Première Fois Avec Son Meilleur Ami.

Brève présentation des personnes ;
- Emma, moi, 18 ans. 1m80, 80B. Avec très peu d’expérience sexuelle.
- Christophe. 18 ans, mon copain. 1m76. Très peu attentionné, très peu romantique.
- Julien. 19 ans, meilleur ami de Christophe. 1m85. Très attentionné, très romantique et ayant beaucoup d’expérience sexuelle.
J’avais rendez-vous avec Christophe et Julien au cinéma. Ayant l’habitude de prendre beaucoup de temps pour me préparer, je commençais une heure et demie plus tôt pour être sure d’être à l’heure. Je mis donc un jeans cigarette ( très moulant ) que j’accompagnais de talons pour mettre en valeur mes jambes et d’un t-shirt à bretelles, moulant ma petite poitrine avec un décolleté en V. Un trait de crayon noir sous les yeux et un coup de rouge à lèvres.
Plus tard, je me dirigeais vers le cinéma. J’étais arrivée la première… 10 minutes après mon arrivée, je voyais Julien se diriger vers moi, me regardant un coup dans les yeux un coup la poitrine, et me dit que Christophe ne pourra pas venir parce que sa mère l’a puni à cause de ses notes… Il me dit que lui comptait aller prendre des photos dans une petite clairière près du cinéma, et il me proposait de l’accompagner. Je le savais passionné de photographies, et aimant ça moi aussi, je l’accompagnais.
Arrivée là-bas, je vis un beau petit endroit très romantique. Je m’appuyais contre un petit arbre pour le regarder faire, il prit une dizaine de photos avant de se tourner vers moi et d’en prendre une de moi. Je détestais les clichés de moi, donc quand il s’approcha de moi pour me la montrer, je ne pus m’empêcher d’essayer de rattr l’appareil pour effacer cette photo. Il mit son appareil dans son dos, ce qui m’obligea à me coller contre lui pour pouvoir espérer l’atteindre. J’étais collée à lui, nos visages étaient presque l’un contre l’autre, je sentais sa respiration effleurer mon cou, ce qui me faisait frissonner. En tenant son appareil par le cordon de la pochette, il le fit glisser jusqu’au sol pour avoir les mains libres.

Je ne m’occupais plus de cet appareil, je posais mes mains sur son t-shirt. Tout en me fixant, il glissait ses mains sur mes hanches, et comme pour me défier, il rapprochait ses lèvres des miennes en les frôlant sans m’embrasser. L’excitation montait en moi, de plus en plus, il le sentait et en profitait. Au moment où il passa ses doigts sous mon haut, je l’embrassais passionnément en me serrant encore plus contre lui. Ses mains habiles montaient vers ma poitrine et il commença à me caresser les seins. Il remontait mon haut pour pouvoir embrasser ma poitrine, il glissait une de ses mains pour ouvrir mon soutien gorge et commençait de suite à m’embrasser un sein. Il mordillait le téton en malaxant le deuxième de l’autre main, il mordillait, léchait, suçait, tétait, une fois doucement, une fois rapidement. J’étais toute excitée et je découvrais milles et une sensation. Il remontait au niveau de mon cou et m’embrassait doucement, je sentis ses hanches se coller contre moi, en même temps qu’il me faisait un suçon. Il m’embrassait le coin de la lèvre et me posa une question qui me choqua mais m’excita ; « tu es à moi ? » Je lui répondais sans hésiter que oui, j’étais toute à lui, j’avais complètement oublié Christophe.
Il souriait et me posait sur son gilet qu’il avait étendu au sol. Il se posait à quatre pattes au-dessus de moi. On s’embrassait sauvagement, il passa sa main sur ma poitrine, à nouveau. Il la glissait doucement vers mon ventre puis vers mon jean. Il me caressait la cuisse à travers mon pantalon en remontant vers ma braguette. Par réflexe, j’écartais les cuisses pour lui laisser faire tout ce qu’il souhaitait. Il remarquait ma soumission totale, et sourit. Il ouvrit ma braguette et glissa sa main sur mon string tout humide. Il fit glisser ses doigts entre mes lèvres, en s’arrêtant au niveau de mon clitoris. Je gémissais et tremblais, j’étais hyper sensible de cet endroit apparemment. (je n’avais jamais fait ça avec Christophe.). Julien m’embrassa le cou, la poitrine, le nombril et avec ses deux mains, il enlevait mon pantalon.
Il embrassait d’abord sur le string. Il me l’enlevait après avec ses dents, je remarquais qu’il le mis dans sa poche. Je n’y fis pas plus attention, je me caressais la poitrine en me mordillant un doigt, j’étais aux anges.
Il me caressait avec son pouce la cuisse, et me titillait le clitoris avec sa langue, je me retenais de gémir tant que je le pouvais. Il remarquait ce que je faisais, me souriait et commença à me sucer le clitoris, il jouait avec et passait sa langue de façon à me faire gémir, je ne sais pas pourquoi, je me retenais toujours. Je n’arrivais plus à me retenir au moment où il glissa un de ses doigts dans mon trou encore vierge. Je lâchais un gémissement, puis un autre, sans pouvoir me contrôler. Il m’enfonçait deux doigts et commençait des vas et vient rapides tout en me suçant le clitoris.
Il accélérait ses mouvements et ralentissait. Il jouait avec moi pour son propre plaisir. J’écartais les cuisses en gémissant, je ne me contrôlais plus, j’étais à lui. Je le voulais, je voulais tout découvrir avec lui. Je criais entre deux gémissement ; « Julien, prend moi ! ». D’une main, il attrapait son appareil photo et me dit de prendre un air bien coquin. Je voulais plus que ça, je pensais que si je ne l’écoutais pas, il partirai, alors sans réfléchir, j’écarta les cuisses, suça un de mes doigts et plaça mon autre main sur un de mes seins. Je n’avais que mon haut remonté jusqu’au dessus de ma poitrine, mon soutien gorge était à côté de moi. Mon pantalon avait volé rejoindre mon soutif et mes talons. Mon string étant dans la poche de Julien, j’étais presque nue, le sexe brillant de mouille…
Il me souriait et me rappelait ce que je lui avais crié avant. Je frissonnais quand ses mains se reposait contre mon intimité pour me caresser à nouveau mais plus doucement. Je me relevais doucement pour ouvrir sa chemise, puis sa braguette. J’enlevais son pantalon et découvris un boxer déformé par une bosse énorme. J’embrassais cette bosse qui gonflait de plus en plus.
Je léchais par-dessus le boxer. Au moment où je lui enlevais le dernier tissu qui me séparait de sa verge tendue, il me rallongeait et me dit de le laisser me faire découvrir le vrai plaisir. Ces paroles m’excitèrent encore plus, je m’allongeais sans rien dire. Il enlevait lui-même son boxer et commença à frotter sa grosse verge tendue sur mon clitoris tout humide. Je fermais les yeux et me touchais la poitrine. Il me caressait doucement avec sa longue queue. J’étais encore vierge, il le savait. Il se plaçait à l’entrée de mon vagin, et y entra le bout de son gland en faisant des petits vas et viens comme ça. Je glissais une de mes mains pour me caresser le clitoris. Il me pénétra d’un coup assez sec, une douleur se fit sentir, mais je l’oubliais vite avec le plaisir de ses mouvements. Il accélérait de plus en plus, j’écartais les cuisses. Tout en me prenant, il s’allongea sur moi pour m’embrasser. Il accélérait de plus en plus. Je gémissais, fort.
Au bout d’un temps qui me semblait trop court, il se retirait et me présentait sa verge luisante. Je ne bougeais pas, j’hésitais. Il me redressait et me présentait sa queue devant ma bouche cette fois, en me disant ; « Fait pas ta timide ma belle, tu vas aimer. » Je pris donc son sexe en main et déposais ma langue sur le bout de son gland.
Je le suçais doucement en faisant des mouvements de vas et viens avec ma main. Je léchais doucement le long de sa verge. Je pris en bouche ses boules et les suçais. Je repris en bouche son gland et le suçais doucement. Je sentis ses mains me prendre la tête pour me faire faire des mouvements de vas et vient plus rapide. Il ne tardait pas à me dire qu’il allait éjaculer. Il se retirait de ma bouche et me dit qu’il voulait se laisser aller sur moi, puisque j’étais à lui.
J’étais fière. Je le branlais donc énergiquement, et quelques secondes après, je sentis sur mon visage un liquide chaud couler. J’en eu sur le visage et sur la poitrine. Je léchais ce que j’avais sur les lèvres.
Il reprit son appareil photo et me pris en photo, son sperme sur mon corps.


Après s’être embrassés, nettoyés et rhabillés, nous nous quittions, moi avec un bon souvenir et une découverte de nouvelles sensations, et lui avec une femme à ses pieds et mon string en poche.

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