A La Fac (Suite)

Je vous ai déjà raconté la fois où j'ai rencontré à la fac un noir bien massif qui m'a ramené dans sa chambre universitaire, m'a baisé devant sa fiancé, et m'a éjaculé au visage avant de me mettre à la porte à poil.

Fort heureusement, personne ne m'a vu. Je me suis rhabillé en 4ème vitesse et me suis lavé le visage aux toilettes de la fac.

J'étais très en colère contre lui, même s'il m'avait bien fait jouir. Le temps passa et je n'y pensais plus. Jusqu'au jour où une voiture, aux vitres teintées, venant par derrière s’est arrêtée juste après m'avoir dépassé. Arrivé au niveau de la voiture, la fenêtre côté passager s’est ouverte et c'est mon baiseur que j’ai vu sur le siège conducteur.

Je l'ai insulté et repris mon chemin. Il a roulé à côté de moi, me demandant de monter dans la voiture, s’excusant d’avoir agi ainsi. Ne voulant pas que tout le monde entende pourquoi il s’excusait, je suis monté dans sa voiture. Il m’a expliqué que devant sa fiancé il devait me maltraiter sinon elle aurait eu des doutes sur lui, son hétérosexualité et donc ses sentiments pour elle…

Bref, il avait l’air sincère donc on a discuté un peu dans sa voiture. Puis il a reparlé de notre dernier « tête à tête » : il disait qu’il avait beaucoup aimé car j’étais un passif qui n’attendait pas que ça se passe en restant inactif mais qui en voulait ; ou encore que c’était rare de trouver un cul qui prenne sa queue aussi bien… Il rentrait dans des détails d’ordre sexuel ce qui avait pour effet de me remémorer notre séance de baise et donc de m’exciter. Et il me flattait qui plus est.

En parlant, il s’était rapproché de moi et il a commencé à me pétrir les cuisses. Avec son autre main il m’a fait baiser la tête vers lui.

- Arrête pas dans ta voiture ! Tout le monde peut nous voir, et je t’en veux encore.
- T’en meurs d’envie et moi aussi. Les vitres sont teintées. On ne voit rien de l’extérieur.

J’ai envie que tu me suces comme l’autre fois.

C’est vrai qu’il m’en avait donné l’envie. Vérifiant que toutes les vitres étaient teintées, J’ai défait sa braguette, sorti non sans mal sa bite et je l’ai prise en bouche. Elle avait le goût d’une bite enfermée depuis le matin dans son slip et c’était bon. Compte tenu de la taille, je me contentais de téter et lécher son gland qui était déjà gros. Il gémissait de plaisir en me caressant la tête. Le faire en sachant qu’une vitre nous séparait des piétons m’excitait.

Mais ça ne devait pas être assez car il m’a enfoncé la tête jusqu’à son pubis pour que je lui fasse une gorge profonde. Sa bite est rentrée complètement dans ma gorge au point que j’en ai presque vomi. Il prenait ma tête et me baisait la gorge violemment. Ca rentrait et sortait de ma gorge à un rythme élevé. Lui, il gémissait encore plus fort, m’invectivant de le sucer encore et encore et en me traitant de petit pd (« prends ça petit pd ! Avale ma grosse bite ! T’es vraiment qu’une pute qui suce dans les voitures ! Ouais débats toi, ça m’excite encore plus de te voir gesticuler ! »).

Je pouvais à peine respirer et je m’agitais dans tous les sens pour me sortir de son emprise. Mais il était trop fort, je ne pouvais voir que son pubis et mes larmes brouillait ma vue alors que lui n’avait qu’à me tenir la tête enfoncée sur son sexe.

Après ce qui m’a paru une éternité, il m’a maintenu la tête enfoncée et le nez sur son pubis et je l’ai senti éjaculer alors qu’il était tout au fond de ma gorge. Son sperme m’a atterri bien au fond mais je l’ai tout de suite recraché. Finalement il a retiré son pénis de ma bouche mais pas son étreinte. J’avais la tête posée sur son pénis flaccide, ses poils et sa semence le temps de récupérer ma respiration.

Je me suis relevé, lui ai mis mon poing dans la figure et je m’apprêtais à sortir de la voiture quand il m’a saisi par le bras.

- Si tu sors maintenant, tout le monde va te voir sortir de la voiture et se doutera de ce que tu as fait.
Reste dans la voiture et je te ramène dans un endroit plus tranquille.

Il a démarré la voiture et a roulé pendant 15 minutes. Il avait toujours la queue a l’air. Aux feux rouges, il n’hésitait pas à se masturber doucement. Je ne voulais pas regarder mais il avait une très belle queue ; même à l’état flaccide avec son gland noir (son pénis était circoncis). Il a vu que je le regardais, il a alors saisi ma main et m’a fait saisir cette bite si dure. Je l’ai masturbé sans qu’il me le demande. Il a souris car il a compris que plus il était dominateur, plus j’étais excité. Il a dû en déduire qu’il pourrait facilement me remettre dans son lit.

- Tu sais ce que tu es en train de faire, là.
- Rien
- Ouais ! Tellement rien que tu es en train de me branler en fixant ma bite. Je crois que tu es assoiffé de sexe et que tu aimes te faire monter par de vrais mecs. Je suis sûr que tu as aimé que je te force à avaler toute ma bite.
- Ramène moi à la fac
- Je te ramène chez moi, et je vais te baiser toute la nuit. Tu vas voir ce que c’est d’être vraiment soumis.

Je ne répondis pas, me contentant de détourner le regard. Mais mon excitation était palpable ; je n’en serrais sa bite que plus fort.

Arrivés chez lui, nous sommes allés dans sa chambre. Il m’a enjoint à me déshabiller. Sans plus attendre, je me suis approché, je lui ai défait son pantalon et me suis mis à le sucer à nouveau. Je léchais sa grosse bite noire et gobais ses couilles pour les malaxer dans ma bouche.

J’étais à genoux entre ses jambes et il m’a dit que je devais m’entrainer à lui faire des gorges profondes. Il m’a alors enfoncé la tête sur sa bite. Je gigotais encore plus que la 1ère fois. Je ne respirais plus. Il me disait que je ne bougerai pas tant que je ne m’y serai pas fait. Au bout du compte j’ai chopé le truc et il a pu sortir et enfoncer toute sa bite. Il m’a mis à terre contre le lit et ainsi il a pu me violer la bouche comme il voulait et au point de me faire pleurer.
Je sentais toute la longueur de sa queue (dans les 20 centimètres) s’enfoncer dans la gorge.

Il a fini par jouir après ce qui m’a paru être une éternité. Il est sorti quelques minutes se cherche une bière et en m’ordonnant de m’attendre à 4 pattes sur le lit. Ce que j’ai fait. Quand il est rentré, je lui tournais le dos. Je l’ai senti s’approcher, me saisir par les hanches, et s’enfoncer en moi. Il ne prit pas la peine de lubrifier mon anus. Il me sodomisait avec violence en me claquant les fesses. J’étais un petit pd qui aimait se faire prendre le cul par de vrais mecs, et se faire maltraiter par des mâles. Et c’est vrai. J’ai aimé qu’il m’insulte.

Il m’a enculé toute la nuit. Son colocataire est entré pour participer mais mon amant a refusé. Il est resté pour mater. Il m’a éjaculé au visage puis il est parti. Depuis, je viens chez lui quand il m’appelle et il n’a plus à me forcer pour une gorge profonde.

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