Le Deal

Je m'appelle Jo, logisticien dans une grosse entreprise de transports, quarante quatre
ans, divorcé, des revenus confortables et je vis seul dans une belle maison de la côte
bretonne.
Pierre est venu à ma rencontre et je le suis sur cette petite route en ce samedi
après-midi sous un soleil vendéen radieux, car même le meilleur GPS aurait été
incapable de me conduire jusqu'à cette superbe demeure construite au beau milieu d'une
forêt de pins.
Pierre a la quarantaine sportive et décontracté. Il est directeur commerciale dans une
multi nationale avec laquelle je travaille souvent. Il est d'ailleurs marié avec la
fille unique du grand PDG. Nous nous connaissons depuis deux ans et pour la première
fois il m'a invité pour le week-end, car il organise une partie de poker entre amis à
laquelle il aimerait que je participe. Nous avons en effet une passion commune pour ce
jeu. Et puis quand il a dit "je te présenterai ma femme", il y a eu soudain quelque
chose d'étrange dans sa voix qui m'a immédiatement fait penser que je ne regretterai
pas les trois heures trente de route qu'il me faudrait faire pour rejoindre les abords
des Sables d'Olonne.
Nous garons nos voitures et Pierre me dit d'un ton plus que solennel: "Suis-moi, je
vais te présenter Karine". J'emboîte le pas de mon hôte, une fois de plus intrigué par
le son de sa voix. Nous faisons le tour de la maison par un sentier dallé et
débouchons sur un immense terrain arboré, orné de massifs de fleurs du meilleur goût
et agrémenté en son centre d'une magnifique piscine. Et là double choc. En tout
premier lieu, au bord de la piscine, une femme allongée sur un transat, se dorant au
soleil. La qualifier de créature de rêve serait un euphémisme: 1m75, des courbes
parfaites, de longues jambes fuselées, une poitrine opulente qu'un minuscule maillot
de bain deux pièces a toutes les peines du monde à contenir, de longs cheveux châtains
très clairs et des yeux d'un bleu si profond qu'il est bien difficile de soutenir son
regard.

Le deuxième choc, c'est l'attitude de Pierre; ce grand gaillard d'1m90 si sur
de lui d'ordinaire, devient au contact de cette princesse des mille et une nuits, un
petit garçon qui perd tous ses moyens devant sa maîtresse d'école.
-"Jo, je te présente..."
Elle le coupe:
-"Laisse amour... je suis Karine. Pierre me parle très souvent toi. Oh, pourrons-nous
nous tutoyer? "
Et moi je suis là devant cette sculpture vivante et tout ce que j'arrive à dire c'est:
-"Pas de problème pour le tutoiement, c'est un plaisir, Karine."
Elle m'invite à prendre place sur le transat à côté du sien:
-"Amour, s'il te plait, veux-tu nous apporter quelque chose à boire?
-De suite ma chérie!"
Il réapparaît quelques instants plus tard avec un plateau de rafraîchissements. J'opte
pour une bière, Karine fait de même mais Pierre n'a pas le temps de se servir:
-"Au fait amour, j'ai oublié de te le dire tout à l'heure, je n'ai plus de cigarettes
pour ce soir. Voudrais-tu aller m'en chercher?"
Pierre paraît quelque peu contrarié mais s'exécute et disparaît promptement.
-"Tu sais Jo, les gens qui interpellent Pierre, qu'ils soient hommes ou femmes,
m'intéressent toujours au plus haut point." me dit-elle soudainement. Elle est
radieuse et tout à fait consciente de l'effet qu'elle produit sur les gens et en
l'occurrence sur moi à ce moment précis. Quelque chose me dit qu'elle a besoin de
beaucoup de jouets pour s'amuser et que je ne vais pas tarder à faire partie de sa
collection. Mais pour l'instant, je suis plutôt préoccupé par le fait que mon bermudas
ne trahisse pas trop tout le bien que je pense d'elle.
-"Dis-moi Jo, tu as l'air bien à l'étroit dans tes fringues. Mets-toi à l'aise, nous
sommes seuls ici.
-Mais si Pierre....
-Le premier bureau de tabac est à une demi heure d'ici!" me coupa-t-elle sèchement.
"De toute façon, ne t'inquiète pas pour Pierre et fait ce que je te dis".
Le ton de sa
voix était devenu dur et froid. Le genre de ton qui te fait penser que la punition est
proche. J'étais complètement subjugué et en même temps surexcité à l'idée des
évènements à venir. Jamais une femme ne m'avait fait bander comme cela, juste sur une
attitude, une phrase. Je décidai donc de ne plus discuter et me déshabillai
entièrement. Ce ne fut pas bien long, un tee shirt, des baskets et un bermudas, je ne
porte jamais de sous-vêtements, chose qui n'avait pas échappé à ses yeux experts. S'en
suit un moment de panique. Me retrouver dans cette situation en face de cette femme
sublime à laquelle, je le sais maintenant, il me serait impossible de refuser quoi que
ce soit. De plus je bande comme un âne et cela ne fait qu'ajouter à mon sentiment de
malaise. Je lui demande la permission de me rafraîchir un peu, elle acquiesce et je
plonge directement dans la piscine qui constia pour moi un refuge provisoire. Il
fait plus de 30° dehors et cette eau à 25 maxi est une vraie bénédiction. Je nage
quelques longueurs et sort pour rejoindre mon hôtesse. Ma bite s'est un peu calmée et
j'ai repris mes esprits. En m'allongeant sur mon transat, je m'aperçois que le maillot
de Karine a disparu et j'en conclue que ce bikini n'était là que pour faire bonne
figure à mon arrivée car je ne remarque aucune trace de bronzage sur ce corps
parfaitement épilé.
Le ton de sa voix est redevenu chaud et sensuel:
-"Ca va mieux Jo, ce rafraîchissement a-t-il été salutaire?"
Elle me rend dingue cette fille et je ne sais pas pourquoi je lui réponds:
-"Non, je ne suis pas trop calmé. Tu es tellement belle, parfaite, fascinante que je
ne m'autoriserai jamais à te toucher. En revanche, je pourrais me branler pour toi
pendant des heures ou bien faire n'importe quoi du moment que cela te fait plaisir."
Il s'en suit un moment de silence intense.
Je ne comprends pas comment j'ai pu dire
tout ça. Je suis somme toute un mec tout à fait banal et pas du tout habitué à ce
genre de chose.
Elle reprend:
-"Mais c'est parfait tout ça, Jo. Nous allons enfin pouvoir passer aux choses
sérieuses! Tu dis vouloir me faire plaisir, alors tu vas devoir devenir ma propriété.
Pierre a flashé sur toi dès votre première rencontre et pour moi, c'est un signe. Tu
sais, je l'aime d'un amour profond et il est également fou de moi. C'est un amant
formidable mais j'ai besoin de plus, de beaucoup plus. Je suis voyeuse,
exhibitionniste, dominatrice. J'aime être dominée à l'occasion. Crois-tu pouvoir être
la pièce manquante de mon puzzle?"
Je suis KO debout. Même dans mes fantasmes les plus inavouables, je n'aurais jamais
imaginé pareille situation. J'arrive juste à répondre:
-"Oui Karine, je serai à la hauteur".
Je ne contrôle plus rien du tout, je bois ses paroles, je dois être ensorcelé, je me
suis à peine aperçu que j'étais machinalement en train de me branler me procurant un
plaisir immense comme jamais auparavant, mais je me reprends et arrête tout de suite.
-"Non, ne t'arrête pas. J'adore regarder un mec se masturber, surtout si c'est pour
moi. Et puis quelle belle entrée en matière n'est-ce pas?" Elle continue:
-"Que les choses soient bien claires. Si tu acceptes de nous rejoindre dans cette
aventure tu ne seras là que pour mon plaisir. Pierre et moi recherchons quelqu'un
depuis longtemps et nous avons souvent été très déçus. Nous avons rencontré trop de
mecs et de filles incapables de dépasser leurs propres limites, de maîtriser ce qu'il
y avait de plus inavouable en eux. Le chemin sera long et difficile mais si tu
parviens à me combler et que Pierre est aussi heureux, tu pourras alors me posséder.
Ce sera ton ultime récompense."
Je n'en peux plus, je deviens complètement fou.
Je caresse ma queue avec frénésie. Je
suis là offert au regard bleu de Karine, offert à ce chaud soleil de juillet et même
offert à la terre entière si elle me le demande. Mais soudain:
-"Arrête immédiatement! Je ne veux pas que tu jouisses maintenant. La jouissance, tu y
auras droit quand je le déciderai. Tu vas apprendre le plaisir à retardement. Quand je
t'autoriserai à prendre ton plaisir, je ne veux pas assister à un orgasme de bas
étages, car je serai là pour te regarder et savourer le spectacle à chaque fois. Non,
je veux une explosion nucléaire à tous les coups. Maintenant suis-moi, je vais te
faire visiter la maison. Ah oui, j'oubliais.Tant que nous serons tous les trois ici,
pour toi, interdiction de porter le moindre vêtement. Je veux t'avoir à ma disposition
en permanence. Docilement, je m'exécute et la suit jusqu'à ce qui va être à n'en pas
douter l'antre de tous les plaisirs et de toutes les dépravations. J'en profite pour
essayer de remettre un peu mes idées en place, mais c'est impossible. elle est là,
nue, à un mètre devant moi, sa démarche est féline, ses mensurations parfaite et ce
cul!... Mais elle doit lire dans mes pensées:
-"Ne fantasme pas trop sur mon cul gros salaud! Pour l'heure, seul Pierre peut en
disposer. En ce qui te concerne, seul l'avenir peut dire ce qu'il adviendra. Mais
avant cela, j'ai bien d'autres projets pour ta queue. Tu vas être occupé à un point
que tu ne peux même pas imaginer."
Putain, comme j'aime quand elle me parle ainsi. Je ne sais pas trop ce qui m'attend
dans un futur proche mais je me sens déjà devenir sa chose; et Pierre dans tout ça?
Quel va être son rôle? Et puis peu importe. Tout ce que je veux à cet instant précis,
c'est arriver à satisfaire le moindre désir de cette maîtresse femme et être à la
hauteur de ses attentes même s'il me semble que la barre est déjà placée très, très
haut.
Nous entrons dans la maison par une des grandes baies vitrées. C'est une bâtisse de
600m2 en forme de V à 160°, agrémentée en son centre d'une tour ronde du plus bel
effet et orientée plein Sud. Tout à l'intérieur respire le luxe et la sérénité. Karine
me fait visiter toute la demeure, ouvre les portes unes à unes, sauf celle de la tour
ronde pour l'instant. Tout est beau et parfaitement à sa place. Je me sens euphorique,
mais avec toutes ces émotions et malgré les quelques longueurs dans la piscine je
n'arrive pas à me calmer vraiment et je souhaite être impeccable au contact de Karine.
Je demande donc à mon hôtesse, la permission de me doucher. Cette attention a l'air de
la toucher, elle accepte et me conduit jusqu'à une des deux chambres de la partie
Ouest. Elle communique par une porte à double battants avec celle de Karine et Pierre:
-"Inutile de prendre tes bagages. Il y a là de quoi subvenir à tous tes besoins durant
ton séjour. Tu dormiras ici et les portes seront ouvertes ou fermées selon mon humeur.
Tu devras être disponible pour moi vingt quatre heures sur vingt quatre quand tu seras
chez nous, ne l'oublie jamais". Je réponds avec un léger sourire approbateur. Ce
détail ne lui échappe pas et elle poursuit:
-"Tu peux maintenant aller prendre cette douche".
Elle m'accompagne jusqu'à la salle de bain qui est comme tout dans cette maison,
démesurée: grande baignoire à bain bouillonnant, douche muti-jets, double lavabo,
grands miroirs partout, porte serviettes chauffant, rien ne manque. Impossible de ne
pas rester des heures dans un endroit pareil. Karine a choisi elle-même tous les
produits d'hygiène corporelle. Elle souhaite que mon odeur soit celle qu'elle désire.
J'entre dans cette douche intégralement vitrée et à ma grande surprise Karine ne s'en
va pas et prend place en face de moi sur une chaise posée là. Elle croise ses
magnifiques jambes et me dit:
-"Montre-moi comme tu prends bien soin de toi".
Cet ordre provoque en moi un sentiment que je ne connaissais pas. Le fait qu'elle
veuille aller jusqu'à posséder mes moments les plus intimes me met dans un état second
et je commence à m'enduire tout le corps de ce gel douche aux huiles essentielles qui
me procure un bien-être immédiat et m'invite à m'exhiber pour celle qui sera désormais
l'unique propriétaire de ma personne toute entière. Je nettoie avec soin ma queue
complètement décalottée , en état d'érection comme jamais je ne l'avais vu. Je prends
tout mon temps en changeant de position de temps à autre de façon à offrir à Karine
les meilleurs angles de vue possibles. Elle n'y est d'ailleurs pas insensible,
puisqu'elle a déjà décroisé et bien écarté ses jambes offrant à mon regard sa superbe
chatte minutieusement épilée. Elle malaxe ses seins puissants pour faire se dresser
fièrement des tétons qu'il doit être plaisant d'exciter et de sucer jusqu'à la faire
hurler de plaisir. En même temps, elle masse son clitoris d'un mouvement circulaire
d'abord lent et régulier agrémentant ses caresses de petites tapes qui lui font
rejeter la tête en arrière. Elle sait se faire plaisir cette cochonne. C'est à ce
moment-là que je me retourne et offre à sa vue ce cul que je trouve trop petit et pas
assez rebondi à mon goût, mais qui, dans mes fantasmes les plus pervers serait bien
assez accueillant pour celle ou celui qui saurait le conquérir. J'entreprends donc le
nettoyage méticuleux de ce cul offert à Karine et bien que je lui tourne le dos, un
grand miroir pas encore embué, placé dans le fond de la douche me permet de mesurer
l'effet que je produit sur cette femme, qui est maintenant en train de se lâcher
totalement et devient la salope lubrique dont tous les hommes ont rêvé au moins une
fois dans leur vie. Elle est maintenant assise sur le grand plan entre les deux
lavabos. Elle a ramené ses jambes à elle, ses cuisses sont écartées au maximum, ses
pieds se calant sur les rebords de chacune des vasques. Elle a délaissé son clito pour
se doigter copieusement. D'abord avec la main droite, un, deux, trois, puis quatre
doigts dans un mouvement de va et vient d'une violence inouïe qui lui arrache des
gémissements de plaisir non feint. Sa chatte est déjà complètement dilatée et elle
recommence la même opération avec sa main gauche pendant qu'elle suce les doigts de sa
main droite pour goûter ce jus que s'écoule maintenant abondamment de son minou
martyrisé. J'en arrive presque à oublier ma toilette:
-"Jo! Espèce de gros enfoiré de mateur! Tu vas finir de me le nettoyer ce cul oui?"
Elle n'est pas croyable cette fille. Elle était si classe et si posée, il y a un
instant et l'instant d'après si vulgaire, une sorte de chienne lubrique prête à tout
et n'importe quoi pour assouvir son insatiable désir sexuel. Je reprend donc mon
travail de nettoyage, mais pour contrebalancer toute la violence de ce qui est en
train de se passer derrière moi, c'est en douceur et lentement que je frotte mon cul
consciencieusement, puis, posant le gant de toilette je commence par me cambrer
légèrement et écarte mes fesses pour laisser apparaître ce trou luisant de gel douche,
inviolé jusqu'à ce jour. A la vue du spectacle que j'offre à mon hôtesse, tout
s'accélère pour elle:
-"Espèce de salaud pervers! Tu fais ton show, hein? Tu m'offres ton cul, mais tu
restes bien à l'abri dans cette putain de douche! T'inquiète mon grand, je t'enculerai
un jour!"
J'ai compris que si je reste impassible et que je continue comme si de rien n'était,
cela décuplait son plaisir. Je décide donc d'ignorer ses insultes et ses promesses qui
je l'espère au fond de moi, ne resteront pas sans suite. Je suis pourtant dans un état
d'excitation extrême. Je sens que je pourrais éjaculer à tout moment même sans toucher
ma bite. Je commence à me rincer abondamment et me retourne pour que ces jets me
procurent un massage bienfaisant dans le dos quand soudain:
-"Non espèce de sadique! Ne te retourne pas, je veux encore mater ton cul! C'est pas
au moment où je vais peut-être jouir que tu vas me retirer ce spectacle de la vue."
J'hallucine à la vue de ce qu'elle propose maintenant. Ses doigts ne suffisent plus,
elle est en train de se fister la chatte cette salope. Elle est carrément en transe,
sa tête se balance dans tous les sens, droite, gauche, avant, arrière, ses yeux
révulsés, inondés de larmes de jouissance. Bordel, elle est encore plus belle comme
ça:
-"Tu vas te retourner oui? J'ai dit que je voulais encore mater ton derche! Et Pierre
qui n'est toujours pas rentré! Je voulais qu'il me fiste le cul celui-là! Ca t'aurait
fait bander ça, hein mon salaud? Me regarder me faire fister le cul et la chatte en
même temps! Tu la connais pas encore Karine, mais crois-moi, tu vas apprendre à la
connaître!"
Elle a le souffle court, ses gémissements se font de plus en plus sonores. Je suis
stupéfait et ébloui. Cette fille est une véritable bête de sexe, et étrangement j'ai
le pressentiment qu'à ce moment-là, elle n'arrivera pas à atteindre l'orgasme si je ne
fait pas quelque chose. Je me retourne alors de nouveau:
-"Oui c'est ça cambre-toi bien et montre-moi encore ce trou que je ferai mien très
bientôt."
J'écarte de nouveau lentement mes fesses mais cette fois bien plus largement, offrant
une vision bien plus précise à ses yeux d'experte:
-"Mais dis-moi mon cochon, tu es vierge du cul toi. Je vois bien que ce trou n'a
jamais été travaillé. Il était grand temps que tu viennes voir Karine. Quel gâchis, tu
n'as pas honte à ton âge? Ca veut jouer dans la cour des grands et je suis sure que tu
ne t'es même jamais collé un doigt, alors un gode ou une vraie bite, je t'en parle
même pas!"
Le pire, c'est qu'elle a parfaitement raison. J'ai toujours voulu garder mon anus
intact car je considérais la sodomie comme le fantasme ultime en rêvant de trouver
quelqu'un qui, un jour, pourrait m'aider a l'assouvir. J'en viens à douter du fait
qu'elle puisse croire que je serais la personne idéale pour étancher sa soif de sexe.
Alors, je ne sais pas ce qui me prend et d'un seul coup je m'assène deux violentes
claques de chaque côté de mon cul. La réaction est immédiate:
-"C'est mieux ça espèce de lope refoulée! Fais rougir ton cul pour moi et ne fait pas
semblant! Des séries de dix de chaque côté et compte bien les coups pour ne pas en
oublier, je veux t'entendre!"
Immédiatement, je met cet ordre à exécution, pendant qu'elle reprend son fistage en
règle. Les séries s'enchaînent, dix à gauche, dix à droite et je compte à voix haute
consciencieusement. La séance me paraît durer une éternité, je frappe du plus fort que
je peux dans cette position et bientôt je ne sais plus si ce sont mes mains ou mon cul
qui me font le plus mal. Mais je n'arrêterai pas pour tout l'or du monde tant q'elle
ne me l'aura pas demandé. Elle est toujours là derrière moi, une main dans la chatte
et l'autre qui martyrise son clito. Son souffle est de plus en plus court, ses cris de
plus en plus forts et aigus et soudain un autre cri encore plus sonore, comme une
réaction à un frisson extrême, comme si une décharge de dix mille volts lui parcourait
tout le corps. Elle vient de s'offrir un orgasme d'une belle intensité mon hôtesse. Un
sentiment de fierté me fait penser que j'y suis un peu pour quelque chose. Je termine
donc cette énième série de claques et me redresse un peu n'entendant plus de bruit.
Surprise, Karine a disparu sans rien dire, s'étant sûrement retirée dans sa chambre.
Je me sèche donc et je sors en ayant pris soin de m'asperger un peu de cette eau de
toilette de luxe posée sur une étagère. Personne dans ma chambre, je n'ose pas frapper
à la porte de la sienne et sors vers le salon. Personne non plus, je décide donc de
sortir et prends possession d'un confortable sofa à l'abri d'une tonnelle sur la
grande terrasse. De cette façon, je pourrai me positionner légèrement sur le côté, mon
cul étant encore assez sensible. Je pense d'ailleurs qu'il n'est pas prêt de perdre
cette couleur qui se rapproche plus du violet que du rouge, vu le nombre de coups
qu'il a reçu.

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