Baisé Dans Un Restaurant (2)

Quelque temps après avoir baisé avec le beau cuisinier, je retourne au resto, beaucoup
plus par habitude, en me disant qui sait ce que me réserve la soirée. Contrairement à
l’accoutumée, ce soir, la salle est pleine. Je m’installe, toujours à la même place,
dans un coin, caché par un paravent, à travers lequel je peux voir sans me faire
remarquer. Mon beau cuisinier est aux fourneaux, occupé à préparer les commandes.
Cependant, il prend le temps de me sourire, et de me faire un clin d’œil.
Toutefois, ma joie est de courte durée. Le patron – ou plutôt le fils du patron – est
là, c’est lui qui assure le service. Il me reconnaît et vient me saluer. Sa poignée de
main est douce, comme une caresse. Ses yeux brillent et il me sourit. J’ai mis ça sur
le fait que je sois client.
Tout au long du repas, le cuisinier et moi échangeons regards complices et petits
sourires en coin. Le fils du patron est au petit soin avec moi. Comme toujours, je me
retrouve seul, le restaurant est vide. Je me dis qu’il faut que je quitte les lieux.
Au moment où je décide de demander l’addition, le fils du patron me propose un café,
comme je ne suis pas un amateur, je le remercie en lui disant que s’il y a du thé je
ne dirai pas non. Malheureusement, ou heureusement, il n’en avait pas, et je me
surprends à dire « pas grave, mais si vous avez du lait, je suis preneur ! » avant de
réaliser l’incongruité de mes propos. Sans sourciller, il me sourit et me regarde
droit dans les yeux, et me dit avec un calme olympien : « Pour le lait, il n’y a aucun
souci, ce n’est pas ça qui manque ! » Je rougis. « Cependant, il est conseillé de le
prendre par petites doses », a-t-il ajouté tout en se caressant son entrejambe.
Le message était clair, ça ne servait à rien de se voiler la face ou de faire semblant
de ne rien comprendre. Je me rassois, il s’avance vers moi et ouvre sa braguette pour
sortir le petit oiseau.

Petit, c’est plutôt le contraire. Son sexe encore mou, au
repos, et de belle taille. Il place sa main sur ma tête et me pousse vers sa queue.
Une invitation à le sucer. Je ne me fais pas prier. J’ouvre la bouche et je happe son
gland que je tète quelques secondes avant d’engouffrer un peu plus sa queue. Je la
sens grossir, enfler et prendre du volume. J’oublie où je suis. Les bruits
d’ustensiles de cuisine me rappellent que le cuisinier est toujours là. Je lance un
regard interrogateur au fils du patron, voyant qu’il ne réagit pas, je me dis qu’il ne
fait pas attention à nous, puis il y a le paravent. Il prend ma tête entre ses mains
et accélère son va et vient. Il pousse au fond de ma gorge, ma salive dégouline de
partout. Il prend ma bouche pour une chatte ou un trou de cul, il accélère, je ne fais
rien, aucune résistance. Je sens sa queue raidir, il serre ma tête et quatre ou cinq
jets de sperme giclent dans ma bouche. Il est chaud et épais, je l’avale sans qu’il ne
me le demande. Je suce encore jusqu’à la dernière goutte. Il se dégage de ma bouche et
remballe son matos, et retourne à la cuisine. A peine ai-je le temps de recouvrer mes
esprits, que mon beau cuisinier et près de moi. « Alors c’était bon ? » me demande-t-
il. Là j’ai compris qu’il était de mèche avec le fils du patron, et qu’il a dû lui
raconter ce qui s’était passé entre nous. Je reste sans voix non pas honteux ou autre,
mais je n’ai trouvé rien à dire. Il me fixe du regard, s’approche plus près de moi.
Son tablier est soulevé par une bosse. Il le passe de côté et je découvre que son sexe
est aussi droit qu’un « i ». Même s’il est de taille moyenne, il me fascine. Je penche
mon buste et je lèche le gland. Il devait être très excité, car il pousse d’un coup sa
bite au dans ma bouche. Je prends du plaisir à jouer avec ma langue, de la faire
tourner autour de sa queue.
Un délice.
Je le pompe pendant de longues minutes. Pendant un moment, il me baise littéralement
la bouche, il se déchaîne sans se soucier de mes gémissements. Il arrête, me soulève
et me fait pencher sur la chaise. Ses mains caressent mes fesses sur mon pantalon… Ne
tenant plus, il se débat pour le déboutonner. Tout se fait rapidement, je me retrouve
très vite froc et caleçon aux chevilles. Sans perdre une seconde, un doigt titille ma
rondelle, puis s’enfonce un peu. Il le ressort, écarte mes fesses et crache sur mon
trou. Je sens son gland à l’entrée de mon trou de balle… il pousse et glisse d’un
coup, je crie de surprise et un peu de douleur… Je n’ai pas eu le temps de réagir que
le fils du patron présente sa bite à ma bouche pour la sucer. Je la gobe dans ma
bouche qui devient un véritable vide-couilles. Au bout de quelques minutes, ils
changent de place, et me baisent les deux trous. Le fils du patron me déchire le cul,
vu qu’il est bien monté 19 sur 5 cm. Contrairement au cuisinier, il est rude et
brutal. J’avais le cul en feu. Il s’arrête d’un coup, se cale sur la banquette et me
fait asseoir sur son sexe fièrement dressé. Je commence à coulisser dessus. Un plaisir
indescriptible. Alors qu’il me pilonnait, le cuisiner me donne sa queue à sucer… Je ne
me fais pas prier. Il délaisse ma bouche, s’avance, me bascule sur le fils du patron,
lève mes jambes… Le temps de réaliser que le voilà qui me pénètre. Une double
pénétration. Il donne le la. Je me sens défaillir, le plaisir est fort. Deux queues
qui coulissent dans mon trou. La sensation est bizarre, je me sens rempli, déchiré.
Mes deux assaillants se donnent à cœur joie, ils me démontent le fion, je gémis de
plus en fort, j’halète tellement je me retiens de ne pas crier de peur d’ameuter le
quartier. Le plaisir augmente, je jouis sur moi sans me toucher. Ils se retirent tous
les deux, me mettent à genoux et sur branlent au-dessus de mon visage.
Ça n’a pas
tardé : tous les deux se sont vidés sur mon visage et dans ma bouche, je me suis
régalé à avaler ce nectar. Avec mes doigts je me nettoie le visage, je ne laisse
aucune goûte de sperme… Le temps de revenir à moi, le fils du patron se rhabille et
quitte le restaurant me laissant avec le cuisinier. Ce dernier, endurant, me baisa
encore une fois, prenant tout son temps. Mon trou endolori, était béant, bien ouvert.
Sa queue coulissait sans peine, tellement j’étais dilaté. J’ai quitté les lieux avec
les fesses en compote. J’avais un peu de mal à marcher. En rentrant chez moi, j’ai
pris une douche et je me suis branlé, tout en me doigtant malgré la douleur.
Heureusement que c’était la veille du week-end, j’ai pu me reposer et récupérer. Je
n’ai pu m’asseoir cinq jours durant, mais je n’ai eu aucun regret. Et si c’était à
refaire, je le referais.

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