Collection Fantasme. La Voix Ou La Totalité De Nos Fantasmes (2/4)

Je rentre chez moi après avoir fini mon travail.
Je suis avocate et je travaille quelquefois tard.
C’est le cas ce soir quand allant entrer dans le métro, ce que je crains, car les couloirs sont quelquefois vides, mon portable sonne.

C’est ainsi que commence une histoire folle m’arrivant.
Photo plus voix, je me vois contrainte, non sans un certain plaisir à faire des choses que la morale réprouve, mais qui sont à la limite de me faire jouir.
C’est le cas dans cette rame de métro où j’écarte mes cuisses devant un vieux monsieur qui regarde ma chatte sans avoir la moindre réaction.

• C’est bien, laisse ta main libre hors de portée de ta chatte, ce vieux doit simplement profiter de la vision qu’il a de toi !

J’ai envie de me caresser, il y a longtemps qu’un tel envie m’a quitté avec les trépidations de la vie.
Je me dis une nouvelle fois que je dois me réveiller et qu’ayant retrouvé Loïc après m’être blotti dans ses bras, j’accepte sa proposition de partir une semaine en thalasso.
J’ai vraiment besoin de vacances afin de m’éloigner, la voix dans mon portable me lâchera peut-être.

• À ton regard, je vois que tu aimes ce que je te fais vivre.
Tu as compris qu’à aucun moment ta réputation d’avocate montante sera entachée.
Referme doucement tes cuisses, vous allez arriver dans la gare, dans deux stations tu seras arrivée.
Le vieux va descendre et trois personnes vont monter.
Je te laisse pour ce soir passe une bonne soirée.
Ton mari doit avoir droit à toute ton attention.
Je reprendrais contact avec toi, chaque fois que je penserais que la situation sera intéressante pour toi.

J’arrive chez moi, Loïc m’attend, j’ai de l’appréhension.
J’ai conscience qu’en cédant à la voix, car j’ai beau retourner le problème dans tous les sens, c’est une voix, même si elle est très sensuelle, qui prend le pas sur ma vie.

• Véronique, c’est la dernière fois que tu prends le métro pour rentrer à cette heure tardive.


On a largement les moyens que tu prennes un taxi, j’avais peur pour toi.

Il est touchant, surtout s’il savait ce que j’ai vécu.
Puis-je lui expliquer que la voix maîtrise mes débordements, elle semble pouvoir faire ce qu’il faut pour que seulement mes rencontres puissent voir ce qu’elle m’impose de faire
Même si la morale pourrait le réprouver.
Je vais prendre la douche, je sens que mon corps est bouillant d’envie.
Je passe un peignoir et je le rejoins dans la cuisine.

• Chérie, ma quiche va être trop cuite.

Je tends la main, stoppant le four.
Il voit qu’il est obligé de s’occuper de moi d’une autre façon que celle qu’il avait prévue en préparant le repas.
Il m’assied sur le plan de travail, mon peignoir s’ouvrant.
Sa bouche vient caresser mon clito.
J’étais dégoulinante quand je suis rentrée, je suis aux anges quand il me pénètre et qu’un orgasme me traverse rapidement.

« Ton mari doit avoir droit à toute ton attention. »

Quand nous nous couchons, cette phrase me revient en mémoire.
Même inconsciemment j’ai suivi les directives de ce que je finis par appeler « la voix. »

Quelques jours passent.
Mon inconscient et ma charge de travail me font oublier l’épisode du métro.
Je suis à la gare d’Austerlitz, mon cartable de travail en main avec ma robe bien rangée.
Je vais rencontrer un chef d’entreprise en prison en vue de sa défense.
Départ 7 heures 37.
J’ai dix minutes d’avance.
Mon portable sonne.

• Véronique, met tes écouteurs, je suis là.
Tu te souviens, j’ai même complété mon catalogue d’image de toi.
Noah qui te baise à la Réunion.
Toi t’exposant dans les couloirs du métro et maintenant celle-là.

Comme pour celle de nos vacances.
Celles dans le couloir me prouvant que ces photos ont été prises sans que je puisse dire comment.
La nouvelle me montre dans le wagon du métro, les cuisses écartées, ma chatte blonde exposée au regard du vieil homme.

Un instant, j’ai l’impression que cet homme est un extra-terrestre et que la photo est prise par ses yeux.
Heureusement, que le wagon était vide !

• Monte, entre dans le train.
Tu t’assieds sur le premier siège à droite.

Pleine d’appréhension, j’entre et je vais pour prendre la place qui m’a été assignée par la voix.
À mon côté, un homme semblant très grand est assis à côté alors que les places prises sont toutes plus loin que nous.

• Oui, cette place, je sais à cette heure, le wagon devrait être plein.
Tu vois jusqu’à ou vas mes possibilités pour que tu puisses passer un voyage agréable.
Pourquoi as-tu mis un string, tu m’as mal compris dans le métro, c’est tout le temps que ta chatte doit être à ma disposition de mes jeux érotiques.
C’est la dernière fois que je te préviens, la prochaine fois souvient toi que je possède le numéro de portable de ton mari.
Attention, j’ai horreur que l’on essaye de me tenir tête.

D’un côté, je suis piégée, de l’autre, ces situations insolites m’apportent du plaisir que j’aurais eu du mal à déclencher seule.
Même si ce plaisir est malsain, j’aime Loïc, mais au fond de moi j’ai l’impression d’avoir toujours voulu vivre de tels moments.
Je m’assieds, le train démarre, m’isolant un peu plus.
Dans une autre vie, celle d’avant mon mariage, j’aurais profité de la situation pour passer ma main dans l’élastique de son pantalon de survêtement.
Instinctivement j’ai l’impression qu’il est bien monté.

• Véronique, tu vas être tranquille un bon bout de temps du voyage.
Le temps que je désire nécessaire à ce nouveau petit jeu.
Passe ta main dans l’élastique du survêtement de ce garçon.

Mince, de la transmission de pensée, qui peut avoir de tel pouvoir, mais j’ai appris à exécuter les ordres de mon dominateur.
Que va-t-il se passer si ce gars se réveille et qu’il voie que j’ai ma main sur son sexe ?
Ma main glisse et je finis par attr ce qui tend ce pantalon.

Noah était mieux monté que Loïc ou de tous les amants qui ont emmaillé ma vie d’avant.
À ce moment, c’est la plus belle que j’ai eue en main.

• Sors là.

Jusqu’à maintenant la voix m’a fait exhiber pour mon plus grand plaisir.
Certes, j’ai trompé Loïc lors de notre voyage de noces, mais le cocktail que Noah m’avait fait boire y était pour beaucoup.
Là, la voie me fait prendre un autre chemin celui de l’adultère consenti à moins que je rêve et que je vais me réveiller dans les bras de celui à qui j’ai dit oui.
La voix propose, je dispose, alors je la sors comme elle me la demande.
Combien, 20, 25 aussi imposante que la grandeur du type.
Je vois qu’il me regarde sans rien me dire.
Est-il naturel qu’une jeune femme vienne s’assoir à votre côté alors que de nombreuses places sont libres ?
Est-il normal que cette jeune femme vous sorte votre queue et que vous vous réveilliez la regardant comme si cela était la chose que toute jeune femme mariée rêve de faire !
Surement non, mais moi après mon incartade réunionnaise et le pillage de mon téléphone, pour la voix je le fais.

• Tu as compris, suce là, regarde, c’est ce que grand dadais attend.

Voilà j’y suis, la voix veut que je bascule au risque de perdre mon mari et mon travail.
Un mari, ça se remplace, mais un bon boulot me rapportant de quoi vivre une vie toujours renouvelée, je sais que ce sera terminé.
Je courbe mon corps.
Il m’appuie sur la tête.
Je résiste, j’ignore quelle infamie m’est réservée la prochaine fois et quelle photo cela permettra à mon suborneur de me montrer à cette occasion.
Mais en moi depuis mon plus jeune âge, du moins depuis mon adolescence, je sais que je finirais dans la luxure.
Impossible de la faire entrer sans risquer de vomir le café croissant prit à la gare avant de monter dans ce train.
Ma langue est active, j’ai envie de faire durer le plaisir.

Quitte à verser dans l’adultère autant qu’il soit entièrement consenti et je m’attèle à satisfaire et ce garçon et cette voix.

• C’est bien Véronique, je sais qu’il t’est impossible de lui faire une gorge profonde, tu t’éclaterais les mâchoires.
Suce bien, tu verras ça quand tu auras avalé le sperme de ce garçon.
Car tu vas avaler le sperme, sinon attention, mais je crois que tu prends goût à nos petits jeux.

Je viens de faire entrer le gland dans ma bouche.
Je fais oui de la tête, ce qui plonge cette verge au plus profond de ma gorge.
Il éjacule, je dois le sortir un peu afin que ma cavité buccale puisse recevoir la totalité des jets de sperme.
Je pourrais cracher à ses pieds, mais sans aucun ordre dans mes écouteurs j’avale la liqueur de ce garçon.

• Mesdames et messieurs, nous arrivons au terme de notre voyage.
J’espère qu’il a été agréable.
Nous vous souhaitons un agréable séjour à Tours, patrie d’Honoré de Balzac, François Rabelais, Pierre de Ronsard et Alfred de Vigny.
Sans oublier, le célèbre Georges Courteline.
Et plus près de nous, Patrice Leconte et surtout le sublime Jacques Villeret.

Je prends un taxi, la maison d’arrêt de Tours m’attend...

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