Chez Des Amis - Suite

Avec beaucoup de retard, et j'en suis désolé, la suite de mon aventure,
Merci pour vos commentaires sur les précédents récits.

Nous récupérions peu à peu de nos émotions. Je la contemplais nue, offerte, à moitié allongée sur le canapé, corsage ouvert sur son soutien gorge rempli de ses seins opulents, robe retroussée sur ses hanches, son sexe ouvert et humide du plaisir qu’elle venait d’avoir. Quelle vue excitante et sensuelle ! J’étais à genoux devant elle, essoufflé par mon plaisir. Nous restâmes ainsi un moment, savourant notre orgasme, respirant toute cette sensualité, sans un mot.
Puis elle se redressa avec un très joli sourire et me demanda si cela allait tout en connaissant la réponse. Je restais ainsi nu devant elle et j’appréciais cette situation où je m’offrais totalement à elle. Étonnamment je me sentais à l’aise et je n’avais plus du tout le stress que j’avais éprouvé au début de notre rencontre. Je me relevais ainsi qu’elle et nous dirigeâmes vers la cuisine où nous elle m’offrit de quoi nous désaltérer. J’étais tout près d’elle, je respirais son parfum, je sentais son corps bouger et l’air était rempli d’une telle sensualité. Elle était d’une telle douceur et si attentive ! Je ne réfléchissais pas aux conséquences de ce que nous avions fait, j’étais sur un petit nuage ! En passant à côté de moi elle posait sa main sur mes fesses, mon ventre. J’appréciais ses caresses. Dans ses yeux je voyais son désir coquin pour moi et en éprouvais une fierté intense. Elle me demanda d’aller reprendre une petite douche et visiblement elle avait des intentions peu avouables à mon égard.
Je passais alors à la salle de bain, me mis sous la douche et commençais à me savonner avec sensualité. J’appréciais la chaleur de l’eau, très chaude, et tout en me savonnant je visionnais ce qu’elle et moi avions fait. Je n’en revenais toujours pas et je me refis le film de nos caresses, je revoyais ses mains sur moi, revivais ces sensations, ce plaisir, son corps et toute l’intensité du plaisir que nous avions partagé ensemble.

A ces images mon sexe repris doucement de la vigueur et bientôt se retrouva raide et dur. Je pris du plaisir à me caresser un peu, savourant ce moment seul sous la douche. Je me surpris à la désirer encore et j’avais envie de connaitre la sensation de glisser mon sexe épais dans son fourreau que j’imaginais chaud, humide et soyeux, comme lorsque j’avais posé ma bouche sur elle. Je me séchais rapidement, toujours en érection, puis retournais dans la cuisine. Je ne la trouvais pas. Je partis à sa recherche dans leur immense maison lumineuse. Je l’appelais. Sans réponse. C’était étrange. Au bout d’un moment, je décidais de me diriger vers la partie de la maison que je n’avais pas encore découverte. Montant les escaliers, toujours en l’appelant, je me dirigeais vers les chambres. Je finis par l’entendre. « Par là » me disait elle. J’étais excité. La situation était incroyable car j’étais en train de me promener nu dans une maison presqu’inconnue, à la recherche de son occupante. Je me dirigeais vers la voix et entrais dans la chambre conjugale.
Elle m’attendait là, habillée d’un déshabillé blanc, allongée sur son lit, reposant sur un coude. Je vis ses jambes, son décolleté et regardais sa culotte blanche moulant son sexe lisse. Elle vit mon sexe érigé pour elle. C’était extraordinaire de me retrouver ainsi sur le pas de la porte et de la découvrir ainsi offerte. Ses cuisses étaient ouvertes et elle était indécente dans cette position. Elle m’excitait, m’émoustillait. Je sentis mon désir pour elle grandir encore. Elle me fit signe de venir vers elle. Je glissais alors sur son lit, les yeux fixés entre ses cuisses qui m’attiraient comme un aimant. Je posais ma bouche sur le tissu de ca culotte. Elle prit ma tête et la poussa encore contre son sexe. Je le mordillais à travers le tissu qui moulait ses lèvres. C’était très excitant et elle soupirait de plaisir. Je glissais un doigt sous le tissu vers son sexe et caressais doucement ses lèvres. Je soulevais sa culotte pour regarder son sexe à quelques centimètres de mes yeux.
Puis je ne pus m’empêcher de la sucer, de la goutter. Elle était à nouveau trempée, je glissais deux doigts en elle pour constater qu’elle était totalement ouverte. Je vis qu’elle était agréablement surprise de mon initiative. Très excitée elle me demanda de la pénétrer d’une voix impatiente, d’un simple « viens ». Je retirais vivement sa culotte car j’avais hâte de me sentir en elle. Un peu maladroitement je posais mon gland à l’entrée de son sexe sans venir à mes fins. Elle me dit « laisses », pris mon sexe d’une main sûre et me glissa en elle d’un geste doux. Quelle sensation ! Je sentais mon sexe progresser en elle, ses parois s’ouvraient pour me laisser entrer. Elle gémit à plusieurs reprises. « Qu’il est gros, qu’il est gros » et mon sexe progressait en elle doucement. Le sien était chaud et doux, il entourait le mien de sa douceur. C’était un plaisir intense. Enfin, avec douceur, elle me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes avec passion. Je gouttais sa bouche et ses lèvres, je glissais ma bouche dans le creux de son cou. Elle gémissait, s’abandonnait totalement à mes caresses. Je glissais en elle, j’allais et venais avec lenteur puis avec vigueur. Je sortais presqu’entièrement de son sexe puis venais l’emplir entièrement d’un coup. A chaque fois que je l’emplissais je voyais son visage partir en arrière, son cou se découvrir et elle poussait un gémissement de plaisir. Je décidais de glisser mes mains dans son soutien gorge pour caresser ses gros seins. Je les dégageais de leur carcan, les découvrant enfin complètement. Je regardais leur pointe, durcie par le plaisir, et les malaxais avec mes doigts, alternant cette caresse avec celle de ma bouche qui venait les lécher et les mordiller. Nous avions complètement fusionné dans notre plaisir. Je me sentais si bien ainsi en elle, et j’aurais voulu que ce moment dure indéfiniment. De son côté, elle avait posé ses mains sur mes fesses et m’accompagnait dans ma poussée pour la pénétrer. J’adore qu’elle me caresse ainsi, découvrant ainsi une nouvelle zone érogène.
Je la vis glisser rapidement un doigt dans sa bouche. Elle l’humidifia puis vint le poser entre mes fesses. Je sentis la pression de son doigt mouillé. C’était là aussi une nouvelle découverte pour moi. J’appréciais énormément cette caresse et je gémis alors qu’elle câlinait mon petit trou avec douceur. Sous l’effet de toutes ces sensations, je ne pus résister longtemps et je lui indiquais que j’allais bientôt jouir ! Elle en fût ravie et m’encourageait d’un simple « viens, viens en moi ». Elle glissa sa main entre nos deux sexes et caressa son bouton. Je sentis qu’elle aussi allait avoir un orgasme intense. Cette idée me fit partir d’un coup et je jouis longuement en elle. Je sentais mon sperme jaillir en elle et me demandais si elle le sentait l’envahir. Elle eut soudain un spasme puis son sexe serra le mien à plusieurs reprises. « Tu sens » me dit-elle ? « Tu sens comme je jouis ». J’acquiesçais simplement, savourant toutes ces sensations en même temps. Elle se détendit ensuite et s’abandonna le long du lit alors que je restais longuement en elle, savourant le fourreau de son sexe. Nous nous embrassâmes avec beaucoup de tendresse et douceur. Ce moment dura très longtemps et aucun de nous deux n’avait envie de l’interrompre. Mon corps était encore tout électrisé par tout le plaisir que j’avais éprouvé et que j’éprouvais encore, d’une manière différente, plus diffuse, plus douce.
Malgré tout, cet instant particulier se termina. Je me retirais d’elle et m’assis à son coté, contemplant son corps de femme mure, ses hanches, ses seins lourds et aussi son sexe ouvert et brillant de notre plaisir. Je regardais fasciné mon jus sortir doucement. Je posais un doigt entre ses lèvres pour sentir la chaleur de ce liquide mélangé au sien, fruits de notre plaisir. J’avais envie de la caresser encore et de poser ma bouche entre ses cuisses. Elle était excitée par ma réaction et avait envie de me regarder faire. Mais elle m’indiqua que son sexe était très sensible. Je la laissais alors et vins me blottir contre elle, corps contre corps.

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