Auscultation

Et allez, encore une visite chez le gynéco. Je n’aime pas me faire tripoter la chatte par les spécialites, surtout les hommes qui cherchent souvent à se rincer l’oeil et le reste. Dans ce cabinet je n’aurais pas la chance de tomber une fois sur une femme normale ?
Je suis obligée de faire une toilette soignée de mon intimité. Ce genre de « nettoyage » fini toujours, pour moi en tout cas de la même façon. Je profite d’avoir les jambes écartées pour me faire du bien.
J’aime beaucoup surtout depuis que j’ai un gode et des boules de geishas. C’est la meilleure façon de me détendre, alors je le fais souvent, au moins deux fois par jour en plus de ma baise avec mon amant : un homme bien monté qui sait bien m’enculer surtout. J'adore le sucer pour qu'il éjacule dans la bouche.
Dons j’attends dans le cabinet médical. Je suis agréablement surprise d’être reçue par une femme. Quelle femme en plus. A voir son air, je suis sure de ne pas être contrainte à je ne sais trop qu’elle manoeuvre. Après un intérogatoire sur ma vie sexuelle, mes besoins, mes désirs, elle me fait enlever le string, me fait presque coucher sur la table gynécologique.
Elle me relève la jupe, ouvre mes jambes, commence son examen. Ses mains sont douces sur ma peau. Elle écarte mes lèvres intimes. Je ne sais pourquoi je commence à mouiller, sa façon de toucher sans doute.
Et sans que rien ne le laisse prévoir, elle me touche le clitoris doucement en me regardant dans les yeux. Je sais que si je refuse, elle acceptera de me laisser. Là, maintenant j’ai besoin de sentir ses doigts insister. Mes pieds se relèvent, disent oui pour moi. Là, miracle, elle me masturbe comme je ne l’ai jamais été, sauf par mes mains.
Elle sourit en me regardant prendre du plaisir. Son autre main est en route sur la chatte. Elle me doigte maintenant là avec un plaisir partagé. Elle semble aimer me branler. Je serre la jambes autour de ses mains quand je jouis.
Elle vient juste à coté de moi, prend ma main, la pause sur sa chatte.

Je relève sa robe. Sans culotte, son sexe est accessible facilement : elle est au moins aussi mouillée que moi. Je ne peux pas la branler quand elle vient sur moi.
Son entrejambe sur ma bouche, elle se penche sur moi. Ses lèvres embrassent ma fourche, sa langue lèche le bouton. J’insiste sur sa sexe. Il est parfumé à mon goût. Ses poils me gênent à peine.
Sa tête fait des mouvements de droite à gauche. C’est excitant, de plus en plus chaud.
Nous nous levons pour nous mettre à l’aise. C’est mieux nues. Elle ne me déplait pas du tout, moi qui n’aime normalement que les hommes. La voilà contre moi, une main pliée dans mon abricot. Elle branle de mieux en mieux.
Malgré mes soupirs elle continu jusqu’à ce que venue de je ne sais où, je lâche un jet de cyprine après avoir joui. Je regardais son visage à ce moment ultime. Elle ouvre sa bouche pour prendre mon jus. Je le lui donne volontiers. J’étais prêt à arrêter ce jeu pas très normal.
Sa main déménage sur le bas du corps, entre les fesses.
Elle décide de me faire ce que seul s mes amant ont pu me faire, mettre des doigts au fond de mon cul.
Elle peut le faire facilement, tellement je suis mouillée. Je la sens glisser lentement dans le ventre. Elle doit aller profond pour me faire cet effet. Si elle avait une bite, je la prendrais bien dans le cul.
Sa langue revient sur l’abricot, le lèche comme un fruit délicieux. Mon con ne sait plus comment faire pour jouir. C’est bon, trop bon, je n’arrête pas de partir. Je tremble partout. Même ma main sur sa chatte ne sait plus quoi faire.
Alors je me laisser aller, sans plus me satisfaire du peu que je peux lui apporter. J’arrêt la masturbation, elle sait comment remplacer les mouvements par les siens. Elle remue comme un timbrée sur ma main. Je sens que je perds ma salive sur son sexe, comme pour rajouter encore du lubrifiant au sien.
C’est le téléphone qui sonne dans le cabinet qui la réveille. Comme choquée elle se « fini » avant de me laisser en paix.
Je regrette un peu de ne pas l’avoir revu dans mes bras. Même mon mec aurait bien voulu lui faire l’amour pendant que je lui suçais le cul.

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