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ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

Mon rêve serait de droguer Sylvie afin de l’offrir à un homme et de le regarder lui faire l’amour.
Sur mes demandes insistantes, Claude a fini par me faire parvenir quelques doses qui selon lui devraient rendre ma femme très docile et surtout et ne pas lui laisser de souvenirs.
Après en avoir testé l’efficacité en privé, je pouvais sans crainte en faire profiter mon généreux donateur et arranger un rendez-vous où je pourrai le contempler faire l’amour à ma femme.
18h30. Après une journée de route le mobil home nous accueille enfin. Sylvie est fatiguée ce qui me convient fort bien car elle mettra ainsi son assoupissement sur le compte du trajet.
Après une douche et un repas frugal je tends à ma femme une tasse de décaféiné « arrangé ».
Il ne lui faut que 15 minutes pour somnoler sur le divan.
Le temps de me mettre à poil et d’enfiler une robe de chambre, je j’emporte dans la chambre où je l’allonge sur le lit vêtue de sa seule nuisette.
Je dispose les caméscopes et téléphone à Claude.
- Claude ?...
- Daniel ?
- Oui, tu peux venir…
- Elle est prête ?
- Toute à toi jusqu’à minuit.
- Elle dort ?
- Je suis assis à côté d’elle à lui peloter le cul sous sa nuisette et elle se contente de grogner quand j’enfonce mon doigt dans l’anus.
- Génial ! chauffe-la, je suis là dans 5 minutes. Au fait quel numéro le mobil home ?
- 34.
- J’arrive !
En attendant Claude, je caresse ma femme entre les cuisses afin de la préparer pour son amant.
Il est là.
- Alors ? que dis-tu de ma femme ?
- Superbe.
- Mets-toi à l’aise…
Claude se déshabille et rejoint ma femme.
Allongé contre elle il lui caresse les fesses, glisse ses doigts au fond de la raie, s’introduit dans l’anus.
Du fond de son sommeil, Sylvie se contente de grogner doucement et de battre mollement des cuisses pour chasser ce corps étranger qui lui dilate l’anus.


Les caméscopes filment. Je me masturbe en regardant Claude r de ma femme.
Il l’embrasse dans le cou, ses doigts quittent le cul de ma femme pour s’introduire dans son vagin humide. Il la fouille sans ménagement enfonçant sa main de la longueur de ses phalanges. Elle en ressort trempée de foutre qu’il lèche avec délectation.
Il alterne le cul, la chatte, le cul, la chatte… l’anus de ma femme est maintenant béant et Claude décide d’en profiter pour la sodomiser.
Sa queue n’a aucun mal à s’introduire au fond du rectum et il va et vient, faisant claquer son bas-ventre sur les fesses de ma femme tout en la traitant de salope.
Après quelques minutes il décide de changer d’orifice et baise ma femme par le vagin puis alterne, quelques coups dans le cul suivis d’une série dans la chatte jusqu’à ce qu’il finisse par jouir dans le cul de Sylvie.
Il se relève, fier de lui et heureux de se payer ma femme en ma présence.
- Quelle pute ta femme !
- Elle te plait ?
- Tu plaisantes ?!!! regarde-moi, je ne débande même pas !... tu me diras, c’est peut-être du à la dose de viagra.
- Tu t’es dopé ?
- Je voulais être en forme et profiter de ta femme au maximum.
- Elle est à toi.
- Oui, et j’y retourne !
C’est vrai que sa queue pointe encore vers ma femme.
Il la retourne.
Il lui retrousse la nuisette au dessus des seins.
Il la contemple et lui caresse les cuisses, le pubis, le ventre, les seins…
La nuisette passe par-dessus la tête de Sylvie. Claude se penche vers elle et l’embrasse sur la bouche.
Je me déplace pour jouir du spectacle de leur baiser.
Ma femme n’est pas vraiment endormie, elle semble être dans un état second et répond au baiser de Claude. Je suis à 10 cm d’eux et je vois en gros plan leurs langues et leurs salives s’unir.
Claude se couche sur ma femme qui dans son demi-sommeil écarte les cuisses.
Je lui pose la main sur l’intérieur de la cuisse pour l’écarter d’avantage et mieux voir l’intromission de la bite dans son vagin.

Le gland glisse sur les lèvres molles et gonflées de son sexe.
Quelques allées et venues pour exciter la verge et le membre de Claude disparait au fond de la chatte de ma femme.
Il lime doucement en elle, l’embrasse sur la bouche, lui caresse les seins.
Ma femme ondule sous les assauts de son amant, gémit, répond à ses baisers pour tourner la tête et fuir ses lèvres quand le plaisir vaginal devient trop fort.
Claude accélère et je bande en voyant le corps de ma femme secoué par les coups de boutoir de son tortionnaire.
Dans son demi-sommeil ma femme ne cesse de l’encourager : « oui, encore, plus fort… ».
Je m’allonge sur le dos à côté des deux amants. Moi aussi j’ai pris un viagra 100mg et j’ai la queue dressée, prête à exploser. Je dois me soulager.
- Claude !
- Oui ?
- Place-moi ma femme sur moi… non, de l’autre côté, que je l’encule !
Il s’exécute et fort civilement me guide la queue dans le vagin de ma femme.
- Baise-la Claude !
- Avec plaisir…
Ma femme se trouve prise en sandwich entre nous deux, une bite dans le cul, l’autre dans la chatte et nous limons en elle.
Je malaxe ses seins, Claude se penche pour l’embrasser, je sens son gland frotter contre le miens au-travers de la paroi séparant le rectum du vagin et cette double excitation ne tarde pas à m’amener à jouir et inonder le cul de ma femme tandis que Claude éjacule dans son vagin quelques secondes plus tard.
Nous nous dégageons et lui écartons les cuisses pour jouir du spectacle de nos deux ruisseaux de sperme de mêler en coulant entre les fesses de ma femme.
Je regarde le sexe luisant de Claude.
- Tu devrais peut-être te le faire nettoyer.
- Tu as raison.
Claude saisit Sylvie derrière la tête et l’attire contre son sexe. Il lui promène le gland sur le visage pour enfin forcer le passage de ses lèvres et s’introduire au fond de la bouche de ma femme qu’il laboure lui arrachant des haut-le-cœur.

- Quel dommage qu’elle dorme, j’adorerais qu’elle me lèche les couilles.
Nous nous couchons de part et d’autre de Sylvie et la caressons de concert.
Le temps passe et les effets du stimulant ne sont pas permanents. Claude se couche à nouveau sur ma femme et lui fait l’amour. L’idée de demander à Claude d’attendre son réveil m’effleure mais je connais ma femme et ce ne serait pas une bonne idée.
Une dernière giclée de sperme sur son ventre et son amant d’un soir nous abandonne à regret. Je n’ai plus qu’à changer les cartes des caméscopes, et rejoindre ma femme comme si de rien n’était.

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