Confessions Intimes 2

Pas encore intéressée par les garçons, le plaisir que je me donne sans culpabilité et très souvent me suffit amplement.

Il m'arrive même de me faire jouir (le mot est nouveau pour moi) discrètement bien sûr, au font de la classe, pendant certains cours forts ennuyeux.

Isabelle (appelons la comme cela) une camarade m'a invité chez elle un mercredi après-midi.

Elle avait remarqué mon petit manège et voulait en parler avec moi !

Elle aussi se donne du plaisir, mais elle n'en a pas fait la confidence à sa mère et culpabilise passablement.

Nous en avons longuement discuté, discussion qui nous a donné envie et nous nous sommes fait du bien chacune de son côté.

Grande gêne puis fou rire interminable provoqué probablement par le stress !

Le mercredi suivant beaucoup plus de décontraction et invention d'un jeu auquel nous jouerons de nombreuses fois : laquelle se fera jouir le plus rapidement.

Nos capacités sont semblables et les matchs fréquents et disputés.

Après quelques mois de ces jeux nous avons franchi une nouvelle étape l'une faisant jouir l'autre mais par dessus la culotte sans jamais l'enlever !

Je ne sais pourquoi, mais malgré nos hardiesses et notre intimité l'idée de retirer ma culotte et de dévoiler ma fente me retenait (elle aussi je pense).

Cette pudeur (je ne sais quel mot employer) est assez incompréhensible car j'adore ne
pas mettre de culotte sous ma jupe ou ma robe de même que souvent je ne mets pas de soutien-gorge (ils tiennent tout seuls).

Je mets toujours une culotte sous un pantalon car le frottement me gêne, il est même arrivé qu'il me fasse jouir de façon intempestive et mal venue.

A suivre

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