La Mère De Mon Meilleur Pote.

La mère de mon meilleur pote.
Je m’appelle Théo, j’ai vingt et je suis ami avec Valentin depuis l’école maternelle, je vais régulièrement chez lui et lui chez moi. Physiquement je suis plutôt séduisent, 1.80m, brun les yeux bleus, j’ai une allure sportive.
Il est 14 heures est je décide d’aller faire un tour au magasin de sport voire les nouveautés. Sur le chemin je passe devant chez Valentin et je me dis que je lui proposerais bien de venir avec moi.
Je sonne et au bout de quelques secondes, c’est ça mère, Sandrine qui vient m’ouvrir. Sandrine est une femme de 45 ans, environ 1.65m, aux cheveux blond mi- long, elle est pulpeuse avec de jolie forme. Elle me dit : « si tu viens voir Valentin, il n’est pas là, il est parti campé pour le week-end avec son cousin. Mais entre cinq minutes boire un verre, tu as l’air d’avoir chaud ».
Sandrine me dit : « assois-toi sur le canapé, je te chercher un verre. Au bout de cinq minutes, elle réapparait en ayant troquer son jean et son chemisier pour une robe très sexy avec un décolleté laissant apparaitre sa généreuse poitrine.
Elle me tend le verre et vient s’assoir à côté de moi, elle me demande si je vais bien, si je suis heureux dans ma vie et commence à me raconter qu’elle a du mal à se remettre de sa séparation d’avec son mari il y a 6 mois, et que le manque d’un homme dans sa vie lui pèse.
Elle continue à me raconter son mal-être tout en promenant sa main le long de mon bras, remontant jusqu’à mon épaule, puis sur mon torse. Je commence à me sentir gêné mais comme je la sens mal dans sa peau, je n’ose rien lui dire.
C’est alors qu’elle me dit : « tu te rend compte que ça fait plus de 6 mois que je n’ai pas fait l’amour. ». Je la regarde, sonné par les mots qu’elle venait de prononcé, à moi, le meilleur ami de son fils.
Elle me sourit, et me dit : « tu es un beau garçon et j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Je la regarde sans rien dire, c’est vrai qu’elle me plait et si ce n’était pas la mère de mon meilleur ami, je ne me poserais même pas la question.

Quand tout à coup, elle se jette sur moi et m’embrasse de toute ses lèvres pulpeuses. Je la saisis par la taille et lui rend son baiser. Je glisse ma main sous sa robe et je commence à remonter le long de sa cuisse jusqu’à atteindre sa culotte. Je suis tiraillé entre le désir que j’ai pour cette femme et mon amitié avec Valentin.
Sandrine se lève, me prend par la main et m’entraine dans sa chambre. Elle laisse tomber sa robe à terre. Elle est maintenant, planté devant moi en sous-vêtements. Elle s’approche de moi, me retire mon t-shirt, m’arrache ma ceinture, baisse mon pantalon et mon caleçon.
Je suis maintenant nu devant elle, la scène me parait surréaliste. Sandrine se met à genou et commence une fellation. Mon sexe commence à se gonfler, le plaisir monte en moi, mais je ne peux pas m’empêche de penser à mon ami Valentin et à ma trahison.
Sandrine se relève, je me position derrière elle et je lui dégrafe son soutien-gorge. Je me mets à lui malaxer les seins, puis je dirige ma main droite dans sa culotte (un souvenir d’une scène que j’avais vu dans un film porno). J’introduis 2 de mes doigts dans sa fente mouillée et je commence un massage langoureux qui provoque quelques gémissements chez ma partenaire.
Je la retourne, pour me retrouver de nouveau face à elle, je l’embrasse sur la bouche, tout en lui baissant sa culotte. Je l’allonge sur le lit. Elle écarte les cuisses et je me couche sur elle en laissant mon sexe la pénétrer.
C’est fait, maintenant plus de retour en arrière possible, j’ai définitivement trahi mon ami Valentin. Je commence mes mouvements amoureux entre les cuisses de Sandrine qui a l ‘air d’apprécier, mais j’ai toujours à l’esprit mon ami, malgré le bonheur que je prends à m’envoyer sa mère.
Dix minutes viennent de s’écouler quand mon excitation arrive à son summum et provoque l’éjaculation finale qui va clore cette aventure malsaine.
Je me relève, je me rhabille rapidement sans dire un mot, Sandrine me regarde sans rien dire, je quitte la pièce puis l’appartement, je suis tourmenté, je ne cesse de penser à mon ami.
Je ne pourrais plus le regarder en face, pourvu qu’il ne l’apprenne jamais.


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