La Culotte

jpj, 9/2012

Ma voisine habite sur le même palier. Elle est conviviale. Je veux dire par là qu'elle est toujours à te dire bonjour comment ça va et à essayer de faire copine. Ce jour là, va savoir pourquoi, je l'ai laissé rentrer chez moi.
Je devais partir en fin d'après-midi pour Cogolin. Le père de mon copain devait passer me chercher en voiture. Mon sac était prêt et je revenais d'acheter une robe. Je me réjouissais de l'essayer et la voisine tombait à pic pour faire public.
Je l'ai collée dans mon canapé-lit jaune avec un coca et je suis allée passer la robe.

J'arrive dans le living, je tourne, je fais la belle, je passe et je rapasse, sûre de mon effet.
La robe est claire, presque blanche. C'est l'été. Il n'y a pas vraiment de haut mais deux pièces en triangle qui cachent les seins et tiennent au cou, avec un grand nœud de bretelles qui pendent ensuite dans le dos. Encore un lien avec un nœud à la taille et dessous la jupe en corolle légère.

Des robes comme ça j'en ai déjà eu plein. Elles me vont bien car j'ai des seins pas très développés, larges mais peu proéminents. En deux mots je ne porte jamais de soutien-gorge car je n'ai rien ou pas grand chose à soutenir. Ca ne me chagrine pas car les garçons aiment bien mes seins larges et plats. Mais c'est vrai que mes tétons sont inexistants et le restent toujours, même quand je suis super-excitée. Et ça c'est dommage.
Mes hanches sont larges, ma taille fine.
La ceinture de la robe est nouée par coté et pend jusqu'au genou. La corolle est coupée d'une pièce, sans couture. Elle est prés du corps aux hanches puis s'ouvre en grandes ondulations jusqu'en bas.

La voisine me dit, la culotte, on ne voit que ça. N'as-tu pas des culottes « chair », cette culotte blanche ne va pas. En plus elle est immense. N'as tu pas des strings normaux ?

Non je n'ai pas de string. Ca ne me convient pas. Ca me rentre dans les fentes et quand je marche je suis mal à l'aise à mouiller sans arrêt.

La voisine rougit et me dit,moi je mets des strings rien que pour ça, parce qu'ainsi je me sens vivre... et ça me plait d'être trempée même sans garçon. Elle me dit, ta culotte elle est comme celle de ma grand mère. T'es pas branchée.

Bon, j’admets que si on voit ma culotte, c'est pas convenable et que ça ne la fait pas. Mais quoi, une culotte, c'est normal d'en avoir une. Qui n'en n'a pas ?

Elle me dit, si tu n'as pas de culotte couleur chair, je vais t'en prêter une, et elle file chez elle. Elle revient avec un cache-sexe de danseuse de cabaret, minuscule avec 2 ficelles à te scier le fondement en deux suivant le pointillé. Non seulement la dentelle ne pouvait rien cacher mais encore, c'était si petit que ma belle chatte charnue et velue aurait dépassé des trois cotés à la fois.

Moi je veux bien qu'une grande culotte blanche soit pas très classe sous une robe d'été mais quoi faire d'autre ? Moi, j'ai de belles fesses, ça veut dire une belle culotte bien pleine, non ?
Elle me dit, regarde dans Elle, les filles ont toutes des culottes qu'on voit pas. Mais en vrai, les filles dans Elle, si on voit pas leur culotte, c'est tout simplement parce que, pour la photo, elles l'enlèvent, pardi.

Alors j'ai dit à la voisine, voilà j'enlève ma culotte. Et je tourne et je retourne. La voisine, ma nouvelle amie, me dit : approche, viens près de moi.
Et alors elle remonte la main entre mes cuisses et elle me dit, pardi t'es pas rasée, pas étonnant qu'on voie ta touffe noire... Elle en profite pour me mettre un doigt jusqu'au nombril.
Elle ressort sa main de dessous mes jupes et la voilà qui suce son doigt, l'oeil gourmand. Elle dit, tu vaux un macaron. Comme ils disent chez Michelin, mérite le détour.
Bon, c'est pas tout, ça. T'es bonne à humer et à lécher mais ton gazon n'est pas présentable ! Et en plus avec cette robe on voit que ça dans le soleil. A Cogolin ou à Saint-Trop ils vont se foutre de toi.

Elle me dit, te faut passer à la douche, je vais t'aider.
T'as un rasoir ? T'as de la mousse ?
Elle file chez elle et revient entièrement équipée.
On va dans ma baignoire et je fais couler l'eau chaude. Elle me fait assoir nue au bord et me barbouille de mousse. Elle en profite pour me tripoter, je sens bien qu'elle aime ça. Un moment je lui dis, c'est tout de même pas nécessaire de m'enfiler ton grand doigt à fond dans le cul pour raser ma touffe. Elle me dit c'est vrai mais ton petit trou est un vrai bonheur à visiter avec toute cette mousse.
Va, quand on en aura fini avec toi, je te laisserai me toucher et me sucer à ton tour.
Moi je suis pas très partante pour la sucer. C'est quand même qu'une voisine...
Et puis ça fait longtemps que je suis passée aux garçons. Depuis les pyjamas parties du lycée je n'ai plus été avec des filles, j'ai tout oublié.

La voisine n'a rien voulu savoir pour me laisser faire moi-même l'opération. Elle disait, c'est ma mousse, c'est mon rasoir, c'est moi qui le fait. Et moi je pensais, c'est quand même ma touffe et ma fente à moi et pas les siennes...
Avec l'eau et le rasoir la voisine a tout déblayé en quelques passages. On voyait qu'elle avait la main.
Elle a même enlevé les longs poils que j'ai aux bords de la fente et que j'aimais tant titiller. J'étais désespérée, ma chatte était comme l'abricot de mon adolescence. Je n'oserais plus me présenter à mon copain.

Elle m'a dit, bon maintenant tu sors, tu te sèches et tu remets ta robe qu'on voie ce que ça donne.
Elle était contente : c'était parfait, on ne voyait plus rien, même devant la fenêtre.
Et moi j'étais deux fois toute nue. Sans ma culotte et sans ma touffe. Je me sentais drôle et je n'osais pas marcher. J'avais envie de serrer les cuisses, de croiser les jambes.

Elle me dit, ça m'a fait pareil la première fois que je me suis rasée. Mais j'ai mis mes boules et ça a passé. J'ai demandé, quelles boules t'a mises ? Elle me dit, mes boules de geisha.
Je ne savais pas ce que c'était. Elle a encore filé chez elle pour les chercher. Elle m'a dit, va, je vais te les mettre. Elle m'a fait assoir sur le canapé, m'a pourléché avec délicatesse le bulbe et m'a envoyé sa langue dans les profondeurs. C'était plutôt sympa et faut reconnaître qu'elle savait y faire. Puis elle a sorti d'une grosse boite genre écrin à bague de fiançailles tapissé de velours rose, deux boules en fer brillant attachées ensemble par un fil noir. Elle a mis les boules dans sa bouche. Quand elles ont été bien enduites de salive, elle les a poussées en moi l'une après l'autre, en remontant jusqu'en haut. Ses deux doigts en profitaient au passage pour me toucher les replis roses et me titiller la languette.

Je n'étais pas mécontente. La voisine, en pas longtemps, m'avait montré plein de trucs que j'aurais jamais imaginé qu'on pouvait faire. Et en plus on voyait bien que ça la branchait de me montrer.

Elle m'a dit, maintenant lève-toi et marche. Et tache de pas les perdre.

C'était pas facile. Fallait y penser sans arrêt sinon les boules filaient vers le bas et voulaient ressortir par la fente. Mais avec un peu d'application j'ai compris comment les garder en haut de mon ventre.
Juste fallait pas oublier de s'en soucier. Quand je marchais, pas de problème, une sorte de grelot à l'intérieur des boules sonnait sans arrêt et je ne pensais qu'à ça. Assise, j'oubliais, et la première boule soulevait la languette pour passer la tête au balcon. Alors, je faisait remonter la deuxième d'un coup et elle tirait l'autre pour la faire revenir à l'intérieur.

C'était magique, je ne pensais plus du tout à ma nudité nouvelle et je me régalais de ce nouveau jeu.

Je dis à la voisine, mais alors pour baiser ? Parce que si mon copain il trouve la place prise, il va râler.
Elle m'a dit, tu sais, tu les enlèves juste avant, tu les fait sucer à ton copain pour bien les nettoyer et tu les ranges dans la boite.
Tu verras, il en bandera encore plus dur.

Cette voisine était épatante. Néanmoins je n'avais aucune envie de lui voir sa zigounette ou de la sucer. Les grelots dans mon ventre occupaient mes pensées et je me demandais si ça s'entendait de l'extérieur. En tous cas, elle avait raison, je ne pensais plus à ma culotte.

On a sonné à la porte et il a fallu y aller. En descendant l'escalier j'ai cru que les deux clochettes de mon ventre sonnaient la grand messe et j'ai eu peur qu'elles s'échappent et tombent sur une marche.
Mais tout s'est bien passé, j'ai pris mon sac, fait une grosse bise à ma nouvelle amie et suis montée dans l'Audi du papa de mon copain. En route pour Saint-Tropez.

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