Discrètement Chez Des Amis

Un soir, j’étais invité chez des amis qui organisaient un dîné avec leurs bonnes
connaissances dans leur maison de banlieue. On était donc une bonne dizaine réunis,
tous entre 20 et 25 ans, sauf un homme d’une quarantaine d’années. Il était assez
enveloppé mais débonnaire. On était assis à côté durant le repas et le courant passait
bien : on parlait politique, loisirs. Plus le temps passait, plus il se rapprochait de
moi, mettait sa main sur mon épaule et ma cuisse, la conversation glissait sur des
sujets plus intimes et une douce chaleur commençait à se faire sentir dans le bas
ventre. Je voyais pointer une érection chez lui et chez moi. Il était évident qu’on
était sur la même longueur d’onde et qu’on se plaisait.

Au bout d’un moment, les hôtes nous ont réunis pour un petit discours. Nous nous
sommes levés face au couple, mon nouvel ami et moi derrière tous les autres. Pris
d’une soudaine envie, je me suis placé devant lui, et j’ai tâté son sexe au travers
de son pantalon pour sentir son pénis durcir. Sans attirer l’attention, j’ai
complètement sorti sa queue en érection de son pantalon. Je ne pouvais pas le voir
sans me retourner, mais il devait être de bonne taille car il tenait bien dans ma
main. J’ai commencé à bien le saisir et à le masturber, lentement puis plus vite. Je
sentais sa forte respiration dans mon cou tandis que je le masturbais et sa main
caressait mes fesses.

J’aime sentir une hampe chaude dans ma main ; c’est une sensation très agréable que de
sentir la peau coulisser et de saisir le gland à pleine main. Gland qui devait être de
bonne taille, même si je ne pouvais pas me retourner pour le voir. Le risque qu’un
convive se retourne ou que les hôtes découvrent ce que l’on manigançait était
hautement excitant et c’est à deux mains que je branlais cet homme dans mon dos.



Il a fermement saisi mon cul pour m’indiquer qu’il allait jouir. J’ai continué à le
branler du bout des doigts pour mettre ma main devant l’urètre. Quand il a finalement
éjaculé, tout son sperme s’est répandu dans ma main. J’ai alors porté ma main à ma
bouche pour lécher le sperme de manière à ce qu’il le voit bien. J’ai ensuite passé ma
main sur mon cou pour m’imprégner de cette odeur, comme je le ferais avec un parfum.
J’ai rangé le sexe flascide dans le caleçon. J’ai à peine saisi le sens du discours.

La soirée s’est terminée par un billard, des regards pleins de sens et des gestes
équivoques sur les queues de billard. A la fin, il était temps de se séparer. J’étais
venu en train et il n’y en avait plus à cette heure tardive. Mon ami s’est proposé de
me raccompagner. En voiture, on a enfin pu parler, il m’a remercié pour ces
attouchements. Je lui ai indiqué où j’habitais. Puis comme sa main passait du levier
de vitesse à mon paquet, je me suis penché sur lui pour lui faire ce que j’avais eu
envie de lui faire plus tôt. J’ai ressorti son sexe et j’ai pu l’admirer. Il était
très beau, long et large, plus long que large mais avec un gland parfait : nettement
plus large que la queue donc très proéminent, gorgé de sang et violacé comme s’il
allait exploser.

Ni une ni deux j’ai gobé le gland pour le masser avec ma bouche, j’ai léché toute
cette queue comme un glace au cassis pendant qu’on traversait la ville en voiture. Il
imprimait son rythme avec sa main sur ma tête et profitait de pouvoir commenter cette
fois-ci.
« C’est bon ce que tu me fais - tu suces trop bien - j’ai envie de te jouir dans la
bouche »

Après quelques temps, je sentais la voiture faire des mouvements bizarres. J’ai deviné
qu’on roulait sur un chemin de campagne et quand il a arrêté la voiture, il ma
redressé et j’ai vu qu’on était dans un bois à l’écart.
Il m’a enjoint à sortir et me
déshabiller. Il a fait de même et je me suis assis sur lui sur le siège avant : «
Viens que je t’encule ». Il m’a pénétré doucement jusqu’à ce que son gros gland ait
passé mon anus puis ses mains sur mes épaules m’ont poussé d’un coup au bout de sa
bite. J’ai pris une grande respiration car déjà le gland était un gros morceau, mais
sentir ce gland ouvrir mes entrailles aussi vite était plus que ce que je pouvais
supporter.

Cela ne l’a pas empêché de passer à l’action tout de suite. Son bassin faisait des
mouvements verticaux. Je sentais vraiment son gland en moi, comme une boule dans mon
cul. Le plaisir n’a pas tardé à venir et je gémissais de plaisir en me collant à son
gros ventre et en bougeant du bassin pour sentir sa queue me labourer. Avant que je ne
jouisse, il m’a fait sortir et m’a pris à quatre pattes sur le sol. L’isolement dans
la forêt m’incitait à crier plus que de raison, mais c’était tellement bon de sentir
quelque chose de si dure en moi. J’aurais voulu lui parler pour l’inciter à me prendre
encore plus fort mais je ne pouvais que râler de plaisir au rythme de ses
pénétrations.

Encore une fois avant de jouir, il m’a relevé et ma poussé le dos contre le capot. Les
jambes relevées, il me sodomisait comme un poulet rôti. La position n’était pas
confortable mais ses mains comprimaient ma queue et mes bourses, douloureux et divin à
la fois. Enfin, il m’a retourné, j’étais penché en avant plié en deux, le ventre à
même le capot.Il m’a alors besogné très fort puis nous avons joui : lui dans mon cul
et moi sur la carrosserie.

Il s’est allongé à côté de moi en souriant, on s’est caressé puis on s’est rhabillé.
En arrivant au pied de mon immeuble, il était très tôt le matin. On est sorti de la
voiture et je lui ai fait une dernière pipe dans l’entrée.
Il devait avoir une sacrée
réserve de sperme car il a quand même éjaculé dans ma bouche ; j’ai dû tout siphonner.

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