Salope À Nouveau - Suite Et Fin (Ou Un Nouveau Départ)

Suite et fin (ou un nouveau départ !!!)

Suite à une autre bonne nuit de sommeil, je me préparai pour la dernière journée du
colloque. Malgré nos activités fortes agréables du soir, trois jours et demi de
colloque, c’est trop long. J’ai su par mes nouveaux amis de partouzes que normalement,
le colloque était d’une durée de deux jours et demie. Comme il n’y en avait pas eu
l’année précédente en raison de coupure budgétaire, celui de cette année avait été
plus long.

Bref, après avoir embrassé ma femme au lit, je suis allé rejoindre les gars au
restaurant de l’hôtel pour le petit déjeuner. Nous avons discuté de tout et rien, sans
qu’il n’y ait aucune allusion à notre soirée de la veille, mis à part question sur
comment elle allait. Voyant qu’elle était toujours aussi radieuse devant ce qui se
passait, la discussion n’alla pas plus loin. Après le petit déjeuner, deux des gars
nous ont avisés qu’ils devaient quitter, après la première conférence, pour retourner
au travail. Pour les deux autres, ils comptaient rester jusqu’à la fin, soit
immédiatement après la conférence de clôture du colloque au retour du diner.

Suite aux dernières paroles de ma femme la veille, j’avais un plan cul en tête. Les
chambres devaient être libérées pour l’heure du diner, mais j’avais demandé à la
réception de l’hôtel s’il était possible que la mienne ne soit libérée qu’à 15 heures,
en raison de la présence de mon épouse qui ne voulait pas attendre dans le hall
d’entrée trop longtemps. Ayant peu de demande du genre et la chambre n’étant pas
réservée pour la nuit suivante, la réponse fut positive. Mon plan cul pouvait donc
aller de l’avant. Après la première conférence, je suis passée voir mon épouse à la
chambre pour lui demander directement si elle était partante pour un 3e round.
Hésitante au début, elle accepta la proposition après que je lui eu fait comprendre
que son côté pute me plaisait.

Elle ne devait pas s’inquiéter de ce fait.
- Tu ne me considères par trop salope ?
- Trop salope ! Non. Très salope, oui. Et j’adore quand tu es pute. Et toi, tu
vis bien avec ça?
- J’avoue que j’aime ça. Mais ça ne veut pas dire que ça va toujours être ainsi.
- Je sais, je profite de ce qui passe et pour la suite, on verra.
- Alors si tes amis veulent se faire vider, tu peux leur dire que je suis
d’accord.

Je ne lui dis pas que deux avaient quittés, ne trouvant cette information nécessaire
et pertinente. De plus, les deux gars en question n’étaient pas les plus cochons du
groupe. Dans un gang bang, il y a toujours des gens qui sont plus voyeurs que
participants. Un de ces deux était très voyeur, et l’autre, malgré qu’il aime le cul,
il avait de la difficulté à suivre le rythme. Ma femme ne s’en était pas plainte, mais
elle avait aussi remarqué ce fait. Il avait quand même su lui donner du bon cul, mais
sans plus. Bref, les plus cochons étaient toujours présents. J’allais rejoindre ceux-
ci avant la fin de la pause pour lui proposer mon plan.
- Assistez-vous à la conférence de clôture ?
- Oui.
- Moi aussi.
- Dommage, j’avais quelqu’un qui voulait vous voir.
- Non. Mais elle est en feu !
- T’es toujours partant, dit l’autre.
- Oh oui. Elle a adoré ses deux autres soirées et moi aussi. En plus, vous êtes
les plus cochons des quatre, alors même si on est moins, d’après moi ça va être pire
comme party.
- Bien vrai, mais on doit quitter pour midi.
- Pas moi, j’ai déjà prévue le coup en leur demandant si on pouvait quitter à
15h, et c’est oui.

Deux beaux sourires au visage.
- La conférence ne m’intéresse pas tant que ça finalement.
- Moi non plus.
- D’accord pour tous alors. On dine ensemble rapidement et on se rend la voir.
- Oh oui, on va lui en donner toute une.

- Mets-en. C’est vraiment mon plus beau colloque à vie.

On retourna aux différents ateliers, la tête pleine d’idées, toutes plus vicieuses les
unes que les autres. On se retrouva pour le dîner, et après avoir mangé rapidement,
nous avons quitté la salle. J’attendis que les gars aient vidés leur chambre dans le
hall de l’hôtel pour que nous arrivions tous en même temps à la chambre. Un peu avant
13 heures, nous étions à la porte. J’entrai et j’ai trouvé ma femme au petit salon, en
jaquette.
- Quoi ? Encore en jaquette à cette heure ? lui dis-je.
- Je suis allé déjeuner vers 10 heures et j’ai remis ma jaquette, c’est tout,
dit-elle rapidement.
- Bonjour Caro, bien dormi ?
- Oui, répondit-elle avec un grand sourire. Et vous ?

Ils répondirent oui en chœur. J’expliquai rapidement à mon épouse que les deux autres
avaient du quittés, étant attendus au travail pour régler quelques urgences. Elle nous
demanda si ça reprenait à 13h15 et je pris la parole.
- Écoute, comme tu aimes être une sale pute, on pensait rester ici pour te faire
jouir comme une chienne.

Ses joues devinrent rouges, mais elle ne put cacher un léger sourire.
- Et a voir ton sourire, je pense que tu veux encore faire la vache, rajoutai-
je.
- C’est comme tu veux, on ne veut pas s’imposer, ajouta un des gars.
- Oui, sens-toi à l’aise.

Voulant se refaire baiser en gang, elle prit son courage à deux mains et dit ;
- Vous n’êtes pas très convaincant.
- Chéri, je crois qu’ils sont un peu mal à l’aise de te le dire, mais il te
trouve vraiment bonne.
- Je n’entends rien pourtant, dit-elle un peu timide.
- Alors je me lance, dit l’un d’eux. Au pire elle dira non. Écoute ma belle
salope, on aimerait bien te baiser comme une pute par tous les trous si tu es
partante. Tes grosses boules de chienne nous font vraiment tripper et tu es une vraie
trayeuse à queue.
C’est mieux comme ça ?
- Un peu mieux oui.
- Ok, tu veux que je parle aussi dit l’autre en se rapprochant d’elle. T’es une
sale truie videuse de couilles et poubelle à sperme. Quand tu es toute nue, t’es juste
bonne à éponger des queues. La volée de cul que tu vas manger avec nous trois va être
pire que les deux autres qu’ont t’a donné
- Ma belle, ils ont raisons. Ton cul, ta plote et ta bouche sont faites pour
recevoir des graines et tu le sais. Tu veux te faire mettre comme une putain ou pas ?
- Tu le sais que c’est ce que je veux, me dit-elle en me pognant la queue au
travers mon pantalon.

On se lança littéralement sur elle pour lui enlever sa jaquette. Une fois debout, on
la pelota en lui mettant nos mains partout. Une fois qu’elle fut lancée sur le lit, je
me dépêchais à aller mettre le carton NE PAS DÉRANGER sur la porte en prenant soin de
bien placer le loquet. Les gars enlevaient rapidement leurs vêtements et je fis de
même. On embarqua tous dans le grand lit et on continua à la peloter tout en
l’insultant.
- T’es vraiment une grosse pute.
- Tes grosses boules sont parfaites. J’aime tellement ça.
- Gâtes-toi, elles sont la pour ça. J’aime être une salope, c’est tellement bon.
Insultez-moi, traitez-moi de tout les noms qui vous passent par la tête, je suis juste
bonne à ça.
- Ma femme est une vraie truie, on va te manger le cul et la plote maudite
chienne à queue.

Malgré le fait que nous n’étions que trois, le party était bien parti. On lui mangea
les boules en lui rentrant des doigts dans la plote. Elle s’agrippait aux queues
autant qu’elle pouvait, et on lui mettait celle-ci dans la bouche de temps en temps.
Un des gars l’embarqua sur lui en position 69 et il lui mangea la plote bruyamment. Je
me mis à lui lécher le trou du cul avec vigueur, adorant cela. Le troisième lui
poignait les boules pendant qu’elle essayait de le crosser tout en suçant l’autre.
On
changeait de place continuellement, on voulait tous lui manger les trous et se faire
sucer. Après une bonne quinzaine de minutes de ce traitement, elle fut placée à genoux
pour une bonne défonce de sa bouche. L’orgie était plus vulgaire et on l’a dominé
d’une certaine façon. Elle était notre poupée de cul.
- Tiens maudite chienne, prends ça dans ta gueule de pute, lui disais-je en lui
enfonçant ma queue dans le fond de la gorge.
- À mon tour maudite putain sale, suces-moi.
- Manges mes couilles sale truie, t’es juste bonne pour le cul, salope.
- Vous êtes des porcs et je suis votre truie. Baisez-moi comme une chienne. Je
suis juste une pute. Salops, j’aime vos queues.

On s’amusait avec elle et elle aimait ça. Après un peu de ce traitement, on lui offrit
nos bites.
- Veux-tu te faire fourrer salope ?
- Non, je veux me faire fourrer et enculer. Et sucer en même temps. Prenez-moi
comme une catin.
- C’est ce qu’on va faire maudite vache. Tu vas avoir de la misère à marcher
après.
- Se faire prendre en sandwich c’est bon pour les putes comme toi.
- Oui, j’aime ça. Deux queues en même temps, c’est tellement bon, dit-elle entre
lâchant la queue qu’elle suçait.
- Arrête pas de sucer maudite chienne, contentes-toi de baiser, on va s’occuper
de tes trous de truie.

Ces désirs furent exaucés. On lui perça la plote, le cul et la bouche une bonne
vingtaine de minutes en changeant de place régulièrement. Ses seins étaient secoués
par les allées et venue de nos queues. Elle était vraiment belle. Pour ma part, je me
passais une débarbouillette sur la queue après les visites dans son cul. Pour les
autres, les condoms étaient changés. D’ailleurs, ceux-ci commençaient à se faire
rares. Encore une fois, on devait penser à la finale.
- Belle chienne, tu veux quoi pour finir ? lui demandai-je.
- Non. Décidez. Vous m’avez fait plaisir les deux autres fois, c’est à votre
tour. Moi je suis juste votre pute.
- C’est vrai, mais t’es tellement bonne au cul que tu le mérites salope, ajouta
un autre.
- Exactement, dis-nous ce que tu veux.
- Gang de porcs, je vais faire ce que vous voulez.
- Fais attention à ce que tu dis salope, tu ne sais pas où ça peut te mener dire
des affaires comme ça, répondis-je.
- Je suis prête à tout. Je suis votre objet.
- T’es vraiment une bonne pute Caro.

Je pensais aux deux dernières soirées et en me regardant, elle le savait bien. Je lui
fis comprendre qu’elle devait me confirmer son désir. Elle me fit un sourire
m’invitant à proposer la suite. Du moins, c’est ce que j’en déduis.
- Les gars, je pense que vous allez encore capoter sur ma pute. On vient où ?
- Moi sa face, ça me convient.
- J’avoue qu’elle avale comme une championne et elle prend ça dans la face comme
une championne.
- Je ne dis jamais non à un bon facial, dit-elle.
- T’es mieux de manger du sperme.

Elle se contenta de nous sourire et se plaça à genoux la bouche ouverte en bonne
putain qu’elle était.
- En même temps s’il vous plaît. Et partout. Je veux du bon sperme chaud. Plein
de jus de couilles. Je veux boire du sperme.
- Inquiètes-toi pas salope, on va bien te graisser.
- C’est certain.

On se crossa en lui mettant nos queues dans la bouche de temps en temps. Elle se
promenait d’une queue à l’autre, attendant sa récompense de jus blanc. On se regarda
et on réussit à se synchroniser pour éjaculer en même temps.
- Pogne tes grosses boules sale truie.
- Oui. On va venir putain.
- Ça y est, je viens.

Les trois on éjacula en même temps. Vraiment en même temps et on lui en mit plein la
gueule et plein la face encore une fois. Les giclées de sperme se croisait et
atterrissait partout dans son visage. Les joues, la bouche, un peu dans les cheveux,
du front au cou, elle avait le visage couvert de sperme.
- C’est tellement bon. J’aime le mélange de vos jus, dit-elle en se masturbant
d’une main.
- Ta femme aime vraiment le sperme, c’est merveilleux.
- J’adore ses grosses boules. Elle est tellement chienne. T’es vraiment
chanceux, ajoute le troisième après qu’on eu fini de jouir.

On lui passait nos queues dans la face et lui mettant du jus dans la bouche qu’elle
s’empressait d’avaler.
- Je le sais que je suis chanceux. Et ce n’est pas tout, attendez la suite.
Alors la vache, on continue ? lui demandais-je.
- Je suis ta pute, tu fais de moi ce que tu veux mon salop d’amour.
- Vas dans le bain maudite truie.

Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain en se dandinant le cul. Les autres me
regardèrent, ne sachant pas trop ce qui allait se passer.
- Avez-vous déjà pissé sur quelqu’un, leur demandais-je rapidement, mais en
chuchotant un peu.
- T’es sérieux là ?
- Oui. Ça fait deux soirs que je lui fais ça. C’est nouveau, mais elle semble
aimer.
- Méchante bonne vache, ajoute l’autre. Depuis le temps que j’en rêve, je ne
dirai pas non certain.
- Tout un trip de cul ça. Elle veut vraiment?
- On va aller voir ça, leur dis-je en me dirigeant vers la salle de bain, me
plaçant dans le cadre de la porte. Alors ma pute, veux-tu te faire laver ?
- Je te l’ai dis, je suis ta pute et tu fais de moi ce que tu veux.

Les gars se rapprochèrent en nous sommes tous entrez dans la salle de bain.
- Certaine ?
- J’aime tout ce qui sort des queues. Venez m’arroser mes cochons. Et j’espère
que vous avez bu beaucoup d’eau ce matin.

Les gars me regardèrent en riant. Ils venaient de comprendre pourquoi j’emplissais
constamment leur verre d’eau pendant la matinée et le diner. Ma chienne alla s’asseoir
dans la douche et nous nous sommes placés autour d’elle. Elle se leva le visage pour
nous montrer qu’on pouvait y aller sans problème. Voyant que ça ne venait pas
(probablement une certaine timidité), elle me dit d’aller ouvrir le robinet du lavabo.
Un des gars mentionna que la glace sur les couilles faisaient bien pour donner envie
de pisser. J’allais en chercher dans le minibar et revins avec une poignée. Très bon
truc, l’envie monta rapidement et elle eu un belle douche. Les gars on commencés par
lui pisser dessus doucement, mais elle approcha son visage et ouvrit la bouche en
fermant les yeux.
- Gâtez-vous mes salops.
- Maudite chienne de pute, dit un des gars en commençant à pisser plus fort.

On dirigea nos jets vers son visage, ses cheveux, dans sa bouche, sur ses gros seins
lourds. Tout son corps fut aspergé de pisser pendant plus d’une minute. Je l’a vis en
avalé un peu.
- T’as vraiment marié une vache mon chanceux.
- Je n’ai jamais trippé comme ça avec une truie.
- Je sais que j’ai une bonne putain.

Elle nous souri pendant qu’on pissait, montrant son appréciation. Une fois terminé,
elle se leva, nous dit merci, et fit couler l’eau de la douche. La douche étant
relativement grande, nous nous sommes lavés tous ensemble, ne manquant pas de la
savonner et de lui mettre des mains partout. Quand les queues se sont tranquillement
dressés à nouveau, elle nous masturba et nous suça jusqu’à ce qu’on lui éjacule
dessus. Ses gros seins furent la cible préférée. Elle se massa avec le sperme en se
masturbant.

Il était maintenant plus de 14 heures et on devait quitter la chambre. Les gars se
sont habillés, l’ont embrassé la remerciant des moments passés en lui assurant qu’ils
ne l’a jugeaient pas. Leur propos avait l’air sincère. Nous nous sommes serrés la main
en se disant à la prochaine.

Lors du retour à la maison en voiture, ma femme dormit plus de deux heures à ma
droite. Elle se réveilla en arrivant à la ville où nous demeurions. En se réveillant
elle me dit ;
- Tu ne m’en veux pas mon amour ?
- T’en vouloir ! Comment je pourrais, j’ai adoré ça.
- C’est vrai ?
- Écoute, j’ai toujours voulu que tu sois une bonne femme dans la vie et une
pute au lit. Je ne peux pas être plus comblé. Je t’aime mon amour.
- Moi aussi je t’aime.
- J’ai seulement hâtes de recommencer.
- On verra. En tout cas, tu sais que je n’ai pas eu mon orgasme alors ce soir,
j’espère que tu vas prendre le temps de me faire venir chéri.
- Je vais te manger la plote et le cul avec plaisir, et tu te feras vibrer le
clitoris.
- Si je peux boire ton sperme une autre fois.

On arriva à la maison moins de cinq minutes plus tard. Elle embrassa les s en
bonne mère de famille qu’elle était. La putain était partie pour une partie de la
soirée. La voyant faire, je souhaitais secrètement qu’une nouvelle étape de notre vie
s’ouvrait. Une étape de sexe et de gang bang où elle serait la reine de la soirée
comme les trois derniers jours que nous venions de passés.

Ces aventures se sont passées au printemps 2012. Il s’agit d’histoires vraies relatées
au meilleur de ma mémoire avec l’aide de ma femme. Bien entendu, les propos rapportés
ne sont pas exact, mais ils rapportent bien le ton et le langage utilisé.

Depuis, d’autres aventures ont eu lieu. Si vous voulez les connaître, vos commentaires
sont les bienvenues

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!