Leslie Ar29

Leslie AR29 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite

Ils nous ont rejoints dix minutes plus tard, Benoît avait l’air heureux et Laure avait
les traits tirés, l’expression que je lui connais quand elle vient de prendre un pied
fabuleux.
Nous avons bus et nous sommes rentrés chez nos amis, dans la voiture Laure me dit que
Benoît était un sacré queutard et qu’il était très endurant.
Très vite nous sommes allés nous coucher aussitôt rentrés, après s’être embrassés et
souhaités bonne nuit.
Benoît et Passy avaient tout prévu et c’est dans un grand lit qu’avec Laure nous nous
sommes endormies, il était quatre du matin le samedi et le week-end venait tout juste
de commencer.

Samedi matin, je viens de me réveiller et instinctivement en ouvrant les yeux j’ai
fait le tour de la pièce des yeux, de magnifiques rideaux bleus ornent les fenêtres,
la pièce est meublée avec goût et le doux satin des draps caresse mon corps, je suis
dans le lit avec Laure à mes côtés, chez Benoît et Passy.
Le corps nu dans ce nid de chaleur me fait frémir de plaisir, un fin rayon de soleil
perce la pénombre, une sensation de relâchement totale m’étreint, je me sens vidée de
toute pression, tout stress et complètement épanouie.
On a frappé à la porte.
Benoît entre dans la chambre, un plateau à petits déjeuners dans les mains.

- Le petit-déjeuner des demoiselles est servi et vous devez mourir de faim !
Je souris, devant tant de tendresse et de prévenance, un vrai cœur.
- Merci pour cette délicate attention mais je me sens complètement vidée, nos
exploits d’hier y sont surement pour quelque chose.
- Ne bouge pas de vais m’occuper de toi, me dit Benoît.
Je me redresse et m’assoie dans le lit la poitrine découverte et je sens les yeux de
Benoît se poser dessus et la détailler.
Il se fait une place à côté de moi dans le grand lit, dépose le plateau à côté de lui
et m’embrasse à pleine bouche.

Je ne refuse pas ce baiser, Laure se réveille
doucement.
Il a pris une tartine de pain, un peu de beurre et badigeonne le tout de confiture à
la fraise.
- Tu aimes les fraises ?
- J’adore, merci !
- Bon, dit Laure, je vois que l’on s’occupe bien de toi, je vais sous la douche.
Elle repousse le drap dévoilant sa nudité et de lève et sort de la chambre.

Benoît me tend la tartine prête et me regarde la manger, en préparant une nouvelle
tartine.
- Tu es belle dans le plaisir, me dit-il.
Je mors à pleine dent la tartine et l’avale en deux coups de dent, le plaisir
m’envahit et je me sens heureuse de vivre.
Après avoir bu mon thé, Benoît se rapproche de moi et pose ses lèvres sur les miennes,
sont baiser est tendre et sensuelle, la langue de Benoît vient chercher la mienne, et
je l’entends me dire :
- C’est vrai qu’elles sont exquises tes lèvres, Passy n’arrête pas d’en parler.
- Tu es gentil et ça me touche, lui dis-je
Sur ce il me découvre, sans brusquerie, le bas de mon corps en repoussant le drap et
fait glisser sa langue de mes lèvres jusqu’à mon ventre. Ainsi sa langue parcoure tour
à tour mon cou, mes seins et mon ventre.
Puis il se débarrasse fébrilement de sa chemise et de son boxer, je constate que mon
internaute de Benoît est au garde à vous, le membre majestueusement dressé.
Il s’est allongé à mes côtés et sa langue a trouvé le gland de mon sexe et mon petit
trou et il les a léchés tour à tour goulûment.
Je n’ai pu m’empêcher de gémir au contact de sa langue sur mon gland et à l’orée de
mon œillet, bien que nous en ayons parlé sur internet je ne m’attendais pas à cela, en
effet beaucoup d’hommes fantasment mais ne passe jamais au concret.
Puis, tout naturellement, il m’a sucé tendrement avec une douceur extrême.
Bientôt, il s’allonge sur le lit, son pieu est fièrement dressé et incroyablement dur,
il me fait relever et me fait comprendre qu’il désire que je m’embroche sur lui.

Je me relève et il me soulève un peu le bassin, pour m’aider, et me fait asseoir sur
sa colonne de chair. Malgré que je sois très excitée de me faire prendre par mon
internaute chéri et sa douceur, mon anus se fait prier pour l’accueillir, je suis
serrée du cul comme une pucelle, ce qui n’a pas l’air de déplaire à mon compagnon.
Par petites saccades son gland vient forcer mon sphincter et progressivement il entre
en moi, me faisant bander comme une petite salope, et je l’accueille entièrement dans
un soupir de plaisir.
A califourchon sur lui, je trouve bientôt mon rythme pour me sodomiser sur ce pieu,
Benoît fier de lui relance mes va-et-vient naturels à grands coups de reins pour
accen son étreinte et sa pénétration.
Bientôt la douce quiétude de la chambre est troublée par des gémissements bruyants de
plaisirs, je me cambre d’un coup en arrière pour me branler tandis que Benoît
m’encule.

Benoît n’est pas rassasié, il en veut encore et continue impitoyable à m’investir le
fondement, j’ai besoin d’une pause et je fais comprendre à mon amant que ma bouche est
aussi des plus agréable, un peu déçu de me voir freiner ses ardeurs il accepte et se
place assis sur le lit le sexe dressé.
Je me suis mise à quatre pattes mon accen son plaisir et le combler comme une
petite soumise. Je prends une bonne moitié de son sexe dans ma bouche et commence
langoureusement à sucer son sexe, je flatte la base de son sexe et caresse ses grosses
couilles de mon autre main.
Il se détend bientôt et profite à fond de la caresse.
J’ai toujours été une bonne suceuse et j’aime ça. Je suis à fond concentrée sur
Benoît, son membre maintenant entier dans ma bouche, j’oscille des reins à chaque
mouvement de ma tête, lançant mon cul vers l’arrière à chaque fois, je dois avoir
l’air d’une vrai groupie de film porno.
Benoît n’est pas en reste et il accompagne chaque succion, avec ses mains, d’une
pression sur ma tête en disant :
- Ohhh oui.

J’ai instinctivement placé une main entre mes cuisses car mon exercice de fellation a
ravivé mon désir, je me branle d’une main tout en suçant mon partenaire, continuant ma
fellation mon autre main va se perdre dans la raie du cul de Benoît.
Lorsqu’un de mes doigts trouve son petit trou plissé, Benoît soupire ce qui décuple
mon plaisir, en enfonçant mon doigt dans son anus Benoît gémit et se cambre.

Il sourit bizarrement quand quelque chose de dur de froid vient cogner contre ma
rondelle humide.
Puis deux mains douces viennent se poser sur mes fesses exposées, un liquide inonde
mon petit cul, je me fais lubrifier la rondelle de gel, puis sans préavis l’objet
investi mes entrailles.
Fermement prise en bouche, prisonnière de ma propre caresse, je devine que Passy s’est
équipée d’un gode ceinture pour me sodomiser en couple, devant son homme.
Mon petit trou est par un gode, ma bouche envahie par ma bave et les premières
gouttes du plaisir de Benoît et mon sexe prisonnier de ma main.
Je suis offerte prisonnière de mon propre plaisir qui envahit mes reins. Passy
accélère ses mouvements de hanches entre mes fesses, d’abord doucement, puis elle lime
méthodiquement mon petit cul.
Prisonnière de mon fantasme et de celui de mes hôtes, mon long corps n’est plus qu’un
objet de plaisir brut et torride.
J’entends Laure, qui est là et regarde, dire :
- Eh bien, tu prends ton pied ma chérie !

Mon agonie est sévère, mes hôtes veulent non plus seulement me faire l’amour, me
sodomiser, mais aussi me faire entrer dans leur univers de plaisir.
Je me laisse aller dans le plaisir qui me cloue sur le lit dans un orgasme long qui
irradie mon ventre.
Quand Passy relâche la pression sur mes reins, ma main sur mon sexe ma fait jouir, et
ma bouche est noyée de puissants jets de foutre chauds. Hébétée par le plaisir,
j’avale et laisse couler ce que ma bouche ne peut pas contenir sur le bas-ventre de
mon amant.

La bouche complètement maculée par le plaisir de Benoît, mes deux compagnons se sont
rapprochés de moi, souriants, et leurs langues viennent partager avec la mienne le
nectar encore présent dans ma bouche.
Je ferme mes yeux devant leur regard complice.

A suivre…

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