La Culotte De Cathy

- Tu m’as ramené la perceuse fit mon collègue alors que je franchissais à peine la porte du bureau en ce vendredi matin.
- Oh merde ! Fils-je désolé, j’ai complètement oublié. Excuse-moi.
- Moi qui voulais profiter du week-end pour mettre les éléments contre le mur.
Étant très embarrassé par la situation, je me devais de trouver une solution au problème. Il me fallut seulement quelques secondes pour la trouver. Je lui proposais d’avancer le déplacement du lundi à aujourd’hui. Qui consistait d’aller chercher une commande de bouteille de champagne. Comme ça je ferai un décrochement jusque chez moi et par la même occasion je récupérerais la perceuse. Et le tour était joué. Il avait bien sûr accepté le deal.
Quelques kilomètres plus loin, je stoppais le camion sur le parking proche de chez moi. Comme j’avais avec moi Pascal le stagiaire je l’ai invité à prendre un café. À peine arrivé sur les lieux il m’a demandé si il pouvait emprunter mes toilettes.
- Oui bien sûr ! Tu connais le chemin, à présent.
Ce n’était pas la première fois que je l’emmenais à mon domicile. Alors qu’il prenait le chemin de la salle de bains, je pris celui de la cave, passant par la terrasse. Je me trouvais vite devant un dilemme. Une porte qui a l’accoutumait était toujours ouverte il se trouvait qu’aujourd’hui elle était verrouillée. Je mis ça sur la distraction de ma femme. Je n’avais plus qu’a retourné aller chercher la clé.
Et alors que j’arrivais à la hauteur de la lucarne qui donnait sur la salle de bains, je surpris mon Pascal humant un slip de ma femme. Il était tellement occupé sur son méfait qu’il ne s’apercevait même pas de ma présence. En regardant plus bas je surpris sa main en train de frotter son érection à travers la toile du pantalon. Je ne pus résister de toquer à la vitre. Insouciant, je reproduisais mon geste. En toute quiétude, je le vis tourné la tête de mon côté et ce fut alors là, en me voyant, qu’il lâcha le trophée qui allait s’écraser à ses pieds.

Il était temps pour moi d’entrer. J’étais dans la cuisine quand il vint me rejoindre.
- Alors ?
- Alors quoi ?
- Elle sentait bon la culotte de ma femme.
- Ce n'est pas ce que tu crois.
- À oui ! Parce que tu sais ce que je crois… toi ?
- Bon… bon, je l’avoue.
- Oui… je préfère cela, répliquais-je.
- Oui… j’étais en train d’humer la culotte de ta femme, mais c’était sans arrière pensée.
- Tu oublis sans doute de me confesser que cela n’est pas la première fois, je me trompe ?
- Oui, tu a parfaitement raison.
- Tu es amoureux de ma femme ou quoi ?
- Je ne sais pas…
- Tu ne sais pas, où tu ne veux pas me le dire.
Je me surpris alors de lui proposer une drôle de chose.
- Va chercher la culotte de ma femme, je te la donne. Elle te tiendra compagnie dans ton lit ce soir. Après, viens me rejoindre dans le salon, veux-tu ?
Pendant ce temps là, j’allumais la télé et allais jusqu’à ma cache secrète. La même où j’avais stocké quelques cassettes que je dirai coquines. Je lis les titres et pris celle où est marqué « salle de bains ». Pascal avait fait son entré. La culotte en main. J’introduis la cassette dans le magnétoscope et invitais le stagiaire à prendre place sur le divan.
Après quelques images brouillées, ma femme Cathy fit son apparition à bord de sa baignoire. Elle se savonnait consciencieusement les seins. Puis son ventre dodue, et enfin sa chatte poilue. Derrière l’écran, le savonnage avait laissé place à une masturbation. Cathy c’était même permis une pose obscène en posant un pied sur le rebord de la baignoire. En gros plan, on distinguer nettement ses doigts s’activaient dans son antre. Avant d’exhiber à l’objectif un clitoris bandé, qu’elle tenait entre deux doigts. Puis vint le tour de son anus d’être présenté. Où, elle y inséra son index dans son entier. Je jetais un coup d’œil du côté de mon Pascal. Il avait les yeux rivés sur l’écran et rien d’autre ne compter pour lui.

Des gros plans se succédèrent. Sur ses gros seins. Sur son bouton turgescent. Sur son visage alors qu’elle passait sa langue sur ses lèvres.
Je ne sais pas combien de temps duraient ces scènes, mais ce que je savais c’était que le stagiaire était captivé par de tels images. Ses yeux révulsés, magnétisés par la chatte béante, affichée. Dont elle avait maintenant deux doigts bien enfoncés, remuant son popotin d’avant en arrière.
J’étais au comble de l’excitation. M’étant les coutures de mon pantalon en danger, prêt à exploser sous la poussée de ma forte érection.
Sur l’écran, toujours sous le jet d’eau, ma femme était maintenant en train de se goder avec la queue de la brosse à cheveux pour le plus grand plaisir de pascal. La faisant disparaître presque totalement dans son antre. Elle avait deux doigts de son autre main plantés dans l’anus. Ses gémissements encore timide jusqu’à maintenant s’étaient peu à peu transformés en cris.
- Toi aussi tu bandes ? Me renseignais-je du côté du stagiaire.
Il était tellement absorber par les images qui défilaient sous ses yeux qui en avait oublier ma présence. Je réitérais ma question. Un ton plus haut.
Il me regardait, décontenancé, puis lança un :
- Oui….
- Oui quoi ? Fis-je
- Oui… je bande…
- Eh bien mon cochon ! Tu n’as pas honte de bander en regardant ma femme.
- Oh ! Pardon… fit-il en se levant. Tu veux que je sorte de la pièce.
- Je t’en prie… reste. Je sens bien que cela t’intéresse.
Pour ce que je m’apprêtais à lui dire, je sentais comme des frissons dans mon estomac. Tel un jour de rentrée des classes. Pourtant je pouvais sentir mon érection tendre un peu plus mon slip. D’une voix rauque je lui soumis alors de se branler. Bien entendu, je le sentis très retissant à ma requête.
- Eh bien ! Fais ce que tu veux. Qu’en à moi, tout ça m’a donné une telle trique, que j'ai un énorme besoin de me satisfaire.
Si tu vois ce que je veux te faire comprendre.
Comme pour donner du poids à ma parole, je déboutonnais mon pantalon et le fis glisser avec mon slip jusqu'à mes chevilles. Je pris ma queue en main et interpelais Pascal. Un besoin chez moi qu’il regarde à tel point ma queue était bandée.
- Vas-y Pascal touches-toi ne sois pas gêné. Tiens regarde je ne me gêne pas moi. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Tu n’es pas d’accord, collègue.
- Oui… oui… répliqua-t-il, en jetant un regard furtif du côté de mon bas-ventre.
Discernant ma main en plein activité de masturbation sur ma queue. Cela eut pour but, de le décongelé un peu. À l’encourager d’en faire autant. Faisant à son tour tomber son pantalon. M’était à jour un beau sexe sans poils de bonne taille, rougi, surmonté d'un gland de la taille d'une balle de golf, et qui avait l'air tout aussi dur. Étrangement je n’avais ressenti aucun dégout. Au contraire, je l’avais trouvée même belle. À en être un peu jaloux de ne pas en possédé une si belle.
- Tu as une belle queue mon garçon.
Ce à quoi, il répondit, confus par un maladroit :
- Euh...merci…
À ce moment-là, j'étais comme transporté dans un état second. Ce par le cumul de sensations nouvelles, et fortes. Je lui fis part de la même faiblesse que lui. Celle d’humer moi aussi les culottes portées. Il n’en fallait pas plus pour que nous relations, chacun notre tour nos expériences passées. Me vint alors une question qui me brûla jusqu’alors les lèvres :
- Tu as déjà couché avec une fille ?
Sa réponse ne se fit pas attendre :
- Je ne sais pas s'il faut que je le dise, mais non… je n’ai jamais eu ce plaisir là.
- Cela n’est pas pour me moquer, mais tu connais donc les essences de sexe des femmes seulement à travers leurs culottes portées.
- Oui ! On peu dire ça. J’ai même un peu honte de me confier à quelqu’un que je côtoie tous les jours.
- Tu ne dois pas.

Je retournais la culotte de Cathy qui traînait sur le coussin près du collègue. Fit apparaître l’empiècement souillé de mouille et l’appliquais sur le nez de Pascal qui ferma les yeux. Il renifla l’odeur âcre du tissu et lécha les sécrétions qui s’y étaient accumulées. Je fus témoins d’aller et retour de sa main sur sa queue. À en faire balloter ses grosses couilles à une allure effrénée. Je me régalais du spectacle sans savoir vraiment pourquoi. Son gland devenait rutilant. Je surpris ses cuisses se contracter, sa tête se pencher en arrière. Un soupir profond sortir de sa bouche légèrement entrouverte.
Il esquissa un dernier souffle de soulagement avant qu'un jet de sperme très épais, et lourd dans un bruit humide se fit projeter violemment hors de sa grosse queue formant dans l’air comme un ruban avant de s’écraser sur le lino. Un second s’ensuivit tout de suite au premier, puis un troisième. Très vite quelques flaques juchaient le sol. D’un liquide crémeux qui m'attirait, qui m'intriguait. Je pouvais sentir son odeur, ainsi que celle forte de sa queue, qui terminait de déverser le fruit de sa jouissance.
C’est alors que je pris place à côté de lui sur le divan. Me suis saisis d’une des cinq bougies qui étaient ancrées sur le chandelier et me la fourra sans aucune peine dans le fion. Tant mon excitation avait dilaté mon anus. Je me mis à me masturbant le cul, sans perdre de vue ce jus sur le sol qui me parut délicieux. Soudain sans même avoir pris la peine de prendre ma queue en main, et sous le regard intéressé de Pascal, je me laissais aller à une éjaculation pareille à jamais. Tout en ne cessant pas de me limer le cul. Ma verge, comme l’aurait fait un canon explosa son boulet de sperme sur mon abdomen. S’en suivis plusieurs autres, au rythme rapide des battements de mon cœur. Mon foutre était plus épais que le sien. Il coulait déjà de mon ventre sur le cuir du divan. Ma verge n'en finissait plus de laisser s'écouler ce nectar. Se contractant encore et encore. Jusqu’à la dernière goute. Sans débander le moins du monde. Je n'avais jamais connu ça avant. Une telle perte de contrôle sur moi-même pour un tel intérêt. Dont j'avais d'ores et déjà mémorisé l'odeur et l‘image.
- Putain ! Me fit-il, tu as craché beaucoup !
Il me sourit. La pièce sentait l'excitation, le cul. Le parfum de nos queues et de nos jus. J’étais encore en érection.
Après une toilette d’usage, nous nous sommes rhabillés, puis nous avions pris la route.
Plusieurs kilomètres plus tard, derrière mon volant, je ricanais tout seul à l’idée qui venait de me traverser. Je n’osais pas y croire que cela venait de moi. C’était trop subtil.
- Dis Pascal, cela te dirait de me filmer en ébat avec ma femme.
- Pardon ? Je ne crois pas avoir bien compris…
- Oh que oui ! Tu as bien compris ma proposition et j‘attends une réponse de ta part.
-… Euh ! Oui… si tu me le demande.
- Je te le demande…
- Et… quand…
- Quand j’aurais réfléchi sur le scénario…

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