseur s'assit à nouveau et s'introduisit l'objet. Elle gémit régulièrement en le faisant aller et venir en elle. Insatiable, elle le retira et se l'enfonça cette fois dans l'anus. Elle se balança lentement sur les coussins, faisant ainsi bouger l'engin dans son cul. Dans le même temps, elle se branlait le clitoris, très rapidement. Elle donna quelques coups de reins violents et cria.
- Oh, une queue, je veux une queue ! En râlant, elle bascula en arrière.
Je pris ça comme un appel. N'y tenant plus, je sentais que plus rien ne pouvait m’empêcher d’aller la rejoindre… à suivre…

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