Mes Confessions Suite 4

Quand tout va changer en grandissant
C’est Michel qui me fit connaître une autre aventure.
Mais nous étions déjà majeurs. Du moins moi je venais d’avoir 18 ans. Il me fit
connaître un joli pédé fort jeune qui était prostitué par ma maman ! En fait c’était
sa belle-mère, la seconde femme de son père, une ancienne putain qui le présentait
d'abord aux clients. Son père, un homme très riche, étant mort cette femme l'avait
élevé et l'avait entrainé pour ça dès qu’elle comprit qu’il "virait pédé" et qu’il
valait mieux gérer ses fréquentations. Il l’appelait maman comme Jean-Jacques Rousseau
appelait ainsi sa maitresse, Madame de Warens.
Mais avec lui je suis devenu passionné de sexe ! Oui il était prostitué par sa belle-
mère ! Simplement. Sans pression. Pour le protéger. Il reçoit ainsi de manière très
discrète ! J'ai baisé ce garçon très souvent. Un adorable petit gars soumis portant
le prénom de Louison ou plus facilement de Loulou. Un nouveau client doit d'abord
prendre rendez-vous avec cette "belle-mère" que ce joli garçon appelait maman Au début
j'étais très gêné quand sa maman assistait à nos ébats mais elle a su s'y prendre.
Comme je l’ai dit, c’est par un copain que j’ai fait la connaissance de ce petit
prostitué qui appelait toujours sa maman. C’est un copain qui m’a introduit chez lui.
La première fois c’est toujours elle qu’on doit voir. Elle ne prenait pas n’importe
qui. Pas des vieux. On discutait avec elle puis elle appelait son beau-fils...son
Loulou. Une petite beauté ! Un joli blond. Sur l’invitation de sa maman il se
déshabillait devant moi et aussi devant sa maman bien sûr car c’est ainsi comme je
l’ai dit qu’il appelait toujours sa belle-mère Il montrait tous les jolis aspects de
lui-même ...Je l’admirais. J’ai pu caresser et embrasser un peu ses fesses. Mais
j’étais gêné devant elle !
- Mais commencez à vous déshabiller me dit-elle.

N’ayez pas de pudeur ! Faites comme
Loulou qui est déjà tout nu !
Je quittai mon tee-shirt et mon pantalon tout en gardant mon slip. Je posai mes lèvres
sur la fesse de Loulou. Ma verge pointait dans mon slip léger comme une tige d’acier.
Elle en était même irritée.
- Mais quittez aussi ça ! Ne cachez pas ce que vous avez de plus joli !
Elle avait déjà passé ses doigts dans l’élastique et n’avait plus qu’à le faire
descendre.
- Vous voyez bien qu’il fallait vous libérer !. Votre verge en est même irritée.
Loulou va vous passer une crème apaisante et qui maintient plus longtemps l’érection
sinon vous éjaculeriez avant de l’avoir touché.
Loulou avait ouvert un flacon et me passait avec un seul doigt cet onguent. C’est vrai
que je me sentais moins fragile. Tout nu comme lui il m’a fait passer sous la douche
et il me lavait tout. Et lui-même montrait qu’il était propre même dans son orifice
intime qu’il dégageait bien. Je bandais toujours ! Maman nous regardait et je finis
par accepter sa présence sans plus de gène.
On pouvait prendre tout son temps pour le palper et le baiser longuement. L’onguent
qu’il me donnait maintenait mon érection et même me faisait assez vite recharger Il
suçait rarement, juste pour m’exciter ! Il aimait surtout être pénétré mais pas être
sucé ! Il prenait toutes les positions qu'on voulait sur le ventre, à quatre pattes,
sur le dos les cuisses bien écartées et semblait aimer ça. Un "pro"! et quel beau cul
! Pas un poil à l’orifice ! On pouvait le lui lécher avec plaisir. Ce que je faisais
sous le sourire bienveillant de maman . Sa belle-mère devait s’occuper sans doute de
son corps et le lui épiler. Elle fournissait les préservatifs. On buvait une orangeade
fraiche.
Par la suite je téléphonais pour rendez vous mais toujours à sa maman. Elle vérifiait
quand même. On allait tout de suite dans sa chambre.
Souvent elle entrait avec nous
quand nous étions nus. Pour vérifier. Lui ça ne nous étonnait pas. On en souriait.
Avez-vous connu quelque chose de semblable ? Une femme maquerelle d’un escort boy.
C'était vraiment un bon coup il faut le dire ! Je pourrais préciser si vous le voulez.
Pour lui c'était mieux que "le trottoir" que sa belle-mère avait connu. Etant un
habitué j’avais moitié prix. Et on pouvait rester tout le temps qu’on voulait. Il
savait même faire re-bander une autre fois assez vite en allant encore à la douche !
Je vous donnerai d’autres précisions si vous voulez. Maintenant c'est pour moi une
addiction.
Aujourd’hui, elle est encore auprès de nous. En intime. Ça ne me gène plus. Devant sa
maman nous sommes nus. Il s’allonge sur le lit. Il a le corps fin et souple. Sa maman
me caresse les fesses. Je commence à le caresser partout.
– Hmmm ! Comme t’as la peau douce !
Il me fait un grand sourire de toutes ses dents. Vraiment adorable : je l’embrasse,
puis je continue de le baisouiller partout, sur le torse, dans le cou, sur les
épaules…
Il doit être très jeune. Il a un joli visage et surtout un corps sublime. Sa maman me
faisait carrément du gringue en plotant mes fesses. Couché à plat ventre sur son lit,
il se laisse faire. Je lui caresse le dos, j’y dépose des petits bisous en descendant
vers ses fesses. En bonne salope bien éduqué par sa maman, il pousse des petits
soupirs de satisfaction et écarte les jambes à mesure que je m’approche de son cul.
– Oh ! Ton petit trou du cul ! Qu’est-ce qu’il est mignon ! Hmmm ! Il sent bon.
Qu’est-ce qu’il est doux ! Bien lisse. Tu te rases ?
– Non maman m’épile.
– Avec quoi ?
– À la cire.
– Hmmm ! C’est doux. Ça sent bon…
– C’est la crème qu’elle me met après l’épilation. Elle m’épile juste avant de
descendre au parc.
– Woaohh ! Tu t’es épilé pour aller draguer ?
– ouais mais en fait je ne drague pas.
J’attire vers chez moi. Maman voit après à qui
elle peut faire entrer !
– Ça m’excite ! Raconte-moi ça !
– J’adore qu’elle m’épile le cul. Je me le lave d’abord longuement à l’eau tiède.
Pendant ce temps, elle fait chauffer la cire avec un appareil pour ça, qui la
maintient aussi à bonne température. Ensuite elle étale la cire chaude avec une petite
spatule en bois. Elle fait ça devant ce miroir, là… Je peux voir deux jolies bandes de
cire : une de chaque côté de mon anus.
– Et quand elle les arrache, ça fait pas trop mal ?
– Si, mais j’adore ça ! D’abord elle soulève un petit coin de la cire, comme un
couvercle de yaourt, et ensuite elle arrache d’un coup sec. Je pousse un cri, comme ça
: aaaïh ! J’aime les petites douleurs bien placées. Les fessées par exemple.
J’aimerais que tu m’en donnes.
- J’aimerais ça aussi.
- Je t’en donnerai. Ou maman te le feras si tu veux. Elle aime fesser les garçons.
– Ha ! Ha ! Ha ! T’es vraiment trop mignon !
– En général, ça me fait bander quand elle arrache la cire, alors elle me caresse un
peu en attendant que la douleur s’apaise. Et elle me passe une pierre d’alun mouillée
à l’eau froide sur la peau épilée.
– Une pierre d’alun ?
– Oui, c’est une pierre blanche : c’est ça, là-bas, sur l’étagère… C’est un
antiseptique naturel, ça assainit la peau après l’épilation…
Vu la forme lisse et oblongue de sa pierre d’alun, il n’y a aucun doute sur la façon
dont il l’utilise pour assainir la peau de son anus !
– Ensuite, elle met une crème apaisante à l’amande douce.
– Oui, hmmm ! C’est ça qui sent si bon !
– Quand elle a fini, je sens mon petit trou tout net et tout bien dégagé. J’ai
l’impression de sentir l’air plus froid que d’habitude entre mes fesses. Je me sens
tout nu. Alors j’ai besoin que quelqu’un en profite. Je mets un jean, pas de slip, et
je descends direct au parc pour me faire draguer.
Mais déjà maman a un rendez-vous
pour moi
Michel est venu me rejoindre. Maintenant nous avons des rendez-vous à trois. Oui
plutôt à quatre si l’on tient compte de maman.
Je prends maintenant le temps de bien ouvrir ce magnifique petit orifice avec un
puis deux doigts : je veux le préparer parfaitement pour que ma bite y glisse toute
seule comme dans un fourreau. Il m’aide en écartant les cuisses aussi loin qu’il le
peut ! Quand je le sens bien ouvert, je finis la préparation en le badigeonnant
copieusement avec le gel dont le tube traîne à côté du lit comme par hasard. Après
avoir mis la langue dans son orifice devant sa maman qui observe tout, je commence à
le pénétrer un peu plus profondément avec mes doigts. Il se met à quatre pattes pour
faciliter mon ouvrage, arrête de parler et ne pousse plus que des petits ha ! de
plaisir.
Depuis quelques temps maman m’autorise à ne plus mettre de capote. La pénétration se
fait effectivement toute seul et ma bite glisse en souplesse dans son cul. Tout en
commençant à le ramoner doucement, je me couche à plat ventre sur lui et lui dis à
l’oreille :
– Hahh… Qu’est-ce qu’il est doux, ton cul ! Je vais pas jouir tout de suite, mais
c’est super bon ! À chaque aller-retour, j’ai la bite remplie de plaisir ! Tu le sens
?
– Oui… Pour moi aussi, c’est délicieux… Quand tu fais des allers-retours lents et
souples, comme ça, j’ai l’impression de sentir ta jouissance dans ta bite.
Je le baise plusieurs minutes comme ça et je repense à son épilation.
– Moi aussi, ça m’excite à mort de t’imaginer quand on est en train de t’arracher les
bandelettes de cire et de savoir que tu cries de douleur… Ça m’excite !
– hah… hah…
– Maman pourra te le faire si tu veux. Pas vrai maman ? Tu le lui feras ?
- Oui mon chéri ! Vous le voulez bien dit elle en se tournant vers moi.
– … ?
– D’accord ? Tu me préviendras la prochaine fois ? Elle étalera la cire autour de ton
anus, avec la spatule… Je te banderai les yeux et au moment où tu t’y attendras pas :
crac, j’arracherai d’un coup sec ! Aahh !
Loulou était maintenant couché et moi je me tournais pour que sa maman puisse
constater à quel point ma bite était enflammée. Elle me dit en me tutoyant :"
L’onguent va te calmer ! Tu as un joli cul ! Écarte-le pour me montrer ta rosette! "
J'ai écarté mes cuisses mais elle m'a écarté les fesses avec fermeté et m'a dit" Tu
n'a presque pas de poils comme tous les jeunes blonds Tu voudrais pas être épilé du
cul même si tu en a peu et fins ? Tu serais parfait je sais le faire "
- Tout de suite ?
-Si tu veux
-D'accord
-Alors mets ton ventre sur le coussin
Elle fut d'une habileté incroyable. Il est est vrai que j’ai peu de poils et ils sont
fins.
Quelques minutes plus tard elle me fit voir son joli travail par un miroir qui
renvoyait mon cul devenu parfait.
- Et maintenant tu ne refuseras pas que je te glisse un petit gode bien fait pour ton
petit cul ?
Je regardais l'engin.
Il n'était pas effrayant ! Bien fait pour moi qui n'avais eu que peu d'expérience dans
l'introduction de bites dans mon cul et bien sûr jamais de gode !.
Elle le glissa entre mes deux hémisphères. La sensation me provoqua une nouvelle
érection terrible et je mis tout de suite ma bite dans le cul de son "fils".
Les deux exercices mêlés me provoquèrent une éjaculation qui me fit hurler de plaisir.
- Tu vas bander encore si tu me laisses faire.
La laisser faire c'était une fessée qu'elle m'appliqua en accélérant le rythme.
Aussi étonnant que cela paraisse j'avais des frissons de plaisir et ma bite se remit à
raidir.
– hah… hah…
– Maman pourra te fesser quand tu veux. Pas vrai maman ? Tu le fesseras ?
- Oui mon chéri ! Tu aimes ça, je vois, me dit elle en se tournant vers moi.
- Oh oui :
J’ai pas pu m’empêcher de donner un violent coup de bite bien au fond du cul de Loulou
au moment où j’ai dit ça. Ça nous a fait gémir tous les deux ! Sa mère éclata de rire

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