Mamy Claudie Se Remémore Sa Jeunesse...1ere Partie

Ma petite fille fête ses dix huit ans dans la vieille grange de mon corps de ferme qui
ne sert plus, je suis sa mamy claudie j’ai moi-même soixante douze ans, veuve depuis
cinq ans
Faustine sort avec un beau brun nommé Freddy, malgré mon âge j’ai tout organisé, les
parents respectifs sont allés se coucher, quelques jeunes plus ou moins alcoolisés
sont allés se coucher dans le garage, y compris Faustine et Freddy, coucher ensemble
avant le mariage est chose courante
Je me prépare à aller me coucher mais avant je me pose devant l’insert qui chauffe ma
salle à manger, j’adore me chauffer les fesses, je suis nue sous ma chemise de nuit,
pas celle d’aujourd’hui en dentelle, non, en tissus a fleur, Je suis penchée vers la
vitre pour admirer les flammes quand la porte d’entrée s’ouvre, c’est Freddy, mince,
a-t-il vus mes formes de mémé sous mon vêtement éclairé en ombre chinoise par la
lumière du feu ? Il reste un moment sans bouger
- Excusez moi j’ai vu de la lumière, je vous dérange mamy Claudie ?
- Pas du tout mon grand, entre que veut tu ?
- Je n’arrive pas à dormir, avec tous les autres autour de nous pas moyen de
nous ‘ amuser ‘ Faustine s’est endormie du coup
- Vous amuser ? …hah oui suis- je bête ! vous autre les jeunes vous parlez de
sexe librement c’est vrai de mon temps c’était tabou ! assied toi il reste du
champagne, si tu veux on va bavarder un peu, je vais passer une blouse avant
- Non ! non restez ainsi
- Tu me trouve érotique ainsi ?
- Ben, ce n’est pas désagréable à regarder ! vous avez encore de belles formes
mamy
- Petit aguicheur ! cela fait combien de temps que tu sors avec ma petite fille
?
- Un an, mais je suis arrivé trop tard pour …pour cueillir sa fleur !
- Ha oui je suis au courant, elle l’a perdue a seize ans, je les aie surpris ici
dans la grange, si son père savait ça ….


- Avec un petit voisin c’est ça ?
- Elle t’a raconté ?
- Oui, un peu mais pas en détails, mais vous ? dans votre temps comment ça se
passait la sexualité ?
- hoooouuu ! c’n’était pas facile, pour trouver un garçon fallait choisir parmi
ceux du bourg nous n’avions pas de moyens de locomotion, la pilule n’existait pas,
pour les capotes il faillait avoir le courage d’aller les acheter a la pharmacie et
supporter le regard vicieux du pharmacien, rien que pour les caresses ce n’était pas
facile avec ses maudits pantys qui ressemblaient a un cuissard de cycliste, un vrai
antiviol ! il fallait en avoir vraiment envie et trouver un coin très tranquille pour
l’ôter
- Comment avez vous perdu votre virginité mamy ?
- Tu es bien curieux toi, mais ça me ferais du bien de me remémorer le bon vieux
temps, et puis après tout je vais te confier mon secret, je me souviens de tous les
détails comme si ça c’était passé hier, je vais faire comme vous les jeunes, parler
ouvertement de ‘ cul ‘ !
- Chouette !
- Alors voilà …. Cette année là j’avais dix sept ans, ça s’est passé en juillet
au moment des moissons, mes parents étaient aux champs a relever les gerbes de blé,
moi on m’avait envoyée garder les quelques vaches de la ferme dans un pré au bout d’un
chemin boisé, la présence du chien berger me sécurisais, seule a l’ombre d’un grand
chêne j’avais peu de vêtements sur moi, il faisait très chaud, le chien surveillait le
troupeau, je me suis allongée dans l’herbe fraiche, j’ai carrément ôtée ma culotte ,
oh ça ne ressemblait pas aux minis d’aujourd’hui qui ne cachent rien du tout ! …
eeeeetttt, je me suis caressée
Le jeune Freddy se trémousse sur sa chaise
- j’avoue que de reparler de ça me fait chaud au ventre
- Vous vous caressiez ? comment comme les filles de maintenant ?
- bien sur elles n’ont rien inventé ! sauf que l’épilation ne se faisait pas, du
moins pas pour les jeunes filles ma mère aurait eue une attaque ! je ne mettais pas
les doigts dedans vu que j’étais vierge, donc je me suis caressée le clitoris jusqu'à
la jouissance, vaincue par le bien-être je me suis mise a somnoler, soudain le chien a
aboyé, un homme est apparu, trop tard pour remettre de l’ordre dans mes vêtements, ma
culotte gisait a coté de moi, j’ai bien tenté de la camoufler sous mes fesses, cet
homme je le connaissais, c’était un oncle par alliance mais un oncle quand même, il
travaillait comme comptable a la s n c f de la ville , quand il parlait tout le monde
buvait ses paroles , intelligent, bel homme, fines moustaches, il avait réussi dans la
vie, cet après midi là il portait une chemise ouverte blanche a rayures bleues , de
nombreux poils garnissaient sa poitrine, ça faisait viril, un pantalon de toile fine
tenu par de bretelles , il était magnifique
- Bonjour Claudie il fait chaud n’est ce pas ?
- Oui oncle Robert
- Laisse tomber ‘ oncle ‘ appelle moi robert, tu n’as pas peur seule en pleins
bois ?
- Non pas du tout robert j’ai mon chien !
- Je peux m’assoir a ton coté ?
- Il s’est assis, a pris un brin d’herbe et a commencé à me chatouiller le cou,
je rigolais comme une bécasse, je me tordais pour y échapper tant et si bien que je
suis tombée a la renverse … c’était fini ….
Sa large main sur mon sein me maintenait
clouée au sol, de toute façon je n’avais pas envie de me relever , il s’est penché sur
moi j’ai fermés les yeux , ses lèvres se sont posées sur les miennes nos bouches se
sont ouvertes, sa langue a tourné dans ma bouche moi je ne savait pas répondre a ce
genre de baiser, l’autre main est passée sous ma robe, ses doigts ont atteints mon
minou velu, mes jambes ses sont séparées toutes seules, il a murmuré …
- Es tu vierge ?
J’ai soufflé un ‘ouuuuuuuiiiiii ‘
- Claudie ? Tu as déjà vu un sexe d’homme ?
J’ai fait non de la tête et poussé un petit cri quand ses doigts ont débusqués mon
clitoris
- Je vais lécher ton joli coquillage après je te monterais mon sexe
- Me lécher ? ho non il ne faut pas faire ça oncle robert !
- Mais si tu va voir comme ça fait du bien
Je marque un temps d’arrêt, Freddy ne tient plus en place sa main bouge régulièrement
sous la table
- Continuez mamy Claudie …..
- Robert a remonté ma robe j’ai soulevé mes fesses pour l’aider à me dénuder
jusqu'à la taille, j’ai fermé les yeux quand j’ai sentis son souffle sur ma chatte, il
a passé ses deux mains sous mes fesses, sa langue a ouvert ma vulve, j’étais
désespérée, quelle odeur, quel parfum avait mon sexe avec cette chaleur ? En tout cas
il grognait de satisfaction en fouillant les replis de l’entrée mon vagin et mon
clitoris qui, sortit de son capuchon, a peine remit de mon précédent orgasme était a
la fête, j’ai jouis en lâchant un jus abondant dans sa bouche, il s’est relevé en
s’essuyant d’un revers de main
- Ta chatte est merveilleusement bonne, bravo pour ta réceptivité
- Il s’est hissé a ma hauteur et le plus naturellement du ponde a fait glisser
ses bretelles et baissé son pantalon, je n’osais pas regarder ce slip kangourou tendu
comme une toile de tente
- Claudie enlève ta robe et ton soutient gorge je pourrais les tacher
- Ah bon ?
- Crédule j’ai obéis comment et avec quoi pourrait il bien me tacher ? je l’ai
vite compris… robert a écarté l’élastique de son slip une barre de chair toute raide
en a jaillit puis j’ai vus les bourses velues qui pendaient dessous
- Voila a quoi ressemble un sexe d’homme, une queue si tu préfère, donne ta
main… caresse en la structure, tu vois le petit museau rouge qui suinte ? retrousse la
peau, tire, pousse, tire, pousse, plus vite ….
….raaaaaaahhhhhhhhhh ça s’appelle
branler … va y tu me fais du bien
- Ça me faisais du bien a moi aussi je mouille encore entre les cuisses rien que
d’en parler
- Insiste je vais jouiiiiiiiiiiiiir attention … vise tes seins...
OOOUUUUAAAAAHHHHHH !
- Ooooooohhhhh ! j’ai de la crème blanche partout !
- Masse tes seins avec c’est très bon pour la peau
- Ça poisse beurk !
- Tu ne diras pas toujours ça, veut tu que je fasse de toi une femme aujourd’hui
? veux-tu épater tes copines en leur annonçant que tu es devenue femme ?
- Çà ne risque rien oncle Robert ? vous ne me ferez pas un ?
- bien sûr que non voyons j’ai l’habitude avec les femmes, laisse toi faire …
remonte tes genoux prés de tes seins
- Je suis ridicule dans cette posture …
- Vachement bandante oui ! tu as plein de gouttelettes dans les poils tu devrais
les couper
- Si je fais ça je me ferai engueuler par maman
- Ha celle là quelle mal baisée …! Ne bouge plus, je vais mettre ma ziquette
dans ta tirelire…
- Il s’est allongé sur moi je n’en menais pas large, soudain brutalement il me
l’a enfoncée, j’ai hurlé de douleur quand mon hymen a craqué, j’ai continué à crier
mais plus de douleur, ça ma faisait un bien fou je n’avais jamais jouis autant, et
brutalement il s’est retiré, déçue j’ai ressentis un grand vide d’un coup, et j’ai
sentis un liquide chaud sur mon ventre
- Excuse moi je ne peux pas décharger dedans c’est trop risqué sans capote, mais
si tu es encore là demain j’amènerais ce qu’il faut… essuie toi bien, aller salut ma
belle Claudie
- Il est repartit me laissant nue engluée de son sperme, j’ai enfoncés deux
doigts dans mon vagin sans rencontrer de résistance j’étais dépucelée !
- Vous y êtes revenue le lendemain ?
- Tu pense bien que oui ! c’était trop bon ! en l’attendant j’avais ôtés mes
sou- vêtements pour gagner du temps, dés qu’il est arrivé il a quitté son pantalon sa
queue raide pointait devant lui
- Approche Claudie regarde le de bien prés…ouvre ta bouche
- Qu’allez-vous faire ?
- hé bien te la mettre dans la bouche pour que tu la suce tout simplement pardi
!
- Après avoir hésité deux secondes j’ai gobé ce fruit rouge gorgé de sève, la
sève je l’ai reçue en pleine gorge, au début j’ai recraché et le goût m’a plut alors
j’ai tétées les dernières gouttes
- Aujourd’hui tu va rester a quatre pattes tu va voir la différence avec hier,
je vais m’enfoncer plus loin
- Vous aller éjaculer dehors ?
- Non regarde, j’ai amené une poire a lavement je te rincerais la chatte après,
tu va apprécier quand ça va fouetter ton utérus
- Ah bon ?
- Cambre toi bien petite salope, n’ai pas honte de me montrer ton trou du cul
- Pour le voir il devait le voir, mon menton touchait l’herbe, quel bonheur de
se faire prendre dans cette position ! son ventre claquait sur mes fesses ses bourses
tapaient sur mon clitoris, j’ai hurlé tout le temps qu’il m’a ramonée, quand je dis
ramonée c’est peu de le dire !! et enfin le moment suprême est arrivé….
Je ressens
encore les giclées….Haaaaaa quelle nostalgie ….
- Ne pleurez pas mamy ….
- Je ne pleure pas voyons … Une fois l’affaire terminée, accroupie, il m’a
enfoncée une canule dans la chatte et pressé sur la poire, son jus et le mien ont
disparut dans l’herbe, voilà tu sais tout
- Il n’est pas revenu ?
- Ho si ! mais ce serait trop long a raconter, durant un an il m’a tout appris,
vraiment tout…bon je vais aller me coucher ça m’a toute retournée de ressasser ça
….mais avant je vais me chauffer le derrière une dernière fois, aller va te coucher
toi aussi

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