Une Histoire Sentimentale Qui Se Termine En Partouze

Son ex , Christian, pour le nommer, était un gars de 43 ans, d’allure sportive, très
attirant car toujours souriant et prêt à rendre service, ce qui lui valait d’avoir pas
mal d’amis fêtards et de copines en quête d’une épaule solide ; C’est
l’impression qu’il avait donnée à Laurence lorsqu’elle l’avait rencontré lors d’une
soirée chez une amie commune qui fêtait ses 30 ans, et tout de suite elle lui est
tombée dans les bras.
Etant venue en bus dans les Yvelines dans cette auberge située à 30 kms de Cergy,
prétextant de la raccompagner chez elle à la fin de la soirée, il l’avait attirée dans
sa voiture sur le parking du restaurant et l’avait entreprise. D’abord un baiser
tendre sur la commissure des lèvres, il lui avait vite passé une main dans le soutien
gorge qu’il lui fit hotter et, lui titillant le téton du sein droit il suçait
goulument celui du sein gauche, lui a ensuite descendue la culotte jusqu’aux chevilles
et installa la fille à quatre pattes sur le siège passager. Fou de cul, le gaillard
l’avait retournée, commençait de lui fouiller l’anus avec le majeur main droite tout
en lui malaxant les seins de la main gauche et lui tripotant également la chatte et le
trou du cul. Elle se laissait faire bien que cela lui fasse très mal et qu’elle
n’aimât pas trop se faire fouiller l’anus par un inconnu, pais elle commençait quand
même à mouiller et elle appréciait d’être à sa merci, il pourrait tout lui faire s’il
le voulait. Ensuite il passa une main entre ses cuisses, elle, le cul offert, rebondi
vers le gars, sa vulve poilue sous l’éclairage du réverbère, formant une splendide
forêt châtain roux avec un large sillon central entr’ouvert et humide. Il était fou,
regardant cette croupe écartée devant lui, il mit son nez dans l’anus rose foncé, puis
sa langue, humectant l’endroit de sa bave, renifla l’anneau qui se dilatait et
s’ouvrait au gré des passages de langue , se délectant des senteurs fortes émanant de
son cul, et, avec deux doigts entreprit d’agrandir le passage qui se dilatait plus
encore formant une ouverture ronde comme un euro, puis vint vers les grosses lèvres
qu’il écarta pour admirer l’intérieur de cette vulve rougeoyante offerte.

Il
s’installa derrière et, calmement, lui enfonça son énorme bitte dans la chatte
jusqu’au fond. Les va et vient s’enchainant alors à un rythme effréné et régulier,
elle haletait, bouche entr’ouverte comme pour sucer une bitte imaginaire, se tenant à
la portière d’une main et se caressant le clitoris de l’autre, elle adorait cela, il
profita du moment pour présenter son engin à l’entrée du puits, appuya violemment et
la pénétra d’un grand coup de reins, profond et expert, la belle hurla plus de
stupeur que de douleur mais le maître enculeur la calma en lui malaxant les fesses et
les hanches, commença des va et vient frénétiques qui le firent exploser en 2 minutes
chrono une éjaculation explosive au fond des entrailles de la dulcinée. Ses couilles
vidées, il sortit sa queue dégonflée, il souriait de satisfaction. Elle c’était la
première fois qu’on la sodomisait aussi violemment avec son consentement si l’on peut
dire. C’était la première baise d’une longue série qui allait durer seulement trois
mois mais qui ont permis au gaillard de lui mettre plusieurs kilomètres de bitte dans
le ventre et le cul…
Faut dire que le gars, qui aimait beaucoup la pratique de la sodomie était gâté car
Laurence avait vraiment le cul équipé d’une superbe rondelle rose foncé entourée d’un
duvet soyeux châtain clair et reflets roux courant en une file dans la raie jusque sa
vulve plus foncée et les lobes de ses fesses formaient un ensemble que l’on appelle «
un beau cul à bitte ».
Mais le gars, il avait un vieux fantasme, un vieux démon en lui ; comment amener sa
copine à participer à un trio avec son meilleurs copain, Jérôme, qui , obsédé sexuel,
était également son pourvoyeur de « drogues douces » et autres produits interdits. Il
lui en avait bien parlé à Laurence, mais elle avait toujours été catégorique : jamais
de partouze ! Je suis la femme d’un seul homme à la fois.
En vérité, elle n’était pas
réellement contre, mais les copains de Christian, des camés cradingues aux mains sales
et aux physiques de rustres qui puaient les pas propres. Ils avaient tous vu des
photos de Laurence nue de face et le cul écarté et Jérôme en faisait maintenant une
fixation, il fallait absolument qu’il se l’enfile un jour ce beau petit trou du cul
rose foncé, coûte que coûte. Et Christian rêvait de voir sa belle se le faire prendre
par un horrible mec et pourquoi pas Jérôme.
Ils montèrent donc le stratagème suivant ; Christian, pour les 30 ans de Laurence, va
organiser chez lui une petite soirée à laquelle son copain Jérôme sera invité avec
Christelle, sa copine du moment que Laurence ne connait pas encore, elle est super, tu
verras vous allez bien vous entendre etc…
Le soir venu, la table est dressée, toute la ménagerie installée, même les bougies, on
sonne, Laurence va ouvrir, ha c’est Jérôme ! Tiens, mais tu es seul ? Oui, Christelle
est souffrante, elle est restée à l’appart et s’est couchée après avoir pris un cachet
etc. Bon, tant pis, rentres quand-même. Dis Christian ! C’est Jérôme, sa copine est
malade, il est venu seul. Et l’autre, ce n’est pas grave, on va quand même faire la
fête. Allez viens Jérôme, au fait, tu as pensé à mes petits cachetons ? Bien sur !
J’en ai même pris plus qu’il ne faut, t’inquiètes.
Champagne, joyeux anniversaire Laurence ! Alors, 30 ans maintenant, ça te fait quoi ?
etc.
On trinque, on boit une coupe, puis deux, et Laurence a un petit vertige. Pas grave,
c’est la fin de semaine, tu es fatiguée, ça va passer tu verras. Soudain, sa tête lui
tourne à nouveau, elle s’allonge et s’endort immédiatement profondément sur le canapé,
celui qui est devant la télé et l’ordinateur équipée d’une caméra webcam à réglage de
zoom automatique et qui fait même des gros plans super détaillés.
Putain, déjà ? Ben
houai, j’te l’avais dit que mes petits « cachetons » étaient efficaces et on va
pouvoir se régaler pendant des heures sans qu’elle ne bouge un poil de cul.
D’ailleurs, en parlant de ça… Ni tenant plus, nos deux lascars tirent le jean et la
culotte de Laurence au bas de ses longues jambes jusqu’aux chevilles, découvrant son
cul, elle sur le dos et jambes rabattues genoux sur le torse si bien qu’ils voient la
superbe vulve de sa chatte poilue bien écartée, montrant également juste en dessous la
rondelle de son anus rose foncé jaillissant bordé de petits poils et, chose que savait
Christian, elle a un joli grain de beauté bien marqué à hauteur de l’anus à
l’intérieur du lobe droit de son cul. Ils lui enlèvent également le corsage ne
laissant que le soutien gorge qu’ils positionnent de façon à dégager les nibards qui
apparaissent bien droits
. Putain quel beau cul elle a ! rétorque Jérôme en se raclant la gorge d’émotion.
Ils l’installent alors en la retournant, croupe en l’air sur le dosseret du canapé,
lui écartant les jambes pour mieux jouer, le cul face à la webcam qu’ils viennent
d’allumer, pour en faire profiter d’autres copains camés de leurs connaissances qui
sont sur Mantes la Jolie en train de faire la fête chez la fameuse Christelle, la
bonne copine qu’ils ont tous sautée et même partouzée, elle adore se faire mettre de
partout avec plusieurs mecs et gonzesses en même temps, suçant au hasard des bittes et
léchant des chattes qui s’y trouvent. Elle est bi, sado maso, elle fait tout, c’est
une vraie salope. Alors elle mate le film avec ses potes…
Jérôme, n’y tenant plus, devenu soudainement hystérique, se jette sur l’anus offert et
y fourre sa langue baveuse au plus profond qu’il peut, tourne dedans, se délectant de
ce trou béant au goût suave et odorant, bave, crache plus qu’il ne salive, hume
l’odeur produite et enfin commence, lorsque l’anus est bien trempé de bave, à y
introduire le majeur qu’il fait tourner fermement afin d’agrandir le puits et bientôt
l’index, puis l’annuaire et enfin les cinq doigts qu’il pousse petit à petit dans ce
trou béant qui ne cesse de s’agrandir, et enfin la main y passe sans trop de problème
puisqu’il parvient à l’enfoncer jusqu’au poignet.
Image irréelle que ce dadet avec la
main droite dans le cul de Laurence et s’évertuant avec la gauche à ouvrir la
fermeture éclair de son jean pour en sortir sa queue au gland violacé et de se
branler.
Quant à l’autre, devenu hystérique à son tour par l’image de la belle avec la main du
dadet dans le cul de sa belle, force la bouche de cette dernière et y enfonce son
membre durci au plus profond de la gorge et y balance tout ce qu’il a de jus dedans,
en lui triturant les seins en même temps, les malaxant fortement, les tirant et
écrasant les tétons entre ses doigts, les mordillant, poussant une main jusqu’à la
chatte écartée, griffant au passage le poignet de l’autre qui est toujours dans le cul
de la belle, y introduit les doigts au plus profond, tire dessus et les poils de la
vulve si fort qu’il en arrache une touffe. L’autre con, trop excité par cette partie
n’a pas eu le temps d’introduire son sexe, sort sa main du trou du cul et éjacule
tant et si fort qu’il inonde les poils du pubis, les cuisses, le ventre, les seins et
jusqu’au visage et les cheveux de la belle endormie.
Les deux viennent ensuite contempler leur œuvre, la queue pendante et dégoulinante du
reste de leur liquide qui file, gluant, se placent derrière la fille et, approchant
leurs têtes regardent. Et que voient-ils ? Un petit cul écarté avec, au milieu, un
trou d’au moins 5 cms de diamètre, qui laisse apparaitre l’intérieur de plus en plus
sombre de l’anus. La chatte, elle aussi bien ouverte nous donne le spectacle d’un
mollusque rougeoyant avec du poil de couleur châtain roux bordant l’ensemble de chaque
côté.
Quelques photos indécentes encore, pour montrer aux copains. Ils arrêtent la webcam
alors que les autres, de l’autre côté, gueulent qu’ils veulent venir et qu’il faut
leur donner l’adresse. Ils se sont tous branlé et ont fini par partouzer Christelle
qui était la plus hystérique de tous.
Nos deux lascars, couilles vidées, satisfaits de leurs jeux interdits, s’amusent
encore avec le corps de Laurence, la pelottent en lui tirant les nichons autant
qu’ils peuvent, lui arrachent à nouveau les poils de sa chatte qu’ils garderont en
souvenir, lui mordent les fesses à sang et en lui arrachent des poils du cul avec les
dents, ils font enfin venir le chien qui était enfermé sur le balcon, un croisé
labrador et fox terrier, qui entreprend de suite, en bon chien de chasse, de fourrer
son museau dans l’anus très largement ouvert et suintant de liquides intérieurs, comme
ci il cherchait un mulot, les chiens adorent fouiller quand il y a l’odeur de cul et
de la merde, et voulant aussi sa part, commence a se branler sur la chatte offerte
qu’il finit par investir devant les deux autres qui, d’abord médusés, font dans la
foulée des photos de l’acte contre nature en se marrant de la situation de « la belle
et la bête ».
La soirée, pour les deux cons, se termine en se bourrant la gueule et en fumant leurs
joints. Ils en oublient Laurence qui dort toujours, le chien derrière son cul à lui
lécher la chatte et l’anus et de recommencer ses pénétrations impromptues. Le chien
est très endurant…
Elle se réveille au petit matin avec un mal de tête terrible, groguie, meurtrie. Le
clébard est toujours entre ses jambes, la truffe dans sa chatte en balançant la queue,
elle le repousse violemment et il se barre en geignant du coup de talon qu’elle vient
de lui mettre dans la gueule.
Ses seins, sa chatte, ses entrailles mais surtout son anus du bord jusqu’à
l’intérieur, lui font terriblement mal. Son pubis est en feu et elle s’aperçoit que
des poils de ce dernier sont éparpillés autour d’elle et au sol. Elle avale ce qu’elle
croit être de la salive épaisse telle que l’on produit les lendemains de soirées trop
arrosées, mais sent très vite qu’il s’agit de sperme épais et visqueux de plusieurs
heures qu’elle vient d’avaler. Elle en a un haut le cœur, elle vomit par terre. Du
sperme, il y en a partout, formant comme des trainées baveuses d’escargot séchées
partout sur son corps, sur son ventre, ses cuisses, ses fesses, son visage, dans ses
cheveux, il y en a partout y compris du récent qui coule encore de sa vulve et de
son anus entr’ouverts, à moins que ce soit le chien ?
Elle se sent souillée, sale à l’intérieur, au plus profond de ses entrailles.
Les compères eux dorment, un à ses pieds sur le tapis de sol, la bitte sortie de sa
braguette, l’autre bras sur la table en ronflant tous les deux comme des soulards.
Elle comprend ce qui s’est passé. Ils l’ont violée après l’avoir e. Même le
chien l’a violée, ils l’ont même faite baisée par un chien, ils sont complètement
malades ces types.
Que faire ? Elle se lève tout doucement, prend ses vêtements éparpillés et se rhabille
sans faire de bruit, puis sort de ce lieu morbide et se retrouve dehors. Elle pleure,
se reprend et va vers l’arrêt de bus situé un peu plus loin. Rentrée chez elle, elle
se douche, se redouche, se lave au plus profond de son intimité, se frotte, se
refrotte, se relave à nouveau et comme ça toute la journée.
Ce qui est certains, c’est que ce salaud de Christian elle ne veut plus entendre
parler de lui. Alors sa décision est prise. Après tout personne ne le saura, elle ne
dira rien à personne, même à Nathalie, sa meilleure amie et confidente, elle classe
cela dans les mauvais rêves.
Il y a une chose quelle ne sait pas encore, c’est que les gars, ils l’on filmée et
photographiée sous tous les angles possibles et imaginables, et elle ne sait pas non
plus ce qu’ils vont en faire…
Au fait, pour les amateurs des photos, je suis un bon copain de Christian et Jérôme…

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