Homme À Femmes ?...

Quand on a 17 ans, et qu’on est un jeune homme, on jette un œil coquin sur les jolis courbes féminines qui passent à porté de regard, … on fantasme sur la jeune poitrine de sa voisine de classe, …on rêve de parcourir de la main, des chevilles jusqu’à la chevelure, la jolie blondinette du premier rang, …on embrasse en rêve les plus belles filles du lycée, … quand on a17 ans, on a les hormones flamboyantes, mitraillé de toutes part par des images de nanas toutes plus désirables les unes que les autres,… le cerveau sous la coupe du charme féminin, … le désir vous mène, le désir vous fait chavirer d’un simple clin d’œil , … à la vue de deux beaux seins qui s’animent sous un chandail d’été, que même les rayons du soleil se permettent de courtiser. ..quand au détour d’une rue saisi, happé par le sillage d’une beauté qui déboule, , vous laissez vos yeux se repaitre du joli postérieur qui oscille majestueusement devant vous, le regard figé, conquis par la grâce, pétri d’admiration devant l’assurance de cette donzelle qui se sait ravissante et qui d’une œillade a compris qu’à ce moment précis, vous vous damneriez en échange d’un baiser.

Marc aussi, comme les autres, était bien souvent la victime consentante et troublée des choses de l’amour. Mais chez lui, les visages qui lui faisaient tourner la tête, avaient pour prénom Alain, Steve ou Stéphane.

Il n’en avait jamais parlé, mais avait l’impression que tout le monde l’avait deviné.
Il gardait tout pour lui. Ses coups de foudre ses peines de cœur, ses mélancolies.
Bien fait de sa personne, il était fréquemment entouré de nanas plus que jolies. Il fallait répondre aux sollicitations, au moins par un sourire, aux minauderies que lui réservaient ces jeunes filles en fleurs. Parfois, au cours d’une soirée, une jeune beauté jetait son dévolu sur sa personne, et il finissait par lui offrir un ou deux baisers dont il avait le secret. Il la laissait s’aventurer sous sa chemise, afin qu’elle palpe un peu ses pectoraux, la jeunette s’en trouvait toute retournée, mais cela n’allait pas plus loin.



L’amour de sa vie habitait à deux rues de chez lui, et portait le doux prénom de Julien.

Julien était un garçon pulpeux, doux et sublimement proportionné. Ni grand, ni petit, ni efféminé, ni outrageusement viril. Les traits fins, son visage n’avait rien à envier au plus joli minois féminins, un garçon d’une grâce saisissante qui avait foudroyé Marc dès leur première rencontre.

Julien de son côté semblait être à l’aise avec tout le monde, et ce tout le monde le lui rendait bien.
On était bien avec Julien, sa compagnie était agréable, réconfortante autant que son physique était délicieux. Accompagné de filles splendides, les tentations étaient fréquentes, les filles gloussaient sur son passage et succombaient régulièrement. Julien avait le sexe facile.

Un soir, Marc avait surpris Julien en bonne compagnie, avec une belle métisse derrière le gymnase du lycée et cette vision avait mis le feu à ses sens. La boule au ventre, à l’abri des regards, il avait observé les jeunes amants et de ce spectacle, il en avait tiré autant d’amertume que de plaisir. Son sexe s’était réveillé et réclamait le flux sanguin qui lui était dû. Torturé par cette dilatation devenue bien encombrante, mais trop captivé par cette scène d’un érotisme torride, de ces jeunes amants qui ne vivaient plus que par le plaisir qu’ils se donnaient.

C’était terriblement beau ! Erika vivait ce moment d’extase presque violemment.
Elle lui mangeait la bouche avec passion, et prenait un plaisir obscène. Leurs lèvres soudées, leurs jolis nez qui se cherchaient, mélangeant leur parfum intime, qui se croisaient, se
frôlaient, en changeant de côté, puis s’épousaient à nouveau, chair contre chair avaient fini de
mettre Marc à genoux, le sexe battant contre les paroies de son jeans.
Les mains moites et le souffle court, il ne perdait plus une miette des attitudes de Marc qui se
laissait butiner, s’offrant à la belle.

Erika s’en détachait parfois et lui lapait la bouche de sa langue, que l’on devinait belle et longue. Erika semblait nettement plus expérimentée et clairement menait les débats.
Ses mains baladeuses fouillaient Julien littéralement, se glissant sous son teeshirt puis allait
visiter son entrejambe sans gêne aucune. Julien paraissait presque abusé malmené par cette
belle métisse qui prenait son plaisir sur lui, le dégustant frénétiquement.
Plaisir virtuel ou réel, Marc était devenu Erika l’espace d’un instant, avait transposé
la scène à sa manière, subitement jaloux de cette belle nana, il avait pris sa peau, s’efforçant
de deviner, de ressentir, de recevoir de gouter, garçon contre garçon, ce merveilleux
plaisir qui l’envahissait.

Pourquoi n’aurait il pas le droit d’être à sa place ? Son désir, était immense à lui aussi, et il
rêvait de ce corps, de ce visage, de ce mignon, toutes les nuits, il en était sûr maintenant, il pourrait donner autant de plaisir à Julien, que ne pouvait le faire Erika.

Puis il y eu cette soirée, où ils sympathisèrent vraiment. Au milieu des rires et des bavardages, les regards des deux garçons se firent plus appuyés, Julien semblait apprécier la présence de Marc. Une complicité s’installait au gré des alcools qu’ils s’offraient.

Tant pis pour sa réputation, son amour était trop fort et le poussait à agir.
Il fallait tenter quelque chose, ou il le regretterait toute sa vie.
Profitant du nombre, du flot des convives qui déambulaient, se frôlant, se frottant sans en
avoir vraiment conscience, Marc avait posé une main timide sur le fessier de Julien… cela
avait duré quelques secondes et avait laissé marc sans voix, troublé, mais nullement fâché,
son visage exprimait l’étonnement, s’était troublé un instant, puis il avait retrouvé ses esprits,
- ba Marc, qu’est ce qui t’arrives, avait-il juste rétorqué, tu pelotes les mecs maintenant ?
y a longtemps que tu n’as harponné une nana ?
Marc lui avait juste répondu à voix basse :
- Non, c’est que tu es vraiment très à mon gout, tu me plais, j’irai bien te servir
le petit déj demain matin !

Et là, il y eu un vide, Julien réalisa que le geste de son ami avait été murement réfléchi et qu’il
ne tenait qu’à lui, Julien, d’y donner une suite favorable.
Il ne pouvait plus feindre de ne pas
avoir compris, La balle était dans son camp !

Ils avaient pas mal discutés, sans trop se regarder, un peu gênés, en évitant les sujets .. . chauds
Julien avait perdu sa quiétude habituelle, sa volubilité qui faisait son charme auprès des filles.
Il était surpris d’être ainsi troublé par geste qu’avait osé Marc à son encontre.
Les deux garçons ne dirent plus rien, ils se dévisagèrent, longuement, et Marc lança
doucement :
« tu veux qu’on essaie quelque chose tous les deux ? »
Marc était devenu blanc !
J -« je … » puis plus rien.
Marc avait enchainé :
M – « Je t’ai aperçu l’autre jour avec Erika … tu embrasses à merveille.
- T’es vraiment canon comme mec ! il faut que tu comprennes que tu intéresses autant les
garçons que les filles, tu as de la chance, tu peux choisir, un jour une fille l’autre jour un gars !
Ce soir j’aimerais bien que ce soit moi !Tu peux me faire ce cadeau »

Julien était resté sans voix, séduit, une telle déclaration ?!… Marc était beau mec à l’évidence,
et se sentir désiré par un garçon, c’était nouveau. La crainte était passée, l’alcool l’avait désinhibé, il se souvenait que certaines nuits, quelques rêves érotiques l’avaient perverti, poussé dans les bras d’un beau mâle jusqu’à la jouissance.
Il avait envie d’essayer ! Voir une autre verge que la sienne, de prêt … oui ça lui disait.
– Tu viens chez moi je t’invite ? » lui avait lancé Marc.
– je veux bien, mais tu sais, il va falloir que t’assures, t’es sûr de toi ? Fanfaronnait-il
– t’inquiète !
Julien lui lançait quelques pics humoristiques pendant tout le chemin du retour mais au fond,
il n’en menait pas large …pour lui, si la rencontre se faisait …ce serait une première …

Les deux garçons pénétrèrent dans l’appartement, Marc referma la porte derrière lui,
Julien se retourna vers Marc, lui adressa quelques compliments sur la déco, et ne put pas en
dire beaucoup plus.
Marc s’approcha, passa une main derrière la nuque de Julien, et lui prit la
taille de l’autre. Julien se recula, surpris, mais Marc guidé par son désir devança la surprise de
son ami, et les lèvres se nouèrent. Les deux mains de Julien tentèrent de repousser son
assaillant. Mais sa défense sembla bien timide Il ne s’attendait pas à être de sitôt entrepris de
la sorte, déstabilisés, les deux garçons s’affalèrent sur le canapé, les corps se détachèrent un
instant et Marc sans lâcher la ceinture du pantalon de Julien, d’un coup de reins puissant ; le fit
rouler sur le tapis, puis le couvrit de son corps, coincé entre la table basse et le canapé, Marc au dessus.
Julien ne pouvait plus désormais qu’accepter les assauts de son ami.
Les bouches se retrouvèrent et julien se senti littéralement pénétré par la langue de Marc.
Hummm !hooooo …
- Marc que fais-tu ? je pensais que tu blaguais, que c’était pour rhummm nooon …

Puis on entendit que des bruits de bouche, de sucions, de fortes respirations, ponctuées de
courtes plaintes invitant le plaisir à vous prendre davantage. Ils restèrent 10 bonnes minutes à
se lécher se respirer les narines se sonder se palper, ainsi dans cette position, seul Marc pouvait
laisser s’exprimer son instinct et son bassin ondulait de façon explicite somme pour indiquer à
Julien qu’il se faisait prendre … oui prendre comme une femme et que si leurs vêtements
n’avaient pas fait rempart, Julien aurait déjà gouté le membre de Marc, au plus profond de son
intimité.
Pour Marc, l’instant était inoubliable, ce garçon tant désiré, si beau, il s’en délectait enfin, se
gorgeait de son haleine, de sa beauté, de ses soupirs, embrassait ses cheveux, son cou, ses
oreilles, goutait sa bouche, suçait sa langue dès qu’il le lui permettait, Marc se régalait.
Julien lui, avait accepté la fougue de son amant, offrait son Corps en pâture à cet homme qui le
désirait follement, submergé par l’émotion, ému et fier d’être l’objet d’autant de désir.
Il avait accepté l’orgie amoureuse, et lui aussi, s’agrippait à son amant, accompagnant de ses
mains les ondulations du bassin de Marc, comme pour lui dire,
: - oui vas y, oui continue, couvre moi de baisers, je ne savais pas que c’était si bon.
Marc s’était calmé un instant pour glisser à l’oreille de Julien
- Tu as déjà sucé une verge ?
- Tu sais très bien que non … embrasse moi encore!
- Attends tu vas gouter autre chose …
En quelques secondes Marc avait défait sa ceinture, et de son split, jaillit un morceau de queue impressionnant. Julien ouvrit des yeux, rond comme des soucoupes !
- ouah … dis donc … comment tu ….hou là …c’est … c’est gros ..
Julien se senti quelques peu infantilisé devant cette marque supérieure de virilité.
Il n’aurait jamais pu imaginer, en se levant ce matin, que le soir même, il se trouverait possédé par un jeune mâle qui lui mettrait sous le nez son désir, sous la forme d’une superbe bite, délicieusement dessinée, arquée à souhait, et dont le gland laissait maintenant s’échappée quelques coulées de lubrifiant naturel. Une goute de rosée odorante que Julien avait une soudaine envie de gouter.
- Marc tu m’impressionnes .. je suis à toi fais moi l’amour comme tu veux.
- Alors qu’attends tu ? … … lèche ... allez lèche !
Julien se saisit délicatement du membre dilaté, encore un peu surpris, presque vexé, de sentir sa main se remplir aussi copieusement de la chair d’amour que lui présentait Marc.
Il déposa sa bouche émue, timide sur son bout, fit le tour du gland de ses lèvres, puis l’engloutit goulument repoussant de ses lèvres le restant de prépuce qui l’ornait. Puis il s’appliqua … de sa langue, de ses lèvres, de sa salive qui s’était considérablement épaissie, il fit des merveilles. Marc se mit à râler. Ce qui flatta Julien qui s’activa de plus belle. Les deux hommes de se quittaient plus des yeux. Julien, les narines grandes ouvertes cherchant l’oxygène que ne pouvait plus lui fournir sa bouche, se délectait du plaisir qu’il offrait à son maître d’amour. Le plaisir de Marc devenait difficile à contenir, et Julien devait maintenir l’engin de ses deux mains afin qu’il n’aille pas se ficher tout au fond de sa gorge.
- Julien !!! je .. je suis le plus heureux des mecs ! … tu es beau Julien … tu es d’une très grande beauté … tu lèches trop bien .. je ne vais pas tenir … c’est trop !... oui … encore ! … oui … ouiii …
Il fallut bien respirer, et Julien dut repousser le membre fou de sa bouche. L’effet de succion que ses lèvres provoquèrent en se dérobant, sonnèrent la fin des ébats. Ces belles lèvres, amoureuses et lubrifiée à souhait, eurent raison du gland de Marc. La giclée fut impérieuse, de belles gerbes allèrent s’échouer dans la chevelure brune de Julien, puis une autre, puis encore une autre qui s’abattit sur son nez sur sa bouche qu’il avait gardé grande ouverte, émerveillé par l’orgasme dont il était témoin. Une offrande copieuse que Julien acceptait comme une preuve de l’intense émotion qu’il venait de provoquer à cet homme qui se vidait sur sa jolie frimousse.
Hoooooooooooooooo Julien haaaaaaaaaaaaaaaa Julien …. Tu es beau, tu es bon !!!

Marc mit du temps à récupérer. Julien, docile et heureux, se laissait envahir par le souffle de
Marc, parfumé de senteur enivrante. Ils s’étaient à nouveau collés, bouche contre bouche, le
sperme de Marc se mêlait à leur salive, mais ils continuèrent encore à se bécoter longuement, doucement, amoureusement … à se caresser.
Puis Marc, affaibli par l’orgasme finit par s’assoupir, blotti contre son amant, la conquête de sa vie.

Julien, lui, avait gardé sa semence, mais s’était enrichi d’une émotion magnifique, sublime.
Il ne s’était pas dévêtu, avait préservé son intimité et se sentait presque redevable.

Demain il se dévoilerait davantage, …il s’offrirait totalement . . . un désir tout neuf était né.
Il n’avait plus qu’une envie … lui offrir son anus.

Scorpion.

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