Leslie Ar24

Leslie AR24 - Les confessions d’Hélène, suite

Un jour en vacances, alors que nous étions invités chez un couple rencontré au hasard
d’une promenade et avec qui nous avions sympathisés, Roger me posa cette question :
- Tu t’habilles comme d’habitude, sans culotte ?
- Pourquoi je remettrais une culotte pour aller chez des gens avec qui nous ne
passerons pas plus d’une soirée
- Tu t’imagines si ils découvraient que tu es nue sous ta robe et que vont-ils
penser de toi ?
- Comment veux-tu qu’ils s’en aperçoivent, je ferais attention.
- Tu sais chez eux on va s’asseoir pour prendre l’apéro et avec cette robe qui
remonte toute seule, le risque de dévoiler ton intimité est réel.
- Mais tu te fais des idées, dis-je.
- Tu parles ! Dans ces locations d’été, il n’y a que du mobilier bas de gamme.
Tu ne vas trouver des fauteuils profonds dans lesquels tu vas t’enfoncer et leur
dévoiler ton anatomie.
- Et bien ce sera pour leur plus grande joie, d’ailleurs ils m’ont parus très
libérés et nous passerons peut-être à l’acte avec eux, dis-je encore.
- Mais tu es une vraie nympho, me dis Roger, tu ne penses qu’à ça !
- A qui la faute, lui répondis-je.

Effectivement chez nos hôtes il en fut ainsi, deux fauteuils et un canapé qui à
première vue semblent profonds et confortables.
Marion nous invite à nous asseoir pendant que Jacques son mari sert l’apéritif, je
prends place sur le canapé et fait signe à Roger de s’asseoir sur le fauteuil situé en
face, de cette manière Roger aura la possibilité de voir mon entrejambe, et aussi la
personne qui s’installera dans l’autre fauteuil, en face du canapé où je suis
installée.
Dès que je suis assise, je m’aperçois qu’effectivement le canapé est profond, ma robe
remonte sur mes cuisses et les dévoile largement. Il va falloir que je fasse
attention, au moins pendant que nous prenons l’apéritif, après nous passerons à table.


Marion arrive les mains pleines d’amuse-gueule. Elle se place près de moi dans le
canapé laissant le fauteuil libre à son compagnon.
Nous buvons tranquillement en discutant, petit à petit, l’alcool échauffe mes sens et
j’ai de plus en plus de mal à faire attention à garder les cuisses serrées. Je le
constate quand je vois le regard de Roger se diriger régulièrement sur mes cuisses.
Heureusement, Jacques en face de moi ne fait pas attention trop impliquer dans une
explication sur le bien fait de la baignade en mer.
Quelques instants plus tard, je me retrouve sans le vouloir les jambes écartées et je
vois le regard de Jacques plongé au plus profond de mon entre-jambes, après un bref
silence il a juste dit :
- Le paysage ici est fabuleux, mais nous devons passer à table…
Nul doute qu’il avait vu mon intimité…
Le repas s’est passé gentiment et la fin du repas avant de nous quitter, nous avons
échangé nos coordonnées, Jacques étant désireux de nous revoir…
En rentrant, l’alcool et les caresses de Roger dans la voiture me mettent dans un état
de fébrilité sexuelle considérable, et dès la porte de chez nous fermée il m’a fait
l’amour. Cette fois-ci, il ne me baise pas, il me caresse partout comme il sait si
bien le faire, me faisant languir, puis s’enfonce en moi pour m’amener jusqu’à un
orgasme fantastique qui me laisse pantelante et repue de plaisir.

Une autre fois sous la douche, que nous prenons comme souvent ensemble, Roger me
caresse, m’embrasse, ne me laisse aucun répit pour garder mon émoi intact. Lui aussi
est bien excité, son membre est dur et je ne peux m’empêcher de l’emboucher pour lui
procurer du plaisir.
Il ne me laisse pas faire trop longtemps, il me relève et m’embrasse tout en caressant
mon bouton d’amour érigé qui ne demande que ça. Je ferme le robinet et m’appuie des
deux mains sur le mur en disant :
- Prends-moi, debout comme une salope !
Il m’enfile d’un seul coup et commence immédiatement des mouvements de va-et-vient
dans mon puits d’amour ruisselant de désir.
Il entre et sort de moi avec force et
rapidité et je sens l’orgasme venir en moi.
Ma jouissance est dévastatrice, je tremble sur mes jambes, prête à m’écrouler. Roger
me retenant sort de moi et alors que son sexe est toujours tout droit et ferme, il
l’enfonce dans mon cul me coupant le souffle.
Je le sens bien, il me remplit entièrement et sans attendre, il débute des mouvements
de va-et-vient dans mon anus me faisant hurler de plaisir.
Son sexe va-et-vient en moi, et ses coups répétés me colle au carrelage de la douche,
et je sens à nouveau l’orgasme monté en moi, je vais jouir du cul et Roger me dit :
- Dis-moi que tu aimes te faire enculé par ton chéri, allez, avoue
- J’adore !
- Tu es vraiment une petite coquine.
- Non, je suis ta petite salope !
En même temps qu’il me parlait, il avait passé une main devant moi, pour caresser mon
clitoris. Je sens un doigt qui passe sur mes lèvres, puis ensuite se positionner sur
mon bouton. Je sens sa caresse sur mon clitoris et son membre qui me dévaste les
entrailles.
Et je pars dans un orgasme qui me fait hurler comme une damnée.

Pour mes vingt-cinq ans mon homme m’a proposé de me faire épiler définitivement, ainsi
la corvée de l’épilation serait abolie et je serais ainsi toujours lisse pour le
bonheur de mon homme et de mes amants.

Roger et moi avons pris un jour de congé. Au programme, grasse matinée, resto et
lèche-vitrines. Comme de bien entendu, je me suis habillée légèrement, il fait beau,
nous sommes tous les deux et j’adore ces instants de complicité.
Après une journée bien remplie, sur le chemin du retour, mon agenda de téléphone me
rappelle que j’ai rendez-vous chez la kiné. Vu où nous sommes, nous n’avons pas le
temps de rentrer chez nous pour que je puisse mettre une tenue plus appropriée.
Comme je n’aime pas porter des sous-vêtements neufs sans les avoir lavés une fois, je
demande à Roger de me déposer devant chez la kiné et vue que c’est à deux pas de la
maison, je rentrais tranquille à pied.


Vingt minutes plus tard, Roger me dépose et rentre seul à la maison.
Je suis à peine assise dans la salle d’attente que la kiné vient me chercher, elle me
dit bonjour et me fait rentrer dans son cabinet de consultations.
Je vous la rends dans une demi-heure, bien détendue.
La séance débute comme d’habitude, dès que j’ai quitté mon haut et mon soutien-gorge,
je m’allonge à plat ventre sur la table de massage. Je me laisse aller à la douceur du
traitement. Au bout de quelques minutes, la kiné me dit :
- Aujourd’hui, je vous sens tendue de tout le dos, il faudrait ôter votre jupe.
Oups ! Ce n’était pas prévu au programme.
Je tente de baisser ma jupe sur les hanches, sans me lever, avec l’espoir que cela
suffise. Apparemment, non.
- Il vaudrait mieux l’enlever cofemplètement, je pourrais opérer plus
facilement.
Instant délicat, soit je lui dis que je ne peux pas et elle trouvera cela bizarre et
se doutera de quelque chose, soit je l’enlève et je me retrouve parfaitement nue.
Et puis tant pis, elle pensera ce qu’elle veut. Donc, je me relève et fais glisser ma
jupe le long de mes jambes, avant de la déposer sur mes autres vêtements.
Je me rallonge sur le ventre, sans regarder la kiné, mais ne peux s’empêcher de dire :
- Vous êtes une coquine, de vous balader sans culotte !
Et elle continue son massage et la gêne que j’ai ressentie passe un peu. Jusqu’à ce
qu’elle me demande de m’allonger sur le dos pour pouvoir masser mes épaules.
Ce que je fais, pendant qu’elle prend position à la tête de la table.
Je me rends compte que, d’où elle est, elle ne peut que constater que mon minou est
parfaitement lisse, au point où j’en suis-je ne dois plus l’étonner, je finis par ne
plus m’en faire et je me laisse aller à la douceur de son massage.
Sauf qu’a un moment elle me dit :
- Je vous sens bien détendue, laissez-vous complètement aller maintenant.

Le massage de ma kiné se transforme en caresses et ses mains petits à petits
descendent le long de mon corps et trouvent mon sexe glabre. Sans un mot tout en
continuant son massage, devenu des caresses intimes, elle me doigte sauvagement,
jusqu’à me faire hurler de plaisir.
- Voilà, me dit-elle, ainsi vous êtes complètement détendue ; mais il faudra
passer à la maison que je j’approfondisse avec vous ce genre de séance.
La séance finie, je tiens à peine sur mes jambes et pendant que je me rhabille, elle
me regarde en souriant, je lui rends son sourire.
Je ressens une attirance pour cette femme, peut-être qu’elle aussi est une adepte du
sans-culotte et du minou épilé, il faudra que j’approfondisse la question.

Roger, une fois rentrée, a rigolé quand je lui ai raconté la séance chez la kiné.
- Elle va te prendre pour une petite coquine.
- Je le suis et en plus j’ai envie de la revoir, mais chez elle.
Mais l’aventure avec ma kiné, chez elle, est une autre histoire….

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!