Escapade Sauvage Dans La Nature

Coucou mes petits lecteurs, me revoilà pour vous raconter une nouvelle histoire coquine. En effet, cette histoire se passe il y a à peu près 1 mois avec mon ami Théo, encore lui.

C’était pendant le week-end, nous avons passé un samedi après-midi tous les deux, c’est tellement rare, que l’on profite au mieux de chaque instant ensemble et évidemment on se donne du plaisir et on se fait du bien.
Théo m’a contacté par téléphone un peu avant midi pour me demander de le rejoindre dans notre chemin favori comme la plupart du temps lorsque nous sortons. J’y suis allée en début d’après-midi, il m’a rejoint environ 5 minutes après, il est arrivé en scooter comme à son habitude.
Nous nous sommes dit bonjour, on s’est demandés de nos nouvelles respectives pour entamer notre samedi. Déjà, à cette heure de l’après-midi, il y avait une ambiance érotique entre nous. Nous avons bu un petit coup pour nous réchauffer, et nous avons fumé 1 pétard, (mais chuuut on ne dit rien à personne).
Avec les effets de l’alcool et du pétard, on commençait à avoir chaud et à parler de « cul », comme beaucoup de monde je pense.
Tout à coup, une envie soudaine de sexe m’est montée, et je lui ai dit :

- J’ai envie de toi, j’ai envie que l’on se fasse du bien.
- Alors toi, tu lis dans mes pensées, ce n’est pas possible autrement.

A ces mots, on s’est rapprochés, on s’est embrassés en débutant nos caresses respectives. Théo, venait de m’enlever mon manteau, il me caressait la poitrine à travers mon pull et je sentais déjà mes tétons se raidirent sous les caresses douces de Théo. Moi, je lui malaxais ses petites fesses rebondies que j’adore.
Tout à coup, je me suis accroupie à la hauteur de son sexe, j’ai enlevé sa fermeture éclair, j’ai sorti sa queue de son boxer, il a eu un sursaut car mes mains étaient gelées. J’ai pris sa queue dans ma main, j’ai décalotté son gland luisant de mouille d’excitation.

Il a soupiré sous l’effet froid de mon action.
Puis, d’un seul geste, j’ai englouti sa verge pas encore bandée au fond de ma bouche chaude. Je la sentais grossir au fur et à mesure de mes passages de langue sur son manche qui se dressait de plus en plus. Je jouais avec son gland, je le léchais délicatement en passant ma langue sur tout le tour, puis je mordillais légèrement la peau. Théo couinait de plaisir.

Je le suçais en alternant les mouvements lents et rapides, je sais qu’il adore ça. Je l’ai regardé tout en continuant ma fellation. J’ai craché sur sa bite qui luisait de salive. Il m’a dit :

- Tu ne l’as jamais fait, mais j’adore quand tu fais ta cochonne.
- J’aime être cochonne pour toi, je sais que tu adores ça !!

Il m’a relevé, m’a embrassé, a soulevé mon pull pour s’occuper de ma poitrine. Il a malaxait mes seins durcis par l’ivresse et l’envie de sexe. Il les a mordillait, suçotait, il jouait avec mes tétons, il les faisait rouler sur sa langue experte.
Puis après ces préliminaires, nous sommes passés à des choses beaucoup plus bestiales et enivrantes. Comme il était venu avec son scooter, nous avons décidé de s’en servir comme support pour nos ébats, car dans les chemins ce n’est pas toujours évident de faire l’amour dans des conditions idéales.
Tout d’abord, on a commencé par une drôle de position, en fait, j’étais appuyé sur la selle de son scooter, Théo m’a soulevé ma jambe droite et l’a posée sur la selle, j’étais donc en équilibre sur ma jambe gauche et appuyée sur le guidon. Il m’a pénétré dans cette position.
La pénétration était très profonde et j’adorais cette nouvelle position. Il me donnait des coups de reins de plus en plus vigoureux, il y mettait de la conviction, je miaulais sous ces coups de queue. Lui, gémissait aussi à chaque pénétration.
Cette position m’a fait décollée très vite, je suis partie au quart de tour en gémissant de plus en plus fort, en laissant échapper des cris étouffés et des râles de plaisir.
Je ne percevais plus que mon seul plaisir.
Nous avons changé de position, il m’a pris en levrette alors que j’étais appuyée sur le devant de son scooter, avec les jambes de chaque côté de la route avant. J’ai adoré ce moment, car je sentais sa queue rentrer au plus profond de moi, ses couilles cognaient sur mes fesses trempées de mouille. Il m’agrippait les hanches de plus en plus fort, je râlais de plus en plus fort, même si on était en pleine nature et que l’on pouvait se faire surprendre à tout moment par des visiteurs indésirables.
Ensuite, pour la troisième fois, nous avons pratiqué une position assez complexe aussi, en fait, j’étais appuyée le long d’un arbre face à Théo, je me tenais au tronc, et il m’a pénétré en missionnaire mais debout, et là waouh.
Il m’a regardé et m’a susurré à l’oreille :

- Tu aimes ça, tu en veux encore ?
- Oh oui, fais-moi hurler de plaisir, je vais te faire cracher tout ce que tu as !
- Ok, tu vas prendre cher !

A ces mots, il m’a retourné contre l’arbre, je me suis retrouvé en levrette avec la tête posée entre deux troncs d’arbres, je me tenais uniquement avec quasiment que mes épaules car j’étais presque accroupie tellement Théo y allait fort avec ses coups de bite.
J’hurlais, je lui disais :

- Continue, vas-y plus fort, je veux jouir, c’est bon, vas-y, plus vite.

Lui, couinait, gémissait et m’agripper de plus en plus sauvagement, j’adorais ça, il me dominait et j’étais sa chienne comme j’aime l’être pour lui.
Pendant cette baise intense, il me pétrissait les seins à pleines mains, il s’appuyait sur mes épaules pour orienter l’angle de pénétration au fond de ma petite chatte ruisselante de nos semences corporelles.
Après, un nouveau changement s’est imposé à nous, (pas très pratique le long d’un arbre). Théo s’est allongé sur le sol sur une petite couverture qu’il avait amené, et je suis venue m’installer sur sa queue, mais au lieu de lui faire face, je lui ai tourné le dos pour prendre appui sur ses chevilles car dans ce sens, je plus à l’aise et je me lâche plus en criant mon plaisir au plus fort.

Il me claquait les fesses en me disant :
- Vas-y remue bien ton corps, je veux te sentir bondir sur ma queue.

Je me suis bougée de plus en plus vite et fort, j’entendais sa queue qui faisait des espèces de bruits de ventouse en entrant et sortant de ma chatte brûlante et dégoulinante tellement cette position était bestiale.
Et d’un coup sec, il m’a poussé et m’a dit :
- Retournes-toi, je vais te jouir en pleine bouche, je veux que tu avales tout.

J’ai pris sa verge luisante de mouille dans ma bouche et il s’est branlé à toute vitesse pour expulser son sperme en grosse quantité au fond de ma gorge. J’ai avalé en montrant ma langue pour lui montrer que je ne perdais pas une goutte de sa semence si délicieuse. Son sperme était légèrement sucré par rapport à d’autres hommes, j’aimais le déguster.

On s’est rhabillés, on a repris nos esprits si échauffés, on a fumé une cigarette, on s’est même assis sur sa couverture où l’on s’était déchaîné quelques minutes auparavant. On s’est enlacés, car j’adore les câlins après la baise. On a parlé de tout et de rien et comme l’après-midi était bien avancée dans le temps, on s’est dit au revoir en s’embrassant tendrement.


On s’est revus le lendemain, et nous avons reparlé de notre folle après-midi, mais un copain nous a rejoint dans le courant de l’après-midi, alors on n’a pas pu recommencer nos ébats de la veille.


A bientôt pour de nouvelles aventures torrides et enivrantes.


A plus tard pour une nouvelle histoire qui vous fera bander à coups sûrs.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!