La Suicidée
Rendez vous fixé, je la trouve pour la première fois. Je lai rencontré au hasard dune lecture dun cour appel au secours dans un journal local. Une adresse mail courte suffit pour attirer mon attention. Ma curiosité est récompensée quand je reçois une réponse.
Une femme désespérée répond. Les problèmes familiaux entassés font quelle ne les supporte plus. Sa seule réponse est celle dune désespérée. Le suicide est sa solution.
Que faire quand une telle personne dérive seule ainsi ? Faire ce que je fais en répétant que la vie est le plus beau des cadeaux. Quelques jours passent quand je reçois une réponse. La suicidée sest jetée dans leau. Après un court séjour à lhôpital elle est sur pied. Cest là que je lui donne rendez vous au Multiplex pour prendre un café. Elle répond en envoyant une photo : magnifique fille dune quarantaine dannée, mal coiffée daprès elle, mal maquillée aussi ??
Je nai aucun mal à la reconnaitre. Un café, une courte discution, nous voilà en salle pour une toile sans intérêt. Comme des collégiens nous nous approchons lentement, intimidés. Je crois que cest elle qui prend ma main. Nous oublions le film pour nous regarder. Je crains son retrait quand je me penche vers elle. Ma bouche prend la sienne. Nos langues jouent longtemps.
Ses genoux sécartent lentement quand je pose une main sur eux. Mes paumes crissent sur le nylon des bas. Dessous je sens la chair tendre de ses cuisses. Pourquoi je commence à bander ? Pourquoi je fais ça avec une femme désespérée ? Pourquoi elle ne se défend pas quand ma main arrive sur son intimité ?
Elle soupire longuement quand je commence à lui caresser la chatte. Son abricot est tout mouillé. Elle pose une cuisse sur laccoudoir, en approchant les fesses du bord de son siège. Mon seul souci est de passer deux doigts entre son corps et le slip. Je mets en route ma machine à faire jouir les femmes. Mes doigts aiment bien se genre dexercice. Je la caresse le plus doucement possible pour quelle prenne bien son pied.
Son souffle dans mon cou me renseigne sur son état. Elle me mordille avant de carrément me mordre la gorge. Elle me rend la caresse en cherchant à sortir ma queue. Je refuse de faire ça au cinéma. Même si je bande nous sortons.
Elle veut ma pine, elle veut me faire jouir aussi. Nous prenons sa voiture. Je bande toujours, jai envie delle. Je la veux, je veux jouir
.Sa main enfin revient sur la bite. Elle me masse lentement. Cest bon. Elle sait comment faire. Aux premiers feux rouges elle se penche vers moi. Nos lèvres se sucent. Quand elle repart, je pose une main sur sa chatte
. Le chemin nest pas long vers son immeuble. Elle habite dans une espèce de grand machin sans âme. Lascenseur est rapide. Elle cherche toujours après ma queue.
Je ne la laisse faire que quand nous sommes chez elle. Nous sommes bien serrés pourtant quand elle arrive à faire sortir lengin plus que mûr. Elle fait descendre le prépuce doucement. Je regarde en même temps quelle le gland qui sort de sa cachette. Elle le prend à plein main, je sens sa chaleur contre cet endroit sensible. Elle me trait.
Le derrière de sa jupe remonte avec ma main. La ceinture du slip descend avec ma main. Ses fesses sont chaudes. La fente de la raie soffre à moi. Elle tient ma queue à pleine main. Elle sattaque à ma ceinture quelle défait. Le pantalon tombe. Le caleçon suit le même chemin. Mon sexe est à elle quand elle commence à me branler. Cest une déesse qui caresse.
Mes doigts sattardent sur son anus quand elle caresse mes couilles, passe sa main en dessous. Nous arrivons sur le cul de lautre en même temps. Cest anormal de pendre du plaisir par ce genre de trous. Un autre trou nous sert : les bouches. Et puis ses amusements ne suffisent plus. Il nous faut du sérieux. Dun seul coup nous sommes nus. Une belle femme mature devant moi, une représentation de lamour. Nous avons envie. Mon mat planté sur le ventre, sa moule ouverte pour moi. Un couple uni par le désir. Jai envie delle partout, ma bouche, ma queue, ma main, mon cul.
Elle se laisse aller au bord du lit. Ses jambes souvrent soffrent. Je suis à genoux, ma tête entre ses cuisses. Son odeur de femme en demande mattire. Quel goût de cyprine. Je prends dans la bouche tout labricot. Je fais le tri à lintérieur. Elle tend le pubis. Je bouffe tout ce que je peux. Elle gémit en rafale. Deux doigts se dévouent pour caresser le cul. Jy entre à fond. Elle hurle son orgasme. Je viens sur elle pour lempaler. Jentre sans douceur. Ses jambes mentourent. Un seul corps baise. Ses oui, se mêlent aux miens.
Jéjacule dans un seul jet. Elle se dégage vite pour profiter du peu de sperme qui reste. Au petit matin, après une sodomie profonde, sa première, elle ne veut plus se jeter à leau. Elle me veut encore.
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