Le Deal 3

21h30, nous somme tous les trois passés au salon après avoir pris notre repas livré par le traiteur à l'heure dite. Nous discutons tranquillement en savourant un expresso brésilien tout en fumant quelques cigarettes. Le contraste avec ce que j'ai vécu tout l'après-midi est saisissant. L'atmosphère qui règne maintenant est toute faite de détente, de douceur et si quelqu'un qui ne connaissait pas Karine et Pierre arrivait maintenant, il lui serait bien difficile de croire qu'il a affaire à deux bêtes de sexe complètement enragées. Nous terminons nos cafés et Karine s'adressant à Pierre:
-"Amour, j'aurai un petit travail à te confier ce soir.
-Demande ma chérie et je m'exécuterai sur le champs.
-Tu sais que j'ai horreur de la pilosité masculine et il se trouve que Jo, bien qu'il ait les jambes, le sexe et les fesses rasées, conserve encore trop de poils sur les avant bras et le torse à mon goût. J'aimerais que tu t'attelles à cette tâche dès maintenant et nous le conduirons dans la semaine à l'institut pour une épilation totale. Tu es déjà un expert dans l'art du massage et je suis sure que tu t'en sortiras très bien. Et puis pour moi, quel spectacle que de voir un homme s'occuper d'un autre homme." puis me regardant, "tu dois comprendre, Jo que je te veux plus nu que nu à ma disposition."
Je ne discute pas, je ne pose aucune question, j'ai bien compris que je ne devais rien refuser à mon hôtesse et de plus, cette nouvelle est à deux doigts de réveiller ma verge. C'est pour le moins étonnant car jamais aucun homme ne m'a touché. Mais là, rien qu'à l'idée d'être remis entre les mains expertes de ce mec au corps d'Apollon fait monter en moi une excitation nouvelle. Karine et Pierre se lèvent et je les suis dans la partie Est de la demeure jusqu'à la salle de sport. On y trouve une kyrielle d'équipements sophistiqués, un spa, un sauna une cabine à UV et une table de massage sur laquelle Pierre m'invite à m'allonger sur le dos.

Après un court moment d'attente Karine nous rejoint et pose sur une tablette roulante plusieurs flacons et un rasoir. Pierre s'empare d'un gel de rasage oxygéné et commence à enduire mes avant bras de ce produit. Ses mains sont douces et il sait exactement ce qu'il fait. Il y a vraiment peu de travail et l'opération prend très peu de temps. Il continue son office en s'attaquant à mon torse en l'enduisant également de ce gel aux senteurs rafraîchissante. Je sens ses mains sur moi qui parcourent ma poitrine et descendent jusqu'à mon ventre en mille caresses qui me procurent une sensation de bien-être que je n'avais jamais ressenti auparavant. Comment aurais-je pu me douter que des mains d'homme sur moi pourraient me faire pareil effet. Je le vois esquisser un léger sourire de satisfaction quand il aperçoit le début d'érection qui commence à se manifester. Alors, je ferme les yeux et je m'abandonne à son expertise. Karine assise à côté de nous dans un fauteuil de relaxation goûte avec approbation le spectacle qui s'offre à elle. Je sens maintenant le rasoir mordre lentement et éliminer peu à peu ce qu'il reste de ma pilosité et bien que totalement nu, comme me l'avait intimé Karine, j'ai l'impression que Pierre me déshabille encore un peu plus à chaque passage du rasoir sur ma peau. Je me sens tellement bien que j'aurais presque envie que ça n'en finisse pas, mais Pierre reposant le rasoir:
-"Voilà ma chérie, cela te convient-il?
-C'est parfait amour, cette fois, il est vraiment prêt. Je voudrais le récompenser pour m'avoir fait passer de forts agréables moments cet après-midi. Voudrai-tu, amour, s'il te plait lui prodiguer un de ces massages dont tu as le secret? De plus, tu es beau dans ce rôle et je ne me lasse pas du spectacle de tes mains sur sa peau. Et puis, à la vue des réactions de son sexe, je crois que cela ne sera pas fait pour lui déplaire."
Je suis toujours allongé sur le dos, et il ouvre maintenant une bouteille d'huile de massage au léger parfum de caramel,en enduit abondamment ses mains, puis démarre son ouvrage depuis la pointe de mes pieds en remontant le long de mes jambes.
Ses mains sont d'une habilité phénoménale et les sensations assez diffuses au départ s'amplifient au fur et à mesure de sa remontée vers le haut de mon corps. Chaque aller retour de ses mains de bas en haut est comme autant de vagues de plaisir qui vont finir par me submerger totalement quand il arrivera à mes épaules. Il ne néglige aucun centimètre carré de ma peau, mais évite consciencieusement ma verge à chaque fois que ses mains passent à proximité. Je sais que je ne soutiendrais pas la comparaison avec la sienne mais mes 19cm de long pour 3.5 cm de diamètre ne sont pas si ridicules que ça. Bien évidemment, je ne réclame rien mais je me dis quand même à cet instant; allez Pierre sois gentil, caresse-la, elle est dure et bien dressée maintenant, elle n'attend plus que tes mains pour se gonfler encore plus de désir. Mais rien ne se passe et je l'entends plutôt m'intimer:
-"Retourne-toi, Jo, s'il te plait et place tes deux mains sous ta tête que je puisse masser correctement tes aisselles."
Sans un mot, j'obtempère immédiatement, ramène mon sexe sous mon ventre et écarte mes bras en mettant mes main sous ma tête en tournant celle-ci du côté où Karine est assise. Je m'aperçois alors bien vite que ce spectacle fait bien plus que lui plaire. Elle a les cuisses posées sur chaque large accoudoir du fauteuil, massant son clito d'une main et de l'autre faisant rouler sous ses doigts la pointe durcie de ses mamelons proéminents. Cela doit durer depuis déjà un bout de temps car une quantité non négligeable de cyprine s'est répandue sur le siège. Mais étrangement, il n'y a eu de sa part aucun gémissement aucune parole salace comme plus tôt dans la journée. Pierre quand à lui continue son travail et il a tôt fait d'arriver jusqu'à ma nuque qu'il ne néglige pas non plus. Je me sens bien, détendu et même ma bite toujours au contact de mon bas ventre semble apaisée. Ses mains parcourent toujours mon dos en jouant avec mes vertèbres, les unes après les autres, puis redescendent jusqu'à mon cul en s'y attardant cette fois longuement.
Elles se font d'un coup plus vigoureuse et pétrissent la partie la plus charnue de mon anatomie, pendant que les deux pouces s'insinuent dans ma raie, écartant mes fesses et laissant apercevoir mon trou par intermittence. Pierre fini par lâcher:
-"Bordel, mon salaud, ton joli petit cul m'a refilé une de ces gaules, je crois bien que...." immédiatement interrompu par Karine qui est maintenant surexcitée et ne veut surtout pas perdre le contrôle des opérations "Pas question mon grand! Si tu t'en es pas encore aperçu, il est vierge du cul et il est à moi. Il est pas encore prêt mais on va commencer sa préparation dès ce soir. J'ai certainement pas envie de le présenter comme ça. Tes mains ont fait du bon boulot tout à l'heure, maintenant fais des miracles avec ta putain de langue espèce de gros vicieux. Ce que t'es capable de faire avec moi, tu seras ment capable de le faire avec lui. T'auras ta récompense à la fin de la séance.
-Okay ma salope! Mais t'as pas intérêt à oublier cette promesse!"
Puis s'adressant à moi, il continue:
-"Quand à toi mon con, je vais faire de toi la lope que tout vrai mâle rêve de posséder! T'as compris?
-Oui Pierre." Des claquent pleuvent alors en rafales sur mon cul.
-"J'ai rien entendu salope! T'as compris?
-OUI PIERRE!
-Bah voilà, c'est quand même pas compliqué de faire ce qu'on te dit."
J'essaie de mettre de l'ordre dans ma tête alors que leur vociférations et insultes en tout genre à mon égard ont repris de plus belle. Curieusement, j'y prend de plus en plus de plaisir. Pierre continue ses séries de claques sur mon cul en alternant avec des temps de caresses et de pétrissage vigoureux. C'est un vrai délice ce contraste entre cette douleur cinglante et la douceur de ses mains chaudes quand elle ne frappent plus. Mon cul maltraité rend Karine complètement folle. Sous la tablette où étaient disposés les flacons et le rasoir, se trouve on coffre rempli de divers objets. Elle en extrait un sex toy largement aussi gros que la pine de son mec, reprend sa place sur le fauteuil et commence à se goder frénétiquement la chatte en ne quittant pas mon cul des yeux.
Ce ne sont plus des cris qu'elle pousse mais des hurlements. Impossible de dire combien de fois elle jouit si ce n'est qu'à ces moments, la cadence des va et vient ralenti perceptiblement et l'instant d'après elle reprend le pilonnage de sa chatte meurtrie. Pour moi, un nouveau temps de caresses beaucoup plus long celui-là. Le calme avant la tempête? J'ai le cul en feu et les mains de Pierre malgré leur dextérité ne calme la douleur que très partiellement. Pourtant, les caresses qu'il me prodigue maintenant sont d'une douceur extraordinaire. Il part du bas des reins pour descendre sur mes cuisses puis remonte en passant par mon entre jambes et frôle délicatement mes couilles. C'est bon et j'aime ça. Alors, sans même m'en rendre compte, j'écarte les jambes et place mes pieds sur les bords de la table pour lui faciliter la tâche. Mais que m'arrive-t-il? Moi, l'hétéro invétéré depuis toujours, qui n'a même jamais maté un film gay de sa vie. Je n'arrive pas à y croire. Ce détail a l'air de contenter Pierre et même Karine interrompt son pilonnage interloquée par la scène qui se déroule sous ses yeux:
-"Eh bien mes salauds, on s'ennuie pas dites-moi! Je connaissais pas Jo, mais toi, mon grand, ton penchant pour ces petits jeux entre mecs m'avait échappé.
-Cet enfoiré me fait bander comme pas permis. Laisse-moi t'aider à l'initier. Il comprend tout et apprend vite, il deviendra une lope extraordinaire.
-D'accord, c'est bon mais pour l'instant au boulot! Prépare-moi sa rondelle immédiatement!"
Comment puis-je rester comme ça sans rien dire et sans réaction? Comme diraient mes hôtes dans leurs meilleurs moments, je suis en train de passer à la casserole et je reste là, à attendre leur bon vouloir. Les sensations se bousculent dans ma tête; d'abord un sentiment de danger quand je suis en présence des ces deux furieux à la fois si beaux, calmes, rassurants et en même temps totalement enragés quand ils s'offrent ces séances bestiales. D'un autre côté, tout me porte à croire que ce sont de vrais experts et c'est ce cocktail de danger, de douceur, de violence, d'excitation et de curiosité qui me fait rester là et m'empêche de sauter dans ma voiture pour m'enfuir le plus loin possible. Pierre se saisit d'un step de fitness d'environ 30cm de haut, me soulève par le bassin et glisse cet accessoire sous mon ventre, puis m'oblige à ramener mes genoux de chaque côté des pieds du step. Il demande alors:
-"Dis-moi que j'aurais pas besoin de t'attacher les mains et que tu resteras bien docile en bonne salope que t'es!
-Il ne sera pas utile de m'attacher, Pierre.
-Bien, alors cramponne-toi aux deux coins supérieurs de la table."
Je m'excécute sans délai et il vient m'obliger à rester la tête plaquée sur le cuir moelleux de la table de massage. Je suis maintenant dans une position où je ne peux pas être plus cambré et mon cul plus offert. D'ailleurs, mes fesses s'écartent pratiquement toutes seules. Karine est littéralement en admiration devant le travail de son mec. Elle ne l'avait encore jamais vu oeuvrer de cette manière. Elle est là scotchée dans son fauteuil et ne perd pas une miette du spectacle qui s'offre à elle.
Je sens les mains de Pierre flatter mon entre jambe à partir de mes genoux et remonter lentement en direction de la zone qu'il va travailler à présent:
-"T'as la peau douce ma salope" éructe tout à coup Pierre "j'en connais plus d'un qui appréciera plus tard."
Ses mains continuent à monter lentement à l'intérieur de mes cuisses et cette fois s'attardent à jouer un peu avec mes couilles lisses, puis reprennent leur ascension pour finir par se plaquer sur chacune de mes fesses encore rouges du traitement subi précédemment. Il les écarte au maximum pour avoir le meilleur accès possible, et je sens bientôt sa langue chaude qui commence à explorer mon fondement. Elle est douce, précise, tantôt large quand il veut humecter la totalité de ce trou offert à sa gourmandise, tantôt longue et pointue quand il décrit des cercles autour de ma rondelle pour l'assouplir et qu'il visite le moindre repli de cet anus qu'il aimerait tant forcer le premier. Il est tellement expert dans l'art de l'anulingus que quelques petites minutes suffisent à me détendre complètement, à tel point qu'il arrive à insérer la moitié de sa longue langue dans mon trou qui finit par se dilater complètement.
Il la retire bientôt, et se prépare à me rentrer un premier doigt dans le cul quand tout à coup, Karine qui avait observé la scène religieusement se lève d'un bon et lui dit:
-"Non mon grand pas de doigt. Je lui réserve de la vraie chair pour plus tard."
Et ouvrant à nouveau le coffre sous la tablette, elle en sort un plug de 2cm de diamètre pour 10cm de long:
-"Colle-lui plutôt ça pour l'instant, ça sera déjà un bon début."
Pierre, applique alors un gel lubrifiant sur le plug et les bords de mon trou, n'ayant pas reçu la permission d'aller plus loin et entreprend d'introduire l'objet dans mon fondement. Je fais tout mon possible pour me détendre au maximum et à la surprise générale, mon œillet cède immédiatement et Pierre n'a aucun mal à introduire le plug en moi. Il s'en suit comme une décharge électrique foudroyante qui me parcours tout le corps, une sensation mêlée d'une intense douleur et de plaisir nouveau, une érection monstre quasi immédiate et moi qui avait lutté toute la journée pour ne pas me plaindre ou crier quand les coups pleuvaient sur mon cul ou gémir quand l'excitation atteignait son paroxysme, je ne peux arriver à réfréner un profond râle de plaisir intense.
-"Non mais regarde-moi ce petit enculé, vierge du cul? Tu parles, ou alors il était vraiment fait pour ça! Et écoute-le en plus, il aime ça!
-C'est du bon boulot mon grand, viens me baiser maintenant!
-Ah oui, t'as pas eu ton compte espèce de pute et maintenant il faut encore que je te baise! Et ma récompense alors, tu l'as oubliée?
-T'inquiète mon salaud, baise-moi bien mais surtout ne jouis pas.
Il la jette littéralement dans le fauteuil, son pieu est toujours bandé à l'extrême et pliant un peu les jambes il s'introduit en elle commence à limer sans ménagement. Je suis toujours dans la même position, la tête tournée vers mes hôtes et si ma posture est pour le moins inconfortable, elle me permet de les regarder sans rien manquer. Karine a relevé ses jambes jusque sur les épaules de Pierre, lui permettant de la besogner encore plus profondément. Elle se prend les 30cm en entier à chaque poussée et les imposantes couilles de son homme produisent un claquement sec quand elles percutent le fondement de Karine. Je me dis à cet instant qu'elle m'a quand même bien sauvé la mise cette cochonne, car je préfère voir cette bite monstrueuse dans sa chatte plutôt que la sentir dans mon cul. Karine ne tarde d'ailleurs pas à jouir une nouvelle fois à grand renfort des gémissements et de mots bien crus qui la caractérisent dans ces moments là. Pierre stoppe immédiatement sa besogne, mais reste en elle attendant qu'elle reprenne un peu ses esprits. Après un court instant, Karine encore toute à l'excitation de l'orgasme que son mec vient de lui offrir, le repousse doucement et Pierre se retire:
-"Que tu es beau et fort, une vraie machine à baiser! Et je t'aime comme une dingue pour ça. Alors maintenant viens, l'heure de ta récompense est arrivée. Tu vois, cette enfoirée de petite lope m'a giclé en pleine figure cet après-midi et j'ai goûté son foutre épais. Je veux qu'il goûte mon précieux jus à son tour mais je ne veux pas qu'il me touche. Et toi, mon grand, tu as encore sur ta queue ce liquide qui s'écoulait en quantité de ma chatte." puis s'adressant à moi, "descends de cette table tout de suite et mets-toi à genoux ici!"
Je me redresse donc immédiatement et après être descendu prestement de la table je m'agenouille à l'endroit indiqué par Karine me doutant quand même un peu de ce qui allait se passer. Le plug, toujours planté dans mon cul, me procure dans cette position une sensation incroyable et comme il est plus fin à sa base, il n'y a aucun risque que je l'expulse. Tout ça me laisse dans un état d'excitation extrême et je bande toujours comme un âne.
-"Voilà mon grand, ta petite lope docile est prête à t'accueillir. C'est ta récompense, je te l'offre, tu vas pouvoir lui dépuceler la bouche. Place toi devant elle, mets tes mains derrière ton dos et laisse-toi faire, surtout ne bouge pas. Je suis sure que cette belle salope saura bien s'occuper de toi."
Je n'ai jamais sucé de mec et ça elle le sait très bien. Je vais devoir me surpasser pour la convaincre définitivement que je serai en tout point à la hauteur de ses attentes. Ce que je ne m'explique pas, en revanche, c'est que je ne ressent aucune panique, aucun stress à l'idée de devoir prendre en bouche une verge si impressionnante. Mieux même, elle n'avait pas fini de parler que j'avais déjà empoigné les hanches de Pierre et commencé à lécher son gland d'une couleur violacée signe d'une excitation déjà bien avancée et inondé de la mouille de Karine. Je me décidai à l'accueillir dans ma bouche de suite, l'ayant déjà senti vaciller sur ses jambes lorsque je le léchais. Son souffle court trahissait aussi le fait que l'explosion n'était pas loin. Je l'introduisais donc dans ma bouche assez violemment, lui arrachant un profond soupir. Cette chair souple et dure à la fois, le goût de la mouille de Karine, tout cela ne provoquait en moi ni sentiment de dégoût ou de rejet. J'étais en train de m'apercevoir que je prenais dès la première fois du plaisir à pomper une bite de mec. Pourtant, vu la taille de ce membre, j'avais la bouche grande ouverte, ce qui me permettait juste de ne pas le blesser malencontreusement avec mes dents, et toujours agrippé à ses hanches je faisais des va et vient tantôt rapides tantôt lents essayant le plus possible de varier la profondeur de pénétration, j'aimais sentir son gland percuter mon palais ou bien même le fond de ma gorge. Puis je le ressortais pour lécher de nouveau ce gland qui me semblait si ferme et si moelleux à la fois. Je m'amusais presque de toutes ces découvertes, ne comprenant pas pourquoi certaines filles ne veulent pas sucer leurs hommes. Je sentais que Pierre prenait un pied dingue, et je repartais de plus belle, c'était incroyable cette queue dans ma bouche, je m'essayais même à faire deux ou trois aller retours rapides et à ne plus bouger en le conservant le plus loin possible au fond de ma gorge, jusqu'à pratiquement m'. Que c'était bon de lui donner tout ce plaisir, jusqu'au moment où:
-"Ahh, tu vas me faire jouir ma salope! Tiens, prends ça et avale tout, avale!"
J'eu alors le réflexe de me reculer un tout petit peu quand cette pine qui avait encore gonflé un peu plus en se raidissant à l'extrême juste avant l'éjaculation, se mit à déverser dans ma bouche plusieurs salves importantes de foutre chaud au goût âcre. Je finissai quand même par avaler difficilement tout ce jus. Pierre se retira de ma bouche. Karine quand à elle était affalée dans son fauteuil. Elle avait ce gode monstrueux dans la main qui montrait qu'elle s'était encore fait jouir pour la énième fois aujourd'hui, profitant du spectacle que je lui offrais quand je suçais son homme, avant de s'abandonner quasiment détruite. Pierre, comme plus tôt dans la soirée, resta un long moment à admirer le corps de sa déesse de l'amour, puis il sorti de la pièce sans un mot mais non sans m'avoir fait un petit signe de la main et adressé un sourire complice. De nouveau, le calme était revenu en lui. Je décidai alors de me diriger vers ma salle de bain, pris une bonne douche réparatrice et remarquais que la porte à double battants était fermée avant de me glisser dans les draps de satin du grand lit de cette magnifique chambre. Même le Plug toujours enfoncé dans mon cul n'arriva pas à m'empêcher de tomber dans un profond sommeil.

(à suivre...)

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